« Le monde vit un grand spectacle permanent, mélange de cirque et de concert de klaxons. Dès l'adolescence, je me suis installé dans le confort ricanant de l'écriture pour l'observer.
De décennie en décennie, je suis arrivé tant bien que mal à l'année 2010, date à laquelle commence ce nouvel ouvrage écrit entre 2010 et 2020, à raison de deux feuillets hebdomadaires pour Le Point. Les événements comptent peu, sauf les morts. Les partis sont pris.
Guerres et soirées, élections et vacances, amours et désenchantements, villes et mers (et même un peu de Seine-et-Marne) : toute ma vie y est accrochée, comme Don Quichotte sur les ailes d'un moulin de la Manche.
J'écris mes articles comme des romans et mes romans comme des articles : Dieu reconnaîtra les saints. J'ai d'abord écrit dans les journaux pour sortir de chez moi afin d'aller au journal, jusqu'à ce que le fax, puis le mail m'intiment de rester à la maison derrière un bureau que je n'ai pas. Des années que j'écris sur un canapé : le lieu de la mort de Pouchkine. » P. B.
Le roman de la femme quittée est un topos de la littérature française, plus rares sont les romans de l'homme quitté dans sa vieillesse par une femme jeune.
« Le bonheur ancien m'étouffe. Il me chasse du présent, m'interdit l'avenir » : Lucien, un romancier français de mère turque, âgé de 68 ans, est dans un état de douleur hébétée depuis qu'il a été abandonné par sa femme Zoé, éditrice romancière d'origine italienne de 33 ans.
La tristesse brouille la chronologie du passé. En chapitres brefs, Lucien reconstitue la ronde de sa petite « bande de Saint-Germain des Prés », composée de trois amis sexagénaires en couple avec de jeunes trentenaires qui se trouvent être toutes écrivaines : l'ami de jeunesse Bob, chanteur célèbre, partage la vie de la jeune russe Natacha ; les deux éditeurs de Lucien, Eric et Guillaume, vivent respectivement avec Gwendoline, slovaque d'origine congolaise et Maria, grecque.
La solitude, l'abandon, la mort qui rôde, l'écriture pour survivre, les jeux de l'amour et du hasard, les combinaisons et combinatoires possibles entre écrivain(e)s et éditeurs/trices, la folie des prix littéraires, le caractère incestueux du petit monde des lettres parisien : autant de thèmes abordés ici sur un registre tour à tour désespéré et comique par un Besson à la dévastation tonique, particulièrement en verve dans l'autodérision et le lâcher-prise, et qui garde intact son sens de la formule (« l'italienne a été mon ambulance avant d'être mon corbillard »... « la vieillesse est une adolescence sans avenir »... « la passion : comédie pas intelligente qui tourne mal »...)
Avec ce Petit éloge amoureux de la librairie, Patrick Besson nous entraîne à la découverte ou la redécouverte de ce lieu qui a été l'un des épicentres de sa vie et de celle de beaucoup d'entre nous.
Il revisite ainsi toutes les librairies de son existence de lecteur et d'écrivain : de Montreuil, ville de son enfance et de son adolescence, à Paris ou Nice en passant par des détours à l'étranger. À Moscou, on découvre la librairie installée en face de l'ancien siège de la Loubianka. À Brazzaville, c'est sur des trottoirs que l'on improvise ce ballet autour du livre qui ne connaît pas de frontières ni de passeports.
Au gré d'un voyage sensible, tour à tour cocasse et tendre, mêlant l'intime et l'universel, l'écrivain égrène des souvenirs, des sensations, des rencontres, des portraits. L'amour de la littérature et le temps qui passe accompagnent cet hommage à des lieux renfermant une part essentielle de la mémoire du monde.
Une histoire, la sienne et la nôtre, défile sous nos yeux et entre les pages d'un Petit éloge amoureux appelé à trouver sa meilleure place... dans les librairies.
De passage à Brazzaville, Christophe aperçoit une ancienne espionne, radiée de la DGSE suite à un retentissant scandale. Que vient-elle faire au Congo ? Intrigué, il la suit ? et croise le chemin d'une foule d'individus interlopes : un ex-agent du KGB, une coquette congolaise lectrice de Kant, des génocidaires hutus. Sur ce continent mystérieux, personne n'est ce qu'il prétend être.
« Nice des amours, des amitiés, des souvenirs, des lectures. À peine française. Tout juste balnéaire. Exil pas toujours doré pour des milliers d'artistes. Nice enchantée, neurasthénique, dansante, angoissée, érotique.
Le besoin de Nice est naturel, comme un produit bio. Il aura occupé, avec d' autres petites manies, les trente dernières années de mon existence insolite. La ville résume les doutes que j'ai sur tout, elle est un repaire métaphysique. Je ne pourrais pas vivre bien sans elle, j'ai trop besoin de ses automnes. J'ai tenté de l'enfermer dans ce livre pour l'avoir toujours sur moi, comme un médaillon ou un gilet pare-balles. C'est une protection un peu matérialiste, un plafond de verre à ne pas briser. » P. B.
Un événement extraordinaire, dans la ville moyenne de Y, située entre Bordeaux et Arcachon : le club de football le YFC est, pour la première fois depuis plusieurs années, remonté en L2 (deuxième division). Le président a engagé un nouvel entraîneur pour assurer le maintien et même viser la L1 (première division). Cet entraineur, c'est Elvis, soixante-et-un ans, motard, ancien joueur de l'équipe de France, veuf, lettré. Ce qu'on lit, c'est son journal intime. Lors du premier match disputé par le YFC en L2, Elvis tombe amoureux de l'épouse d'un joueur, Inès, de trente ans moins âgée que lui. Cette situation tendue sera à l'origine de divers drames, retournements et quiproquos se succédant à un rythme footballistique élevé jusqu'au suspens final : Inès est-elle la propre fille d'Elvis et le YFC réussira-t-il, sous l'égide de son entraineur, à rejoindre l'élite du championnat ? Ce roman très contemporain est une radiographie acide et souriante la manière Besson, qu'on retrouve dans Les frères de la consolation, La présidentielle et Cap Kalafatis, ses précédents ouvrages parus chez Grasset du monde coloré du sport et de la folle province française, en même temps qu'un traité sur l'amour dans un couple que trente ans séparent.
Un recueil d'anecdotes, de chroniques et d'aphorismes contradictoires, mélancoliques et humoristiques, sur les sorties et les pensées de l'auteur.
« Je n'aime pas beaucoup sortir, mais j'aime penser. Ou l'inverse : je n'aime pas beaucoup penser mais j'aime sortir. On sort trop et on ne pense pas assez. Ou l'inverse : on pense trop et on ne sort pas assez. Peut-être écrirai-je un jour un traité de l'inversion dont le sujet ne sera pas l'homosexualité mais la contradiction. Toute chose est-elle égale à son contraire ? Ce sera la première question posée sur le rebord de la baignoire, avant de penser à sortir.
Je suis beaucoup sorti et j'ai peu pensé. Ou j'ai beaucoup pensé et je suis peu sorti. Ce recueil en deux parties est le résultat de plusieurs années de sorties et de pensées, tentative de retrouver et de conserver le temps perdu à sortir et à penser.
- Vingt ans de nouvelles publiées dans différents journaux et magazines réunis en un recueil. Au cap Sounion en 1974, quand la Grèce des Colonels devenait celle des routards, où le narrateur se souvient de son amour à trois avec un couple nordique. À New York à la fin de la guerre froide, quand les fantasques frères Kundera débarquent d'Europe de l'Est avec leur talent et leurs rêves. À toutes les époques et dans toutes les situations, " La meilleure façon de dominer le monde n'est-elle pas de le gêner ? " - Patrick Besson est né à Paris en 1956. Auteur de nombreux romans, il est également chroniqueur au Point, critique littéraire à Marianne, critique cinématographique à VSD et critique de télévision au Figaro Magazine. Il a été élu au jury Renaudot en 2003.
Les années Isabelle, les années 80 vues par un écrivain qui va quitter sa femme Isabelle.
Episodes: un service militaire peu militaire en Allemagne, une douloureuse et désopilante expérience théâtrale dans le quatorzième arrondissement de Paris, un voyage d'études dans l'URSS de Mikhaïl Gorbatchev et un voyage de rêve dans l'Irlande de Michel Déon, une liaison courte mais heureuse avec une hôtesse de l'air débutante, et pour finir un séjour bousculé, sensuel, angoissé et tendre dans ce qui était encore la Yougoslavie avec ce qui était encore une jeune étudiante en philosophie:F.
« L'écrivain est un lâche. La preuve : il écrit. S'il était courageux, il vivrait. Par peur des coups du sort, il se met à l'écart. C'est un juge de touche : il court d'un bout à l'autre du terrain de foot sans pouvoir y pénétrer pour taper dans le ballon de la vie. Écrire et vivre sont des activités contradictoires, c'est pourquoi les gens qui vivent ne savent pas écrire. C'est le travail d'une vie. D'une vie de lâche. » Patrick Besson.
Tintoret, Zurbarán, Le Brun, Girardon, Delacroix, Corot... les plus grands ont peint, sculpté, composé pour les églises parisiennes. Aisément accessibles, leurs oeuvres témoignent d'une grande diversité de styles : de la Vierge romane de Saint-Denis au triptyque de l'Américain Keith Haring à Saint-Eustache, neuf siècles d'art religieux sont représentés dans les églises parisiennes. Le visiteur appréciera ces pièces remarquables avec une émotion d'autant plus grande qu'il les découvrira dans la lumière et l'ambiance si particulières d'un lieu sacré qui favorisent, mieux qu'ailleurs, la rencontre intime avec une oeuvre de beauté mais aussi de piété.
Isaac Wirkowski et Julius Bloch ont de nombreux points communs : tous deux américains, ils appartiennent au Parti communiste, gravitent autour de l'industrie cinématographique du Hollywood des années 1950, sont juifs, intellectuels et aiment les femmes et les cigares. Et pourtant, ils sont ennemis. C'est autour du chassé-croisé de ces personnages à Paris en septembre 1959 que s'organise le roman de Patrick Besson. Une femme se trouve à la croisée des chemins, et le drame vécu autour de ce personnage unira pour toujours Isaac et Julius. Né en 1956, Patrick Besson a reçu le Grand Prix du roman de l'Académie française en 1985 pour Dara et les prix Renaudot et Populiste en 1995 pour Les Braban. Les éditions Points ont entrepris de republier son oeuvre et notamment Les Braban, Saint Sépulcre ! en 2006, Julius et Isaac, Lui, La Paresseuse en 2007... .Sortie pour la rentrée littéraire de janvier 2007 du nouveau livre de Patrick Besson : Le Corps d'Agnès Le Roux, aux éditions Fayard. .Très bon accueil critique de Julius et Isaac à sa sortie. .Un roman qui mêle avec brio politique, histoire et tragédies individuelles. L'auteur constamment médiatisé « Le livre, tout à fait dans la manière de Patrick Besson, est à la fois vif et insolent, anticonformiste et irrévérencieux, en un mot, brillant. » L'Humanité
Stuttgart, février 1875. Verlaine est venu attendre Rimbaud dans sa chambre pour lui parler. Depuis le coup de feu de Bruxelles, les deux poètes ont bien changé : Rimbaud a décidé de se lancer dans le « business » et d'abandonner la poésie, qui n'était qu'une grande plaisanterie, tandis que Verlaine a trouvé Dieu et arrêté de boire, découvertes qu'il aimerait faire partager à son ancien amant. Patrick Besson imagine dans ce dialogue absurde et hilarant ce que les poètes auraient pu se dire lors de leur dernière rencontre avant que Rimbaud entame sa deuxième vie, celle d'un infatigable voyageur.
Nés sur les rives du Danube et de la Save, au début du siècle dernier, Milos et Srdjan sont frères et amis mais ne se ressemblent guère. Moustaches de mercenaire mélancolique, Milos a la puissance du soldat avant l'assaut. Longue taille et charme de l'indolence, Srdjan est un poète sans oeuvre. Les deux Serbes, qui retrouvent leur cousine Milena dans un Paris trop civilisé, voient la capitale du haut de leur innocence.
Qu'est-ce que l'esprit français entre le boulevard des Italiens et le Café anglais ? Qu'est-ce que Paris pour un paysan du Danube ? Srdjan assiste à la première d'Hermani et porte le gilet rouge. Milos se heurte aux manières hypocrites des salons romantiques. La blonde Milena ne sait qui aimer.
De Belgrade la provinciale à Londres couleur de suie, du faubourg Saint-Germain aux prostituées d'Anvers, de Bruxelles l'aventurière à l'Est américain, Patrick Besson a écrit la fresque enfiévrée et chatoyante du dix-neuvième siècle. Rapins et grisettes, profiteurs et écrivaillons croisent ici un Balzac toujours pressé ou un Nerval délicieusement rêveur. C'est aussi un roman d'amour et de gloire, de cynisme et de passion, de mots et d'actes.
« L'époque : fin du XXe siècle, début du XXIe. Le lieu : presque toujours Paris. Les rencontres : une photographe (Bettina Rheims), une actrice (Vanessa Paradis), un académicien (Jean d'Ormesson), un acteur (Jean Yanne), une princesse (Charlotte Casiraghi), une Russe (Elena Lenina), une romancière (Françoise Sagan), un mensuel (Playboy), deux académiciennes (Élodie Frégé et Sofia Essaïdi), une fille (Mazarine Pingeot), une star (Sophie Marceau), un photographe (Helmut Newton), un juré Renaudot (Frédéric Beigbeder), un festival (Cannes), une comédienne (Emmanuelle Seigner), un mort (Jacques Martin), une ex-première dame (Carla Bruni), un biographe (Patrick Poivre d'Arvor), une pop star (Michael Jackson) et une cinéaste (Maïwenn), le tout écrit dans ce style endiablé que mes lecteurs connaissent bien et que j'invite mes non-lecteurs à découvrir. » Patrick Besson.
Grand Prix du roman de l'Académie française pour Dara, Prix Renaudot pour Les Braban, Patrick Besson est membre du jury Renaudot et collabore au Point. Il est notamment l'auteur de Come Baby (Mille et une nuits) et de Puta madre (Fayard).
Sitôt devenu président de la République française, Clément Tharoude instaure une dictature impitoyable, pour embêter le monde.
Sa domination était préparée de longue date, notamment grâce à la création d'une armée d'" Absents ", des humains au cerveau vide, dressés à exécuter ses ordres. Tharoude a fait éliminer à tour de bras ceux qui l'insupportaient. Une colonie de Français exilés se forme. C'est de cette colonie que viendra le miracle.
Marc Martouret, jeune banquier né d'une mère russe antisoviétique et d'un père communiste français, porte en lui ces deux personnes énigmatiques dont on découvrira les secrets tout au long du roman qui nous emmène du Paris de Lénine en 1908 au Moscou de Poutine en 2015, ainsi que dans l'URSS de Brejnev pour le cinquantième anniversaire d'octobre 17. L'épopée révolutionnaire, ses héros et ses martyrs, ses exploits et ses crimes, ses nombreuses ambiguïtés, sont ressuscités au fil des pages. Trois histoires d'amour se croiseront et seule la plus improbable d'entre elles réussira. Tout le pouvoir aux soviets est aussi une réflexion, chère à l'auteur, sur les rapports entre le pouvoir politique quel qu'il soit et la littérature. Le titre est de Lénine et on doit la construction aux célèbres poupées russes.
Ce volume rassemble des articles regroupés par thèmes qui dessinent bien la géographie des centres d'intérêt de Besson: l'Afrique et ses auteurs (Beyala, Mbanckou, Monemembo, Lopes...) ; la critique de cinéma (la Nouvelle Vague, Truffaut, Cannes, Dabadie, les acteurs...) ; la polémique littéraire (Le Monde des livres, six auteurs d'une rentrée littéraire Actes Sud...) ; le reportage (Russie, Tunisie, Bosnie, Croatie, le procès DSK du Carlton...) ; des portraits de femmes (Eva Joly, Julie Gayet, Madeleine Zepter, la cantatrice Yosra Zekri...) ; la critique littéraire (Henry James, Tolstoï, Pierre-Jean Rémy, Gérard de Villiers, Gabriel Garcia-Marquez, Ian Fleming, Guy des Cars...) La pyrotechnie Besson à son meilleur : des mots d'auteur, des formules à l'emporte-pièce, de l'acidité, de la malice, entre goûts et dégoûts, sincérité et provocation, admiration assassine et détestation bienveillante, empathie et cruauté, sensibilité et cynisme, virtuosité et perversité.
Deux frères et une femme. Gilles, l'aîné, est un journaliste art-de-vivre, et son cadet Fabien une star de cinéma. Ils se retrouvent chaque dimanche dans la maison de leur mère, à Marolles-en-Brie. Où le comédien présente à sa famille, lors du réveillon de Noël, celle qu'il a choisie pour épouse : Annabel. Dont Gilles devient aussitôt obsédé. Mais obsédé de quoi au juste ? De prendre quelque chose à son frère qui, avec ses succès, lui a volé son droit d'aînesse ? D'être enfin, pour la première fois de sa vie, le préféré des deux ? De déchiffrer le caractère d'Annabel, vestale au comportement trouble et aux mobiles obscurs ? Patrick Besson nous entraîne dans le sillage de personnages tendres, subtils et imprévisibles entre lesquels un terrible drame finira par éclater. Captivant.
Elle a un problème, Julie : les hommes la quittent mais ne lui disent jamais pourquoi.
Lors d'un séjour chez ses parents dans les Pyrénées, elle rencontre un jeune inspecteur du fisc, qui la quitte le jour de leurs fiançailles. Sans lui dire pourquoi. Mais nous qui avons lu le livre, on sait pourquoi !
Dis-moi pourquoi est aussi la peinture au pistolet dirait l'auteur d'une bourgeoisie décomposée, burlesque, égoïste, immorale et, ainsi que le montre la fin du livre, complètement folle.
«Ensuite, je me rappelle mal.» C'est par ces mots que débute le premier roman de Patrick Besson, écrit alors qu'il n'avait que dix-sept ans. Le ton est donné. Les petits maux d'amour est un roman sur l'adolescence. Des jeunes gens se rencontrent sur les pelouses d'un lycée ou se retrouvent au bord de la mer, des histoires s'esquissent des amitiés se nouent, ainsi que des drames qui marqueront la vie...Les petits maux d'amour est un roman de génération, plutôt que le roman d'une génération, les adolescents d'aujourd'hui pouvant sans doute se regarder au miroir de ce livre tendre et écorché qui dit le malaise de vivre mais vibre de l'émotion des premières découvertes.
Un membre de la famille Braban - homme ou femme, selon l'humeur et les circonstances - raconte la saga burlesque de son entourage vivant à Bobigny. Il - ou elle - revient sur les aventures rocambolesques de ses parents excentriques et détraqués : un frère emprisonné pour avoir violé sa mère et poignardé son père, une soeur amoureuse d'un délinquant, une mère qui fête, tous les 14 juillet, la non-libération de son fils par grâce présidentielle... Un récit décadent et décapant.
Revus et féminisés par Patrick Besson, les douze signes du Zodiaque lui sont un prétexte pour parler encore du sexe fiable .
Avec humour et une profonde clairvoyance amoureuse, Patrick Besson dresse ici le tableau de l'idéal féminin.
Qu'elles soient Bélier, Vierge, Capricorne, Lion ou Scorpion..., toutes les femmes sont uniques et terribles.
Voici le Zodiaque que tout le monde attendait: les femmes pour s'y retrouver; les hommes pour trembler, et aimer.