Nova et Mercy ont à peine seize ans, mais cela fait déjà bien longtemps qu'elles ont perdu leur innocence. Sous le couvert de la nuit, elles s'enfuient à bord d'une voiture volée, laissant derrière elles le foyer pour jeunes filles où une autre adolescente vient de disparaître. Que fuient-elles ? Et pourquoi ?
Tara est retrouvée sans vie en bas d'un immeuble. Selon sa famille, il s'agit d'un suicide. Mais quelque chose ne colle pas dans le récit de ses parents. Et qui peut bien être la personne qui lui avait donné rendez-vous ce soir-là ? Celui que la police ne va pas tarder à surnommer le Marionnettiste vient seulement de commencer son spectacle.
Après l'inoubliable trilogie Les visages de Victoria Bergman, Erik Axl Sund continue d'explorer les bas-fonds de notre société dans ce deuxième tome indépendant de leur série sur la mélancolie.
Gare de triage de Tomteboda, au nord de la capitale. Deux chocs attendent le conducteur d'un train de marchandises en provenance du comté de Norrbotn ce matin : le premier lorsqu'il découvre un cadavre dans le wagon de queue, le deuxième lorsque le cadavre agrippe sa main et saute du train. La jeune fille pâle et maigrichonne qui s'enfuit à une vitesse surnaturelle lui rappelle la vittra, cette créature mythologique de la forêt qui hantait ses cauchemars lorsqu'il était enfant.
Avec ce dernier opus indépendant de la trilogie "Mélancolie", le duo Erik Axl Sund tisse avec brio une intrigue encore plus ambitieuse et démontre une nouvelle fois que la sensibilité poétique n'est pas étrangère à la terreur.
Qu'advient-il lorsque l'art envahit le réel, lorsque l'obsession est poussée à sa limite ultime ? L'inspecteur Jens Hurtig enquête sur une étrange vague de suicides qui s'empare de la Suède. Partout dans le pays, des jeunes mettent fin à leurs vies. Les procédés sont extrêmement déroutants, les mises en scène méticuleuses. L'élément qui les rassemble : une passion commune pour le musicien « Hunger »...
Une psychothérapeute suit deux patients difficiles : Samuel Baï, un enfant soldat de Sierra Leone et Victoria Bergman, une femme visiblement traumatisée depuis l'enfance. Tous deux présentent les mêmes symptômes : des signes de personnalités multiples. Avec ce premier roman dark et rageur, Erik Axl Sund signe un polar post punk électrisant et remet l'urgence au coeur du genre.
L'enquête sur la macabre série de meurtres des jeunes immigrés de Stockholm (voir Persona) est provisoirement suspendue lorsqu'un homme d'affaires influent est retrouvé assassiné. L'acte semble avoir été perpétré dans le cadre d'un étrange rituel. L'inspecteur Jeanette Kihlberg fait appel à la psychothérapeute Sofia Zetterlund pour établir le profil du meurtrier. Parallèlement, elle poursuit ses recherches sur la mystérieuse Victoria Bergman. De son côté, Sofia lutte pour faire taire les voix qui l'habitent, pendant que Victoria Bergman poursuit inlassablement sa croisade contre les faibles...
Dans ce dernier volet de la trilogie, Victoria Bergman tente de soigner sa personnalité fragmentée par le biais de l'autothérapie. Peu à peu sa santé mentale s'améliore. De son côté, la psychothérapeute Sofia Zetterlund prodigue à la commissaire Jeanette Kihlberg des conseils de plus en plus précieux dans son enquête sur les troublantes séries de meurtres à Stockholm. Les secrets abominables de la secte Sihtunum Diaspora vont la mettre sur la piste du passé. Jeanette va-t-elle enfin découvrir la vérité sur Victoria Bergman ? Et jusqu'où sa fille Madeleine est-elle prête à aller ?
Gare de triage de Tomteboda, au nord de la capitale. Deux chocs attendent le conducteur d'un train de marchandises en provenance du comté de Norrbotn ce matin : le premier lorsqu'il découvre un cadavre dans le wagon de queue, le deuxième lorsque le cadavre agrippe sa main et saute du train. La jeune fille pâle et maigrichonne qui s'enfuit à une vitesse surnaturelle lui rappelle la vittra, cette créature mythologique de la forêt qui hantait ses cauchemars lorsqu'il était enfant.
Avec ce dernier opus indépendant de la trilogie "Mélancolie", le duo Erik Axl Sund tisse avec brio une intrigue encore plus ambitieuse et démontre une nouvelle fois que la sensibilité poétique n'est pas étrangère à la terreur.