13 à table ! vous propose un voyage autour de la Terre, sur le thème : La planète et moi...
Françoise BOURDIN ;
Marina CARRÈRE D'ENCAUSSE ;
François D'EPENOUX ;
Karine GIEBEL ;
Raphaëlle GIORDANO ;
Alexandra LAPIERRE ;
Cyril LIGNAC ;
Agnès MARTIN-LUGAND ;
Romain PUÉRTOLAS ;
Mohamed MBOUGAR SARR ;
Préface exceptionnelle de Thomas PESQUET ;
Un livre acheté = 4 repas distribués ;
Inédit ;
Illustration de Riad SATTOUF ;
Prononcez le mot Frontières et vous aurez aussitôt deux types de représentations à l'esprit. La première renvoie à l'image des postes de douane, des bornes, des murs, de ces lignes de séparation entre états que l'on traverse parfois au risque de sa vie. L'autre nous entraîne dans la géographie de l'existence humaine, frontière entre soi et l'autre, entre réel et imaginaire, entre visible et invisible, sans oublier ces seuils que l'on franchit jusqu'à son dernier souffle. La poésie n'est pas étrangère à tout cela. Qu'elle naisse des conflits frontaliers, en Ukaine ou ailleurs, ou explore les confins de l'âme humaine, elle sait tenir ensemble ce qui divise et unit. Géopolitique et géopoétique se mêlent dans cette anthologie où cent poètes franchissent les frontières leurs papiers à la main.
Découvrez 140 aphorismes impertinents, fausses couvertures de livres et autres fantaisies littéraires - dont de nombreux inédits - de L'Indéprimeuse. Tombées dans l'encre à la naissance, les soeurs Davina Sammarcelli et Felicia Sammarcelli, qui forment le duo derrière L'Indéprimeuse, pratiquent autant les belles lettres et la typographie que le clin d'oeil féministe, avec un goût incontestable pour l'absurde ou le dadaïsme. Leur devise : voir la vie en magenta, le rose de l'imprimerie !
Né il y a trois siècles au Japon, le haiku est la forme poétique la plus courte du monde. Art de l'ellipse et de la suggestion, poème de l'instant révélé, il cherche à éveiller en nous une conscience de la vie comme miracle. De Bashô jusqu'aux poètes contemporains, en passant par Buson, Issa, Shiki et bien d'autres, Haiku est la première anthologie à présenter un panorama complet de ce genre littéraire, en lequel on a pu voir le plus parfait accomplissement de l'esthétique japonaise. «Pourquoi aimons-nous le haiku ?» interrogent les préfaciers de ce livre. «Sans doute pour l'acquiescement qu'il suscite en nous, entre émerveillement et mystère. Le temps d'un souffle (un haiku, selon la règle, ne doit pas être plus long qu'une respiration), le poème coïncide tout à coup avec notre exacte intimité, provoquant le plus subtil des séismes. Sans doute, aussi, parce qu'il nous déroute, parce qu'il nous sort de notre pli, déchirant une taie sur notre regard, rappelant que la création a lieu à chaque instant. Peut-être, enfin, parce qu'il sait pincer le coeur avec légèreté. Rien de pesant, rien de solennel, rien de convenu. Juste un tressaillement complice. Une savante simplicité.»
Depuis maintenant une bonne trentaine d'années, chercheurs, collectionneurs, lecteurs et spécialistes ont permis de révéler la richesse, la profondeur et la complexité de l'oeuvre de Colette ainsi que sa personnalité, inscrits dans la modernité. C'est cette modernité qu'explore le Cahier de L'Herne. Non seulement en revisitant quelques-uns des grands thèmes de l'oeuvre, mais aussi en s'interrogeant sur la radicalité dont Colette fait preuve dans ses choix. À propos des bêtes, de la nature, ou encore de sa position ambivalente à l'égard du féminisme, dont certains travaux et textes prouvent que Colette professe un féminisme non pas théorique et militant, mais un féminisme du quotidien, on serait tenté de dire : un féminisme constitutif. Le développement des « gender studies » (études de genre), venues des États-Unis, a contribué à faire relire Colette dans cette optique. Car il s'agit, là aussi, d'une interrogation essentielle qui irrigue toute son oeuvre et bien souvent sa vie, lui permettant de questionner les représentations classiques du féminin/masculin en les détournant, voire en les inversant.
«Il restera les livres, disait Jorge Semprun. Les récits littéraires, du moins, qui dépasseront le simple témoignage, qui donneront à imaginer, même s'ils ne donnent pas à voir... Il y aura peut-être une littérature des camps... je dis bien:une littérature, pas seulement du reportage...»Les textes réunis dans ce volume ont été écrits entre 1946 et 1994 par des survivants des camps nazis. Ces survivants partagent un même dessein:témoigner de l'expérience qui a été la leur, la rendre mémorable dans une langue - le français - qu'ils ont reçue en héritage ou dont ils ont fait le choix. Moins en rapportant des épisodes extrêmes, des moments limites, qu'en rendant compte de l'ordinaire du temps concentrationnaire, sur quoi la mort règne et dans lequel s'effacent les formes et figures de l'humain.Tous constatent que les mots manquent pour exprimer une telle insulte à l'espèce humaine. «On ne se comprenait pas» (Antelme). «Il n'y a rien à expliquer» (Cayrol). L'écriture touche là aux limites de son pouvoir. Dans une entreprise de cet ordre, impossible de satisfaire aux exigences de transparence et de véridicité généralement associées au langage quand il se fait témoignage. Pour que l'indéchiffrable monde des camps échappe, si peu, si partiellement que ce soit, à l'incommunicable, pour que quelque chose existe qui relève de la transmission, chacun de ces écrivains doit explorer l'envers du langage et approfondir la «réalité rêvée de l'écriture» (Semprun). C'est à «la vérité de la littérature» (Perec) qu'il revient de préserver la vérité de la vie.Littérature. Le mot peut paraître sans commune mesure avec l'objet de tels récits. Il ne choquait pas leurs auteurs. C'est que la part littéraire ne relève pas chez eux d'un savoir-faire ou d'une rhétorique, moins encore d'un désir d'esthétisation. Mais d'un souci éthique de la forme, d'une morale du style. Antelme:«il faut beaucoup d'artifice pour faire passer une parcelle de vérité.» Semprun:« Raconter bien, ça veut dire :de façon à être entendus. On n'y parviendra pas sans un peu d'artifice. Suffisamment d'artifice pour que ça devienne de l'art!» Permettre d'imaginer l'inimaginable, rendre le lecteur sensible à une vérité aussi inconcevable exige une profonde réélaboration de la réalité.C'est en cela que les livres ici réunis sont des chefs-d'oeuvre de la littérature du second XX? siècle. Et c'est pour cela que les qualifier de chefs-d'oeuvre de la littérature ne les disqualifie pas, ne les rend pas inférieurs à la fonction que leur ont assignée leurs auteurs:témoigner d'«une catastrophe qui a ébranlé les fondements mêmes de notre conscience» (Cayrol).C'est bien à la littérature - ici non pas truchement de l'illusion, mais instrument de la vérité - que ces survivants, ces
Ce nouveau volume des "Classiques en images" propose de renouer avec la tradition du poème court japonais à travers une sélection de 60 haïkus exclusivement consacrés au voyage.Ce recueil célèbre avec justesse et simplicité le voyage comme une traversée, un égarement, un refuge, voire une contemplation, un pèlerinage ou la redécouverte de la nature :"Le vent me transperce/résigné à y laisser mes os/je pars en voyage"
Ces mots traversent les frontières est l'une des anthologies du Printemps des Poètes 2022. Elle met en lumière la poésie contemporaine ! Ici, la curiosité et la diversité l'emportent sur le dogme.
- Cette anthologie du Printemps des Poètes réunit autour du thème des frontières les textes inédits d'une centaine de poétesses et poètes contemporains francophones. Ainsi, elle est le témoin du foisonnement de la création poétique de l'année 2022.
- Ces mots traversent les frontières célèbre la poésie contemporaine et la diversité des voix qui la composent. Ici, aucun courant poétique ni aucune doctrine littéraire ne font la loi. Au fil des pages, vous découvrirez des textes singuliers qui interrogent chacun à leur manière la notion de frontière.
- Le livre est dédié aux poètes disparus en 2022 : Jeanine Baude, Michel Deguy, Henri Deluy, Michelle Grangaud, René de Obaldia, Jean-Luc Parant.
Le grand voyage des écrivains à l'abbaye de Lagrasse.
« Les écrivains ont aimé Lagrasse. Là-bas, ils ont trouvé des amis, des conseillers, des guides, des hommes simples surtout. Personne n'était là pour convaincre l'autre. Mais le pari n'était pas gagné d'avance », écrit Nicolas Diat dans sa préface.
Que s'est-il passé dans cette abbaye des Corbières, entre Carcassonne et Narbonne ? À l'ombre de bâtiments immenses dont la fondation remonte au VIIIe siècle, quarante-deux jeunes chanoines mènent une vie de prière placée sous l'égide de la Règle de saint Augustin. Pendant trois jours et trois nuits, quinze écrivains se sont succédé pour partager leur quotidien. Office, étude, travail manuel, promenade, repas, ils ont eu le privilège d'être sans cesse avec eux.
Voici les beaux récits de ces expériences inoubliables, pleines de péripéties et de surprises...
Qui ne se souvient pas de la première rencontre de Roméo et Juliette, Harold et Maude, d'Artagnan et Constance Bonacieux, Frédéric Moreau et Madame Arnoux, Humbert Humbert et Lolita, Aurélien et Bérénice ?De Racine à Stendhal, de Giono à Bernhard Schlinck, en passant par Proust et Alessandro Baricco, cet instant magique a inspiré des pages inoubliables.Drôle, violente, passionnée, surprenante, la première rencontre donne naissance aux plus belles histoires d'amour de la littérature mondiale.
Chaque année, 3000 personnes périssent en mer Méditerranée en tentant la traversée dans des embarcations de fortune. Depuis 2015, l'association sos mediterranee organise des opérations de secours grâce au navire Ocean Viking. Afin de soutenir ces sauvetages, dix-sept auteurs contemporains nous livrent un recueil de récits puissants, nous invitant à changer notre regard sur le monde.Tous les bénéfices de ce livre caritatif au contenu inédit seront intégralement reversés à SOS Méditerranée.ABD AL MALIK - JAKUTA ALIKAVAZOVIC - MURIEL BARBERY - AMINA DAMERDJI - KAMEL DAOUD - MARIE DARRIEUSSECQ - ERRI DE LUCA - JEAN-BAPTISTE DEL AMO - ANANDA DEVI - ÉRIC FOTTORINO - LAURENT GAUDÉ - MAYLIS DE KERANGAL - CAROLE MARTINEZ - FRANÇOIS MOREL - MARIE NDIAYE - WILFRIED N'SONDÉ - LEÏLA SLIMANI.Préface de JEAN-MARIE LACLAVETINE.
Se hâter avec lenteur, telle est l'option de la Tortue de la fable de La Fontaine dont on connaît la morale : «Rien ne sert de courir, il faut partir à point.»Dans une société de la rapidité, de l'éphémère, des échanges simultanés où le temps est devenu une menace, la lenteur est notre plus grand espoir. Nombreux sont les écrivains qui l'appellent de leurs voeux. Tels les écrivains voyageurs, choisissant la marche ou le train. Apprivoiser le temps, résister aux injonctions sociales, la lenteur est une promesse : échapper au monde pour se retrouver... Voyage en compagnie de Jean-Jacques Rousseau, Marcel Proust, Nicolas Bouvier, Éric Faye, Victor Segalen, Pierre Sansot, Saint-John Perse, Dino Buzzati, Virginia Woolf, Marguerite Duras, Aimé Césaire, W. G. Sebald, Julien Gracq, Georges Perec, Jean Giono, Milan Kundera, et bien d'autres..
Un siècle après sa mort, Proust n'a jamais été autant lu, traduit, commenté. Pourquoi lui? Pourquoi cet auteur qui semble si français est-il mondialement connu et reconnu? Pour le comprendre, nous avons choisi de décentrer notre regard, en réunissant quatre-vingt trois textes d'auteurs étrangers qui ont lu Proust, en français ou en traduction. Qui l'ont admiré ou envié, qui s'en sont inspiré ou qui ne l'ont pas compris, tout autour du globe. Pourquoi eux? Parce que leurs conditions de lecture ne sont pas les mêmes que celles d'un Français. Il leur faut adapter l'auteur à leur propre contexte de référence, à un environnement géographique et linguistique totalement différent. Tout en se laissant eux-mêmes déraciner et projeter vers un monde éloigné du leur. Du Japon au Brésil, de la Chine à la Catalogne, on lit Proust partout, dans toutes les langues. Les analyses et témoignages ici réunis créent de nouveaux regards sur l'oeuvre proustienne:de nouvelles interprétations, de nouvelles interrogations, de nouveaux bonheurs de lecture.Avec vingt textes traduits pour la première fois en français.
Parce que le vrai voyage commence en poésie avec le «partir pour partir» de Baudelaire, voici des poètes en partance du coeur du XIX? au coeur du XX?. Non pas une compilation des plus baroudeurs, comme on collectionnerait les pages d'un passeport surchargé de visas, mais un recueil de ceux qui tracent leur destin en marge des balises, passent souvent les bornes et bouleversent notre vision du monde.
Il n'est pas toujours facile de trouver les bons mots pour avouer son amour. Comment ne pas paraître gauche ou ridicule, importun ou trop pressant ? C'est un moment si important qu'il ne faut pas se fourvoyer.Avec le Cid et Chimène, Pâris et la belle Hélène, Juliette Drouet et Victor Hugo ou Cyrano et Roxane, apprenez à déclarer votre flamme... Vous l'aimez. Elle est tout pour vous - il est le Prince charmant, mais vous ne savez pas comment le lui dire ? Ce petit livre est pour vous !
Rousseau fouillant dans la bibliothèque de sa mère, Emma Bovary soupirant à la lecture de Paul et Virginie, la Petite Tailleuse chinoise et ses compagnons sauvés de l'enfer par Balzac, Nathalie Sarraute dévorant Rocambole, Montag, le pompier prêt à tout pour sauver les livres... Que de héros dont la vie a été bouleversée par la lecture de quelques pages!Écrivains ou héros de romans, tous peuvent témoigner de ces moments de bonheur où plus rien n'existe, hormis les histoires enfouies entre les pages d'un livre.
«Invention» des anciens Grecs au V? siècle av. J.-C., l'Histoire est une discipline à la recherche d'un passé qu'elle tente de reconstituer grâce à des témoignages et aux travaux des historiens successifs. Voici d'abord les portraits de quelques grands personnages, vus par des écrivains non moins considérables:Robespierre par Lamartine, Louis XIV par Voltaire, ou Clovis par Ruskin, entre autres. Vient ensuite l'Histoire dans toute sa diversité:les angles les plus inattendus sont souvent les plus riches en enseignement. Ce sont toutes les histoires (celle du tabac, de la sexualité, du poil, du rock'n'roll...) qui forment l'Histoire. Et pour finir, quelques questions concernant l'écriture de l'Histoire, et de sa transmission. Exploration en compagnie de Jules César, Victor Hugo, Jules Michelet, Pierre Grimal, Charles de Gaulle, Georges Duby, André Malraux, Francis Fukuyama, et bien d'autres...
Anthologie de la poésie française De Villon à Verlaine Composer une nouvelle anthologie de la poésie française serait bien téméraire, si cette initiative n'avait ici pour justification pratique et pour fin d'offrir au plus grand nombre un modeste et durable viatique : pour les plus jeunes, à l'âge des premières découvertes littéraires, un bref et stimulant aperçu du somptueux domaine qui les attend ; pour les autres, un discret rappel des syllabes immortelles qui les ont enchantés.
De ses origines médiévales (Rutebeuf, Villon) jusqu'à la fin du xixe siècle (Rimbaud, Laforgue), dans le cadre d'un art poétique codifié avant que ne commence l'aventure moderne d'une écriture libérée de toute contrainte, la poésie française est ici représentée par « ces vers qui chantent dans la tête alors que la mémoire est absente » (Verlaine).
Présentation et notes par Annie Collognat-Barès.
L'île rebelle permet de saisir l'ampleur et les nombreuses particularités de la poésie des dernières décennies d'Angleterre, de Galles et d'Écosse, constituant l'anthologie de référence en édition bilingue pour la poésie britannique contemporaine. La poésie britannique, aux antipodes du symbolisme et du formalisme hexagonaux, est le plus souvent narrative et discursive et plus encline à solliciter l'humour ou le registre social. Un humour au reste essentiellement assumé par les femmes qui représentent près du tiers des auteurs ici retenus.
Il y a cent ans, le premier tome de À la recherche du temps perdu était publié et allait révolutionner le paysage littéraire mondial.
Rares sont les lecteurs qui osent encore s'abandonner à la prose si particulière de La Recherche et aux messages que délivre son auteur, Marcel Proust...
L'été avec Proust est l'occasion d'explorer les sept tomes de ce roman, à travers ses grandes lignes fondatrices et bien sûr ses plus belles pages, en compagnie d'un spécialiste, d'un écrivain ou philosophe.
Antoine Compagnon aborde ainsi la conception très singulière du temps proustien, alors que Jean-Yves Tadié présente quelques personnages-clés du roman.
Jérôme Prieur et Nicolas Grimaldi traitent respectivement des mondanités et des tourments amoureux.
Julia Kristeva évoque les pouvoirs de l'imagination, Michel Erman dévoile les lieux les plus emblématiques de La Recherche, alors que Raphaël Enthoven nous montre que Proust n'est pas seulement romancier, mais aussi philosophe.
Enfin, le livre s'achève avec Adrien Goetz sur le sujet de la création artistique et littéraire, ambition suprême du narrateur et de Proust lui-même.
Un été avec Proust est, à l'origine, une série d'émissions diffusées pendant l'été 2012 sur France Inter.
Héritée d'une tradition païenne antique, ancrée dans l'opposition et la résistance des Bretons à l'envahisseur germanique, chantée par les bardes dans un dialecte celtique, la légende arthurienne prend corps au IX? siècle, en terre galloise, dans les récits en latin et en prose. C'est à partir de 1130 que l'histoire légendaire de ce roi vaillant et brave, chef charismatique et incontesté, personnage fabuleux et victorieux, connaît un écho retentissant auprès du public, à travers toute l'Europe, grâce à l'ambitieuse chronique du clerc anglais Geoffroi de Monmouth, Histoire des rois de Bretagne. À sa suite, en particulier sous l'impulsion de Chrétien de Troyes, le roman arthurien s'enrichit de nombreux épisodes des aventures du roi et de ses compagnons chevaliers:exploits prodigieux, conquêtes amoureuses, quête du saint Graal...À la lumière de l'histoire culturelle, sociale et politique du Moyen Âge et de ses images (enluminures, sceaux, armoiries...), cette édition propose de mieux comprendre la transformation de la matière dite de Bretagne en l'une des plus grandes légendes de tous les temps.Cycle sans égal inscrit au patrimoine littéraire mondial, la légende arthurienne n'a cessé de nourrir toutes les formes de la création - des récits de Chrétien de Troyes aux opéras de Wagner, aux beautés préraphaélites, jusqu'au nonsense des Monty Python... - et de hanter notre imaginaire.