Dès l'apparition des premiers films, il y a eu des affiches pour les promouvoir auprès du public, faisant de ce support une forme de publicité ultime.
Si elles représentent à l'origine le thème principal du film- aventure, amour ou frissons-, avec l'ascension du vedettariat, les affiches ont commencé à mettre en avant les stars et leurs styles de vie, notamment à Hollywood.
A travers ce puissant support, s'entrecroisent histoire de l'art et impératifs commerciaux, évolutions techniques et clauses de représentation des vedettes, jusqu'à devenir au fil du temps, une forme d'art en soi.
L'affiche est aujourd'hui objet de collection : sa puissance tient autant à son efficacité immédiate qu'à l'aura que lui attribuent l'histoire du cinéma et la nostalgie de son public.
Illustré de près de 400 reproductions, cet ouvrage retrace l'histoire créative et commerciale des affiches de film, décennie par décennie jusqu'à la fin des années 90.
Depuis la promotion du personnage de Charlot, jusqu'à la création de la légende de Greta Garbo, en passant par le rôle de l'affiche à l'ère du numérique, découvrez comment le graphisme s'est mis au service du 7ème art pour séduire les spectateurs des salles obscures.
Dans l'imaginaire du cinéma, la musique de film a été longtemps considérée comme un parent pauvre. Aujourd'hui, alors que ce genre connaît un véritable engouement, l'histoires de B.O. de films est encore trop méconnue.
De l'âge d'or hollywoodien aux blockbusters contemporains, de Bernard Herrmann à Alexandre Desplats en passant par Geroges Delerue, Ennio Morricone ou John Barry, ce livre illustré retrace l'histoire de la musique au cinéma. À travers des documents d'archives (scènes de films, affiches, portraits), (re)découvrez les musiques et les films qui nous enchantent encore et toujours !
Romy écrit partout, tout le temps, à tout le monde. Sur le papier à en-tête des hôtels dans lesquels elle descend, sur des bouts d'enveloppe, des menus de restaurant, des mouchoirs en papier, des tirages de photos, des pages arrachées à des magazines. A son agent, à ses amours, à ses amis, aux comédiens et techniciens dont elle est proche mais aussi à ceux qu'elle ne croise, sans vraiment les connaître, que sur un seul tournage, Romy adresse sans cesse ce genre de minuscules missives qu'elle aime faufiler sous les portes, transmettre par des intermédiaires, acheminer à leurs destinataires par des moyens détournés, compliqués, enfantins...
Qui, plus que Romy Schneider, ravissante icône au triste destin, a fasciné les foules ? Lorsqu'elle est retrouvée morte dans un appartement parisien, le matin du 29 mai 1982, à seulement 43 ans et quelque mois après le décès de son fils, la presse s'enflamme. Suicide ou mort accidentelle ? Chacun interprète, fantasme, invente les circonstances de cette fin tellement cinématographique.
Avec grâce et affection, loin de tout sensationnalisme, Violaine de Montclos tente de percer ce mystère et reconstitue, grâce aux nombreux témoins qu'elle a rencontrés, ce que furent ces derniers jours. De la Romy inquiète, maternée par son habilleuse, à la star colérique qui gifle le jeune Harvey Keitel, elle dresse le portrait d'une actrice adulée mais aussi d'une éternelle enfant que rien ne tranquillise. Au fil des pages, on croise Alain Delon le jour du drame, Orson Welles subjugué, Marlène Dietrich complice, mais aussi Claude Sautet et Jean-Louis Trintignant...
Dans la lignée de Sagan à toute allure, cette micro-biographie pétillante et profonde raconte en kaléidoscope le talent et la déchéance, les caprices et les ivresses, les joies et les infortunes d'une comédienne qui a tout fait, jusqu'au bout, pour qu'on ne l'oublie pas.
1894. Paris est au centre du monde. Artistes, inventeurs et industriels se fréquentent dans une grande fièvre. La technique est au centre de toutes les préoccupations. Les arts, comme l'économie ou les sciences, se rationalisent. Le monde entier semble en passe d'être mécanisé...
Six personnes détiennent le même secret. Une invention démoniaque dont ils cherchent à comprendre le sens et maîtriser la puissance. Ils sont ingénieur, fils de boucher, magicien, forain ou jeune secrétaire-sténographe. Ils sont jeunes, rêveurs, ambitieux et vont devoir se démarquer. Ils se nomment Léon Gaumont, Charles Pathé, Georges Méliès, Louis et Auguste Lumière ou Alice Guy. Et leur enjeu s'appelle le Cinéma.
En 1895, à Lyon, les frères Lumière inventent le cinématographe. Moins d'un an plus tard, à Paris, Alice Guy, 23 ans, réalise La Fée aux choux pour Léon Gaumont. Première réalisatrice de l'histoire du cinéma, elle dirigera plus de 300 films en France. En 1907, elle part conquérir l'Amérique, laissant les Films Gaumont aux mains de son assistant Louis Feuillade. Première femme à créer sa propre maison de production, elle construit un studio dans le New Jersey et fait fortune. Mais un mariage malheureux lui fait tout perdre.Femme libre et indépendante, témoin de la naissance du monde moderne, elle aura côtoyé les pionniers de l'époque : Gustave Eiffel, Louis et Auguste Lumière, ou encore Georges Méliès, Charlie Chaplin et Buster Keaton.Elle meurt en 1969, avec la légion d'honneur, mais sans avoir revu aucun de ses films - perdus et oubliés. C'est en 2011, à New York, que Martin Scorsese redonne un coup de projecteur sur cette femme exceptionnelle.
Agnès Varda, Louis Malle, Jean-Luc Godard, François Truffaut, Claude Chabrol, Eric Rohmer...
Ils sont tous là, les réalisateurs, scénaristes, acteurs, producteurs, personnes réelles devenus personnages du roman de Patrick Roegiers : le plus beau casting imaginable, mis en scène par l'auteur dans ce « cinéroman » virtuose qui estompe avec malice les frontières entre le réel et l'imaginaire, l'écriture et l'écran, les mots et les images.
A travers une bonne quinzaine de films dont l'auteur dévoile ici les coulisses, on découvre les conceptions du cinéma qu'ils défendent et les partis pris esthétiques qu'ils incarnent. A chacun son monde.
La Nouvelle Vague a eu ses exégètes et ses laudateurs (autant que ses détracteurs), mais elle attendait son grand « filmroman ». Le voici. On n'a jamais rien écrit de plus passionné, enlevé, inventif, savant et ludique sur la Nouvelle Vague et sa vaste mouvance des années 1960, 1970 et 1980 : on rit, on s'attendrit, on s'étonne, on applaudit à ce tour de force.
De Rivette à Pialat, Sautet et Resnais (on déborde ici le lit de la Nouvelle Vague proprement dit), des Cahiers du cinéma à l'orée des années 2000, c'est toute une époque qui ressurgit avec des figures que l'on croyait familières mais que l'on regarde sous un jour nouveau.
« On connait la chanson », direz-vous ? Eh bien non, on ne la connait pas : jamais plus vous ne verrez du même oeil Jean Seberg ou Brigitte Bardot, Belmondo et Gabin, Maurice Ronet, Michel Bouquet et Stéphane Audran, Jean-Pierre Léaud ou Delphine Seyrig, Michel Piccoli ou Michael Lonsdale, Romy Schneider, Sami Frey, Yves Montand, André Dussollier, Jean-Pierre Bacri...
1921-2021. Il y a cent ans paraissait Dersou Ouzala de Vladimir Arseniev. Succès à parution, cette oeuvre magnétique deviendra mondialement connue grâce au film d'Akira Kurosawa. Le théâtre du récit est la forêt de l'Extrême-Orient sibérien alors que la ruée vers l'Est supplante les tribus de souche. Au centre de l'histoire rayonne la figure de Dersou Ouzala, chasseur nanaï initié aux secrets de la forêt, héros animiste qui incarne les valeurs d'amitié, de communion avec la nature et de respect du vivant...
Il n'existait en français qu'une traduction abrégée aux deux tiers datant de 1939, plusieurs fois rééditée.
Transboréal assure ainsi la première édition intégrale à partir de la version originale sauvée du caviardage soviétique et enrichie d'une préface ainsi que d'illustrations inédites.
Éric Neuhoff est un enfant du cinéma. Pouvait-on rêver mieux que l'auteur de Lettre ouverte à François Truffaut ou de (Très) cher cinéma français (prix Renaudot de l'essai 2019) afin d'évoquer la magie intacte des cinémas et à travers eux du septième art ? De sa jeunesse provinciale de cinéphile rythmée - de Cahors à Toulouse - par les séances du mercredi à quatorze heures aux projections de presse et aux festivals internationaux arpentés par le critique du Figaro et de l'émission « Le masque et la plume », l'écrivain rend hommage à ces lieux de culte que sont pour beaucoup les salles obscures. Les ouvreuses et leurs lampes de poche ont disparu, des multiplexes ont pris l'allure de galeries marchandes, mais l'écran de cinéma n'a rien perdu de son magnétisme. Loin des facilités numériques offertes par les plateformes et des films vus sur un smartphone, Petit Éloge amoureux des cinémas perpétue la passion pour ce vice impuni. Les images et les souvenirs défilent. Des noms d'actrices et de cinéastes servent de mots de passe.
Éric Neuhoff nous fait partager sa sensibilité, sa nostalgie, son enthousiasme. Cette déclaration d'amour est aussi un éloge de la fuite, du voyage, des existences rêvées, car « les films sont plus harmonieux que la vie et avancent comme des trains dans la nuit » comme le souligne le héros de La Nuit américaine de François Truffaut.
François Truffaut livre ses secrets de cinéma.En 1981, François Truffaut, l'ancien fougueux critique de cinéma, fait l'autocritique de ses propres films.En s'appuyant sur des scènes et des anecdotes de tournage, Truffaut revisite, avec émotion et franchise, sa carrière, des Mistons (1959) à La Femme d'à côté (1981).Des échanges précieux dans lesquels il se remémore la genèse des films, révèle leurs secrets de fabrication et n'hésite pas à juger avec sévérité certains de ses partis pris de mise en scène. Un long entretien inédit et richement illustré qui dessine en filigrane le portrait d'un immense artiste.Plus qu'une leçon de cinéma, une réponse à la question fondamentale : qu'est-ce que le cinéma ?
Quand on est une mégastar comme King Kong, on doit toujours manger ce qu'on vous dit, s'habiller comme on vous le dit, parler et marcher comme on vous le dit. Et pas un moment à soi. Le célèbre singe de Hollywood raconte ici l'exploitation dont il est victime depuis sa capture sur son île jusqu'à sa vie formatée par les autres et réglée au métronome. Un jour, il quitte tout...
Nouveau venu au collège Georges-Brassens, Vladimir, dit Vlad, a les genoux qui se cognent et les mouvements désordonnés d'un pantin désarticulé... Handicapé de naissance, ce jeune passionné de cinéma tombe vite sous le charme de la jolie Lou... mais elle sort avec l'odieux Morgan ! Heureusement, Vlad n'a pas la langue dans sa poche et il ne compte pas laisser son handicap être un obstacle.
Avant, les films étaient en noir et blanc ? Comment on devient une star de cinéma ? Comment ça marche, les effets spéciaux ? 16 questions d'enfant pour découvrir les coulisses des films et du cinéma.
La petite taupe, Mon voisin Totoro, Ernest & Célestine, Mon oncle et une multitude d'autres films (courts, moyens et longs métrages) connus ou moins connus sont réunis dans ce livre afin de guider les parents à travers le vaste panorama cinématographique et les orienter vers les meilleurs programmes pour leurs enfants.
Chaque double-page présente de manière claire et ludique un ou plusieurs films adaptés aux enfants de 3 à 6 ans. On trouvera dans la fiche un résumé du film, l'avis d'un spécialiste du cinéma pour éclairer le visionnage, des questions (rubrique "oeil de lynx") adressées à l'enfant qui l'invitent à être un spectateur actif tout en se divertissant, des passerelles établies avec d'autres films et des albums de la littérature jeunesse ainsi que de joyeuses illustrations de Clotilde Perrin qui donnent vie aux films dans la page.
Le guide est accompagné d'une préface qui s'applique à démonter les préjugés dont sont parfois victimes les films et les livres et rappelle tous les bienfaits des écrans dès lors qu'ils sont bien utilisés, pour regarder des films beaux, drôles et sensibles qui ouvrent des portes, élargissent l'horizon et offrent une merveilleuse porte d'entrée vers l'art sous toutes ces formes.
Depuis la mort de ses parents, Frankie Zilensky vivait chez sa tante Paulie. Pourtant, elles ne se ressemblaient pas vraiment, et même pas du tout. Frankie détestait se coiffer ou s'habiller, préférait la solitude par-dessus tout. Paulie se voulait toujours élégante, parlait beaucoup et ne cessait d'organiser des dîners et des fêtes.
Alors quand, pour le onzième anniversaire de Frankie, Paulie a eu une idée de surprise, on pouvait s'attendre à ce que les choses tournent mal. Et très vite, ça a été pire encore. Mais tante Paulie n'avait jamais été du genre à renoncer, jamais.
Dans leur poubelle, Chien Pourri et Chaplapla passent le temps :
Chaplapla compte les peaux de bananes et Chien Pourri feuillette hot-dog magazine pour tous les chiens qui aiment le 7e art et les saucisses.
Justement, à côté d'eux est tourné le dernier 00 Sec avec la star Brave Pit dans le rôle principal. Chien Pourri croise alors la route du réalisateur Pascal Truffe qui l'engage pour le faire jouer dans Le chien des rues, un drame réaliste...
Chien pourri obtiendra-t-il l'Oscar du meilleur chien étranger ?
Hodaka, un jeune lycéen, fait une fugue à Tokyo où il rencontre Hina, une jeune fille dotée du mystérieux pouvoir de dissiper les nuages de pluie et d'apporter le beau temps. Avec Nagi, le petit frère de Hina, ils montent un commerce pour vendre ses services en tant que fille-soleil. Ces prestations rencontrent un franc succès et Hodaka est rassuré d'avoir enfin trouvé sa place dans la grande ville. Mais certaines réalités menacent leur petit nuage...