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Aude Poirot
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Mamie Olive doit passer quelque temps dans sa famille, suite à un problème de hanche. Ollie, qui déjà souffre d'avoir déménagé loin de ses camarades, doit en plus céder sa chambre à son arrière-grand-mère qui ne peut plus monter les escaliers. Ni jouer au foot ni faire du vélo, d'ailleurs. Mais il y a une chose qu'elle sait faire : nager. Chaque jour, elle va à la piscine et demande à Ollie de l'accompagner. Assis au bord du bassin, il la regarde, médusé, enchaîner les longueurs. Mamie Olive lui explique qu'elle a participé au Jeux olympiques de Londres. Pas ceux de 2012... non, ceux de 1948 !
À la piscine, il y a aussi des enfants de l'école d'Ollie, mais il ne veut pas leur dire bonjour. Et refuse toujours obstinément d'apprendre à nager. Mamie Olive, qui est très rusée, va tout faire pour qu'il se jette à l'eau.
Cette pièce, à la fois tendre et ludique, invite à aller à la rencontre de l'autre et à dépasser ses peurs. Mike Kenny y aborde, comme dans nombre de ses autres textes, le thème de la transmission et l'importance du lien entre les générations.
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Extraite de l'album Qu4tre, cette chanson raconte l'histoire d'amour d'une chauve-souris pour un parapluie. Un amour tout d'abord à sens unique puis partagé et le résultat d'une union des contraires.Cet album est né de la rencontre de deux univers. D'un côté le texte d'une chanson de Thomas Fersen; auteur, compositeur et interprète qui joue avec les mots pour faire le récit d'une improbable histoire d'amour entre une chauve-souris et un parapluie...D'autre part, les images d'Aude Poirot, jeune illustratrice qui a été remarquée par le jury "Jeunes Illustrateurs" de la Foire Internationale du livre de jeunesse de Bologne.Clin d'oeil du texte à Barbara, clin d'oeil de l'image au répertoire de Thomas Fersen, ces deux là étaient fait pour se rencontrer.
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Ombre Bernadette Pourquié Aude Poirot Née sous le signe du soleil, fidèle en
toutes circonstances, je m'étire , le soir venu, jusqu'au bout du monde. Je
suis Ombre et je m'allonge aux pieds d'un petit homme... Collection « Pieds
poètes »
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Albert aime se retrouver seul dans la forêt. C'est son royaume. L'apparition d'Angèle, un jour d'automne, change tout. Quelques paroles, l'offrande d'un cadeau, une invitation à découvrir d'autres horizons, vont entraîner le garçon et la fille à voir le monde autour d'eux et en eux de façon nouvelle.
Ce passage décisif d'un équilibre individuel à un autre équilibre, fondé sur le partage, est souligné de manière très forte par les illustrations d'Aude Poirot: la première partie de l'histoire se déroule dans un climat teinté de vert, de brun, sur un fond bleu annonciateur des premiers froids, l'ensemble suggérant le repli sur soi, le refuge dans les recoins de la terre; la seconde partie, elle, s'ouvre à la lumière, aux couleurs chaudes, comme si l'accession à un nouvel état intérieur déclenchait une accélération du temps et faisait entrer soudain dans le livre le soleil et la chaleur de l'été.
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Inspirée de la pièce d'Olivier Py, une nuit au cirque, cette histoire met en scène un jeune couple d'amoureux. Elle pourrait s'appeler Rosalie ou bien Alcmène. Il pourrait s'appeler Isidore ou bien Amphytrion. Elle est rêveuse, lui très cartésien. Un soir, après un spectacle de magie qui les oppose, un drôle de magicien parie qu'il peut prendre l'apparence et la place du jeune homme. Rosalie et Isidore se prêtent au jeu... et apprennent à leurs dépens que la magie peut jouer de drôles de tours.
Un album graphique original qui joue avec les couleurs pour redécouvrir le mythe d'Amphytrion.
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Cette comptine populaire anonyme ne demande plus que des lecteurs musiciens.
Nous traversons toute la semaine et la chanson du texte rentre vite dans la tête. Les illustrations amènent de nombreux détails croustillants.
