Aisya, une orpheline, peut donner vie à ses peintures en utilisant son sang. Enfermée et exploitée, elle crée des peintures maudites apportant richesse et mort à ses acquéreurs. Pour être moins seule, elle donne naissance à Loki. Avant de mourir, elle lui demande de trouver ses oeuvres maudites et de sauver les personnes envoutées. Plus Loki en apprendra sur les hommes plus il les détestera.
Aisya, une orpheline, peut donner vie à ses peintures en utilisant son sang. Enfermée et exploitée, elle crée des peintures maudites apportant richesse et mort à ses acquéreurs. Pour être moins seule, elle donne naissance à Loki. Avant de mourir, elle lui demande de trouver ses oeuvres maudites et de sauver les personnes envoutées. Plus Loki en apprendra sur les hommes plus il les détestera.
Aisya, une orpheline, peut donner vie à ses peintures en utilisant son sang. Enfermée et exploitée, elle crée des peintures maudites apportant richesse et mort à ses acquéreurs. Pour être moins seule, elle donne naissance à Loki. Avant de mourir, elle lui demande de trouver ses oeuvres maudites et de sauver les personnes envoutées. Plus Loki en apprendra sur les hommes plus il les détestera.
Aisya, une orpheline, peut donner vie à ses peintures en utilisant son sang. Enfermée et exploitée, elle crée des peintures maudites apportant richesse et mort à ses acquéreurs. Pour être moins seule, elle donne naissance à Loki. Avant de mourir, elle lui demande de trouver ses oeuvres maudites et de sauver les personnes envoutées. Plus Loki en apprendra sur les hommes plus il les détestera.
Aisya, une orpheline, peut donner vie à ses peintures en utilisant son sang. Enfermée et exploitée, elle crée des peintures maudites apportant richesse et mort à ses acquéreurs. Pour être moins seule, elle donne naissance à Loki. Avant de mourir, elle lui demande de trouver ses oeuvres maudites et de sauver les personnes envoutées. Plus Loki en apprendra sur les hommes plus il les détestera.
Aisya, une orpheline, peut donner vie à ses peintures en utilisant son sang. Enfermée et exploitée, elle crée des peintures maudites apportant richesse et mort à ses acquéreurs. Pour être moins seule, elle donne naissance à Loki. Avant de mourir, elle lui demande de trouver ses oeuvres maudites et de sauver les personnes envoutées. Plus Loki en apprendra sur les hommes plus il les détestera.
Aisya, une orpheline, peut donner vie à ses peintures en utilisant son sang. Enfermée et exploitée, elle crée des peintures maudites apportant richesse et mort à ses acquéreurs. Pour être moins seule, elle donne naissance à Loki. Avant de mourir, elle lui demande de trouver ses oeuvres maudites et de sauver les personnes envoutées. Plus Loki en apprendra sur les hommes plus il les détestera.
Aisya, une orpheline, peut donner vie à ses peintures en utilisant son sang. Enfermée et exploitée, elle crée des peintures maudites apportant richesse et mort à ses acquéreurs. Pour être moins seule, elle donne naissance à Loki. Avant de mourir, elle lui demande de trouver ses oeuvres maudites et de sauver les personnes envoutées. Plus Loki en apprendra sur les hommes plus il les détestera.
Elle n'est pas née Cruella. Talentueuse, innovante et ambitieuse, Estella rêvait de devenir styliste de mode. Mais le monde en avait décidé autrement... La vie d'escroc est loin d'être glamour, mais dans le Londres des années 70, au carrefour de la mode, Estella l'arnaqueuse s'imagine devenir styliste. Elle sait qu'elle pourrait mettre le monde à ses pieds avec ses créations. Si seulement elle avait les moyens de ses ambitions ! Suivez le quotidien d'Estella dans la rue avec ses acolytes de crime, Horace et Jasper avant que la tornade Cruella d'Enfer ne fasse surface et ravage tout sur son passage !
Une histoire inédite et complémentaire au film "Cruella" de Disney !
Ce roman retrace l'enfance d'un garçon dans la banlieue de Djibouti ville. Une enfance partagée entre la misère et le combat pour réussir. A cela s'ajoutent des récits véridiques sur la guerre entre les deux grands voisins, l'Ethiopie et la Somalie. L'auteur s'engage également pour l'égalité sociale grâce au tableau, sans concessions, de la vie des Madibanes, ce petit peuple qui vit en corne d'Afrique et jusque-là marginalisé.
L'exil... ce grand départ vers le large, vers l'inconnu. Partir pour gagner sa vie ou changer de carrière. Il y a ceux qui partent parce que l'herbe est verte ailleurs. Il y a aussi, ceux qui comme Rachid Hachi, partent parce qu'ils n'ont plus leur place dans leur pays.
L'exil... c'est ce déracinement qui est tour à tour une douleur et une délivrance. La douleur de quitter son pays, sa famille, les êtres chers. Ce recueil est un cri de coeur de l'écrivain. Un recueil d'une cinquantaine de poèmes, parfois pleins d'espoir, chargés de nostalgie, parfois chargés de beaucoup de colère aussi. En filigrane, il y a le pardon et la volonté d'aller de l'avant.
Ce roman, c'est l'histoire de Egueh, un homme honnête, travaillant à La Douane. Les péripéties de la vie l'amèneront à renier ses convictions.
J'ai choisi La Douane. Il pouvait travailler ailleurs. La tentation est partout pareille. Le seul message que j'ai voulu faire passer, c'est le métier de douanier, très pénible et méconnu dans notre pays.
Nous les voyons partout, aux quatre coins du territoire.
Sont-ils pour autant respectés dans leur travail ?
Nous connaissons la guerre sous différentes qualifications : la guerre d'un pays contre un autre, la guerre civile où toute une nation se ligue contre un gouvernement en place, la guerre d'une ethnie à une autre, la guerre sainte.
Mais comment définir celle qui sévit en Somalie sinon d'absurde ? Aucun gouvernement n'est à combattre puisqu'ils défilent comme des étoiles filantes.
Aucune autre religion n'existe si ce n'est l'islam. Aucune autre ethnie ne vit là à part les Somalis. Aucune autre langue n'y est parlée. Pourquoi s'entretuer alors jusqu'à faire disparaître la notion même de société ?
Si la fiction de Noureddine Farah avait souvent pour cadre la Somalie prospère et bien portante d'une autre époque, Rachid Hachi a lui choisit de nous décrire cette Somalie actuelle qui se déchire sur la place publique.
À travers différents « destins brisés », le romancier nous fait avec beaucoup de pudeur le compte rendu du quotidien de ce qui reste d'un peuple. Ici, il n'est plus question de cette Somalie appelée autrefois « perle de l'océan Indien ».
Rachid Hachi, écrivain et poète prolifique djiboutien, a su imaginer une histoire de passion entre deux êtres, avec tous les obstacles opposants des clans, des ethnies, des religions, de grands peuples africains ! Une description sans excès du Djibouti actuel, ses soucis, ses faiblesses structurelles.
Il a rajouté une séparation dramatique, donnant ainsi une justification à Dieu et aux règles morales de la société contemporaine djiboutienne actuelle, mais avec un défi final, prolongé au-delà de la mort...
Une belle histoire d'amour où tout est impossible et qui pourrait devenir l'équivalent d'un Roméo et Juliette africain au nom de la passion, la vraie celle qui franchit tous les obstacles en son nom. Une histoire poignante ouvrant pudiquement la confrontation de plusieurs coutumes dans un Djibouti avec un pied dans l'Afrique des ethnies et dans une modernité qui se cherche...
Hargeisa, la capitale de la république autoproclamée du Somaliland. Une terre et des hommes déshérités par plus de deux décennies d'isolation. Pourtant, ce pays s'en sort bien. Il n'a rien à envier aux pays dûment reconnus. Le pays fonctionne, avec sa Police, son Armée et un gouvernement démocratiquement élu. Le pays se construit aussi. La capitale, Hargeisa, et bien d'autres villes du pays, essaye tant bien que mal à afficher une allure de normalité, un aspect de grandes villes fréquentables. Des bâtiments sortent de terre, les services se diversifient et s'étoffent. Toutefois, les séquelles de la guerre civile, même si les stigmates ont depuis longtemps disparu des façades, dorment dans les consciences. Avec ce recueil, ils se révèlent à nous.
Muqdisho évoque pour moi toutes ces pièces de théâtre en langue somalie dont je me délectais. Avec ses histoires d'amour et ses malheurs, il y avait toujours une morale ; les chansons de la fameuse troupe Waaberi entonnées par les grandes chanteuses Fadumo Qassim avec sa voix suave, Magool ou encore Khadija Qalanjo pour ne citer que celles-ci.
Les chanteurs ne sont pas en reste. Que dire des chants de Samatar Hassan Adam ou Omar Dhuule Ali accompagné de son oud. Tu brillais Muqdisho.
Puis la guerre t'a fauchée. Tes enfants ont commencé à s'entretuer, qui pour son clan, qui pour l'appât du gain, qui pour Allah. Et puis il y a celles et ceux qui luttent pour leur survie. Muqdisho « la perle blanche de l'Océan Indien », tu as perdu de ta superbe. Si Nuruddin Farah raconte si bien ton univers infernal dans son roman « Exils », aujourd'hui une autre plume écrit ce malheur qui vient te frapper à nouveau de plein fouet. Le monde s'en est ému ! Dans « Sèche tes larmes Mogadiscio », l'écrivain Rachid Hachi en appelle à ta résistance, à ta résilience comme tu en as toujours été capable et dans « L'enfant de Mogadiscio » c'est un cri d'espérance. Cet espoir qu'incarnait « Mariam digne fille de Xamar ».
Tour à tour historiques, tristes, poignants, les poèmes décrivent les conséquences de cette guerre sans fin. Mais l'espoir qu'un jour règne la paix se lit en filigrane dans ce recueil. Qu'enfin cesse cette image de désolation d'une ville jadis florissante.
Dr. Djaltou Aboubaker.
Le safar est une aussi pérégrination. Pourtant, Rachid Hachi fait clairement la distinction entre les deux. Ce qui n'a pas manqué de m'intriguer quand j'ai parcouru ce recueil pour la première fois. Après plusieurs lectures, j'ai finalement compris cette distinction fort subtile. Rachid Hachi ne nous livre pas seulement sa poésie, il nous enseigne aussi les subtilités de la langue somalie qu'il semble bien maîtriser.
Pour l'auteur, le safar correspond au voyage alors que la pérégrination s'approche plus du sahan. Dans l'un et l'autre, l'amour de cette terre safran dégouline de cette poésie vivante.
Dr. Abdoulkader Waberi Moumin.
Loin de toute cette polémique qui entoure aujourd'hui la condition de la femme, parfois vue comme un cheval de bataille politique, l'auteur essaye de nous ramener vers l'essentiel : que la femme est et restera source de vie !
À travers des vers subtilement enroulés dans la mélodie de l'amour, Rachid Hachi nous dévoile, néanmoins, la complexité de la relation homme-femme. Une relation de « Je t'aime, moi non plus ». Mais la souffrance dans la relation, il l'inscrit dans un registre d'incompréhension où l'homme comme la femme sort perdant. On le voit à travers les poèmes « Elle ne reviendra plus », « Personne ne m'attend au bout du chemin » ou « N'oublie pas ».
Il n'est plus à démontrer que la poésie est la forme d'expression artistique la plus riche et la plus populaire dans nos contrées. Dans Berger des maux, Rachid Hachi s'est saisi des mots et des formes pour exprimer la révolte plus que les lamentations avec la poésie.
Ce langage métaphorique, Rachid Hachi s'en est saisi pour décrire une réalité désolante en puisant dans les malheurs de notre continent, dans les travers de la société djiboutienne. Dès le premier poème, le ton est donné. L'Afrique la tant convoitée ! Les richesses dont elle regorge sont la cause de tous ses malheurs.
Mais l'espoir n'est pas perdu, l'Afrique brillera un jour. L'Afrique chantée par ses enfants « Le poète [d'Afrique noire] avait une mission de libération, et il n'était alors pas question de pérorer sur la rose, d'admirer le ciel bleu : l'art pour l'art étant considéré comme une gageure » avait dit Alain Mabanckou dans la préface de l'anthologie « Six poètes d'Afrique francophone ». Ce poème de l'auteur Rachid Hachi s'inscrit dans cette lignée. Dans « Porte de Lamentations », la légende des abîmes du Goubet fréquentés par des démons qui tireraient vers les profondeurs tous les audacieux osant s'y aventurer constitue la toile de fond de la désolation, de la déception.
Mais un sursaut de colère et voici l'envie de rédemption. Tout au long de la lecture de ces poèmes, nous sommes tour à tour entre tristesse, colère et puis envie d'expiation. Bref, c'est l'espoir qui est chanté en filigrane
Le silence rime avec la tranquillité, la solitude se conjugue avec la quiétude... de cette terre désolée, se dégage une vie exaltante qui me distrait de mon objectif. Un arbuste m'appelle de cet oued, une montagne me révèle des secrets, ce banc de sable me conte l'histoire de ceux qui l'ont foulé et meurtri, l'eau limpide et douce de ce puits me reflète l'histoire explosive de ces contrées.
Le trésor de Weima est une légende, une légende pour la vie. Chacun de nous voudrait trouver ce magot qui le tirerait de la misère... le trésor n'est pas souvent celui que l'on veut qu'il soit !
La nuit, à la lumière de ma lampe à pétrole, le génie sort enfin de sa cachette. Le voilà qui s'étire sur les pages froissées et m'entraîne avec lui loin de la misère de Balbala. Pendant des heures, je vole, accroché à ses épaules, je survole des pays qui me sont inconnus. Je me remplis les yeux de verdure, de beaux bâtiments étincelants sous un soleil clément. Plongé dans cet univers féerique, j'entends ma mère dire : « Rachid, il est temps de dormir, demain tu vas à l'école ».