Le plus souvent, on ne s'y attend pas du tout. Soudain, on se sent tout chose, on est plein d'émotions... C'est si bon d'être amoureux !
Ce petit livre est avant tout le produit d'une histoire d'amitié. Sans l'amitié, en effet, l'idée même de cette "correspondance" n'aurait pu germer : confronter, à travers un échange de lettres, deux visions d'un même lieu chargé de mémoire. Catherine Panot-Contenot nous parle du Verdun où elle vit, y mêle des bribes d'Histoire - et d'histoires -, et invite à la découverte en décrivant un monde où la féminité et l'enfance sont toujours présentes, même dans l'horreur de la Grande Guerre. Jean-Louis Marteil, curieux devenu visiteur, lui répond en parcourant les sites de la mémoire et le Verdun "debout" qu'il a découvert.
Dans cet ouvrage sensible, les mots sont vivants et viennent du coeur. Les lieux se mettent à parler. Ici, Catherine Panot-Contenot et Jean-Louis Marteil ont écrit à la fois pour et avec quelqu'un. Mais ce qui sort grandi de cette lecture, c'est bien Verdun... Verdun, les morts innocents de la Grande Guerre, et aussi les vivants d'aujourd'hui.
Un romancier envoie un manuscrit à son éditeur. Rien d'exceptionnel, pourtant Federico n'imaginait pas un seul instant que ses écrits l'entraîneraient dans une si étrange aventure. En effet, quelques jours plus tard, un courrier l'accuse de plagiat. Plus étrange encore, lorsque Federico entreprend ses premières recherches, il découvre que l'intégralité de son manuscrit a été publiée quelques années plus tôt et que l'auteur, Arnaud Glandeur, a été assassiné. Alors, aidé par deux détectives, Federico devra tirer sur tous les fils de son passé pour essayer de comprendre et, au passage, rechercher le ou les coupables d'un crime non élucidé. Mais où se cache la vérité ? Fallait-il vraiment fouiller dans le passé ? Et à qui raconte-t-il cette histoire avec humour ou désappointement ?