«Après que le duc eut occupé la Romagne, il trouva que le pays était plein de larcins, de brigandages et d'abus de toutes sortes : il pensa qu'il était nécessaire pour le réduire en paix de lui donner un bon gouvernement. À quoi il proposa messire Remy d'Orque, homme cruel et expéditif. Celui-ci en peu de temps remit le pays en tranquillité et union. Mais ensuite Borgia, estimant qu'une si excessive autorité n'était plus de saison, voulut montrer que, s'il y avait eu quelque cruauté, elle n'était pas venue de sa part, mais de la mauvaise nature du ministre. Prenant là-dessus l'occasion au poil, il le fit un beau matin, à Cesena, mettre en deux morceaux, au millieu de la place, avec un billot de bois et un couteau sanglant près de lui. La férocité de ce spectacle fit le peuple demeurer en même temps content et stupide.» Ce volume contient aussi des extraits du Discours sur la première décade de Tite-Live, de L'Art de la guerre, des Histoires florentines, du Rapport sur les choses de la France et des Lettres familières.
«Il y a une étonnante franchise dans les préceptes machiavéliques. L'honnête homme parle volontiers de droit des peuples, de droit des gens ; en réalité, ces droits, il faut la contrainte pour qu'ils soient respectés ; et même avec la contrainte, la plupart du temps on les tourne. Dans les simples rapports de commerce, à chaque instant on a recours au contrat, à la signature ; on multiplie les marques de l'engagement, tant on sait que les engagements sont précaires. Quel est le niais qui se fierait à un engagement oral quand les engagements écrits mêmes sont loin d'être le roc sur lequel on peut bâtir? Dans le social, le contrat n'a jamais cessé d'être tourné malgré toutes les protestations de bonne foi. Il y a même certitude de mauvaise foi dès qu'il y a affirmation répétée de bonne foi. Chez nous, un démenti confirme. C'est ici que Machiavel met une franchise d'acier. Dès que le contrat se discute, il déclare qu'il sera tourné et quand il se signe, il démontre que la signature ne vaut rien, n'engage rien de réel ; qu'on vient, somme toute, de perdre son temps. Il défend qu'on parle de bonne foi ; il empêche qu'on parle de bonne foi ; il a la loyauté de proclamer, avant que tous les débats ne commencent, qu'ils seront essentiellement présidés par la mauvaise foi. Il ne s'occupe que de la stricte vérité. C'est à ce titre qu'il est un écrivain moderne.
Il cherche à savoir si l'homme peut être gouverné par l'homme. Il est donc logiquement amené à étudier l'homme. C'est également cette étude que nous pouvons faire avec lui.» Jean Giono.
Célèbre manuel consacré au pouvoir politique, Le Prince de Machiavel livre une réflexion moderne, accompagnée de conseils et d'exemples concrets, sur la conception et les arcanes du pouvoir, les moyens de le conquérir et de se maintenir aux plus hautes sphères de la société.
«Rien ne fait autant estimer un prince que ne le font les grandes entreprises et le fait de donner de soi des exemples exceptionnels».
Une méditation intemporelle sur les qualités essentielles, les devoirs et aussi les travers de l'homo politicus.
Philosophe et diplomate dans une Italie bouleversée par les guerres civiles, Machiavel se livre à une réflexion sur le pouvoir, l'art de le conquérir et de s'y maintenir. D'une étonnante modernité, plus de cinq siècles après sa parution, Le Prince reste le livre de chevet de tous les hommes politiques, car «la fin justifie les moyens».
Une interrogation sous forme d'un dialogue sur les rapports que doivent entretenir le pouvoir militaire et le pouvoir politique.
C'est pour avoir confondu morale et politique que l'on a fait à Machiavel une réputation d'auteur cynique. À tort. Le Prince est un manuel de gouvernement, comme il existe des manuels d'équitation. Le but d'un bon cavalier est de rester en selle ; le but d'un prince est de garder le pouvoir, de ne pas se faire désarçonner par un rival ou par le peuple. Gouverner, c'est d'abord conserver ce pouvoir, « c'est mettre vos sujets hors d'état de vous nuire et même d'y penser ». Le devoir de prince n'est point de faire le bonheur du peuple ; d'ailleurs le peuple « ne demande rien, sinon de n'être point opprimé ».
Ce que Machiavel met à jour, c'est le mécanisme du pouvoir sous l'Ancien Régime. Ses oeuvres politiques trouvent donc obligatoirement leur prolongement dans les oeuvres historiques : l'Histoire de Florence est le complément indispensable du Prince.
Or, un homme de la Renaissance ne serait pas cet homme complet qu'est le « courtisan » sans le sens du divertissement. Machiavel est aussi un poète et un homme de théâtre. La Mandragore est une pièce régulièrement reprise par les troupes d'aujourd'hui. Et ses Lettres familières le restituent au milieu de ses amis, attentif aux plaisirs des uns, aux chagrins des autres, enjoué et plein d'humour.
Cette édition réunit pour la première fois dans une traduction nouvelle l'ensemble des oeuvres de Machiavel. Un Dictionnaire de Machiavel, inédit, permet au lecteur de replacer l'auteur dans son époque et de se familiariser avec les termes clefs de sa pensée.
Une oeuvre philosophique complétée par des notes et enrichie par un commentaire méthodique pour une initiation à la compréhension des grands concepts et des grands auteurs de la philosophie.
Un traité sur la façon de gouverner et de conserver le pouvoir, à l'attention des princes.
Contexte:
Machiavel (1469 - 1527), homme politique et philosophe de la Renaissance, a développé une vision du pouvoir non pas morale mais pragmatique, grâce à son observation des pratiques politiques florentines au XVIe siècle.
L'oeuvre:
Le Prince, rapidement condamné par la critique pour son absence de considération morale dans sa description de la pratique de l'exercice politique, a fait naître l'adjectif machiavélique , en référence directe à son auteur. Machiavel se livre ici à un réalisme politique loin de toute utopie. Pourtant, il est aussi un penseur de la liberté.
Les concepts clés:
Le peuple Le prince Le machiavélisme La raison d'état La nécessité...
La collection Intégrales de philo, une approche complète et approfondie d'une oeuvre essentielle Une oeuvre commentée par des spécialistes Des dossiers autour de l'oeuvre Plus de trente titres 4 périodes : Antiquité, Moyen Âge et Renaissance (Ve - XVIe s.), période moderne (XVIIe - XIXe s.), période contemporaine (XXe s.)
Le Discours sur notre langue est le premier traité linguistique du XVIe siècle italien et l'une des oeuvres les plus personnelles de Machiavel. S'appuyant sur le traité De vulgari eloquentia de Dante, le Vicentin G. G. Trissino (1478-1550) fait imprimer à Rome en 1524 une Épître sur les lettres nouvellement ajoutées à la langue italienne, dédiée au pape Clément VII. Quand les Toscans entendent qualifier d'italienne la langue littéraire en usage dans la péninsule, leur sang ne fait qu'un tour. En réponse immédiate, le Discours sur notre langue est un plaidoyer patriotique en faveur des droits du parler florentin, selon la méthode de l'époque par raisons (arguments) et autorités (citations des grands auteurs). Déformant sans scrupule l'histoire de la littérature italienne, Machiavel prétend qu'elle naît avec Dante, Pétrarque et Boccace, déclarés Florentins, et que tous les autres écrivains d'Italie ont dû apprendre la langue de ces « trois couronnes », tant leur propre parler était inapte à la littérature. Le Discours constitue ainsi l'acte de naissance de la « Question de la langue », débat passionné qui mobilise ensuite pendant des années de nombreux lettrés italiens (Firenzuola, Martelli, Tolomei, Lenzoni...). Il vaut notamment par le dialogue central entre Machiavel et Dante ressuscité, coup de théâtre où l'on reconnaît la patte du dramaturge, qui convoque l'auteur de la Divine comédie en personne pour le soumettre à un interrogatoire serré et impitoyable sur ses choix linguistiques et stylistiques - et le désavouer.
Un véritable bijou exhumé des archives !
Dépêché à cinq reprises à la cour de France par la Signoria, le gouvernement de Florence, et deux fois auprès de l'empereur d'Allemagne Maximilien de Habsbourg, Machiavel, jeune et sagace diplomate, s'attache à décrypter les arcanes de ces deux grands Etats. Rompant avec la tradition diplomatique ancienne, il se fait l'oeil de Florence en terres étrangères et rend scrupuleusement compte à la Signoria de ses observations, dans des billets voués à demeurer confidentiels.
Ces notes analysent, sans fioritures ni états d'âme, les lignes de force de ces Etats aussi bien que la psychologie de leurs habitants : les Français, par nature, sont changeants et légers, [...] d'une grande humilité dans le malheur, et insolents quand tout va bien . Les Allemands, eux, sont riches parce qu'ils vivent comme des pauvres, ils ne bâtissent rien, ne s'habillent pas et n'ont chez eux aucun meuble ; il leur suffit d'avoir en abondance pain et viande, ainsi qu'un poêle où fuir le froid .
Dans ces textes savoureux, joints à deux billets destinés à instruire de jeunes confrères ambassadeurs, Machiavel expose méticuleusement les secrets, tels qu'il les conçoit, de l'art de la diplomatie.
Jean-Yves Boriaud traduit et présente ces documents, leur rendant leur exceptionnelle modernité. Professeur émérite de langue et littérature latines, il est déjà le traducteur de textes essentiels de Machiavel, L'Art de la guerre et Le Prince .
Durant cette période difficile, il s'est placé sous la protection de son ami Francesco Vettori, qui après avoir servi le régime républicain, s'est rangé habilement sous la bannière des nouveaux maîtres de Florence. Dans la première des lettres qu'il lui adresse, et qui est aujourd'hui l'une des plus célèbres de toute la littérature épistolaire italienne, Machiavel commence par décrire en des termes particulièrement émouvants et expressifs sa retraite à la campagne où il se ronge dans l'inaction, puis au détour d'une phrase évoque la rédaction d'un "opuscule" qui traitera de la souveraineté, des moyens de l'acquérir et des risques de la perdre... et qui n'est autre que Le Prince.
Cette édition bilingue du Prince, précédée des textes brefs et variés que Machiavel a rédigés lorsqu'il était impliqué dans la vie politique, permet de remettre l'un des traités les plus importants et les plus commentés de l'histoire dans son contexte historique et politique.
Oh, j'ai de belles choses à vous raconter ! Ma femme était au lit, dans le noir.... Je suis arrivé en haut avec ce garnement, et, pour être sûr de ne pas acheter chat en poche, je l'ai emmené dans un réduit que j'ai au-dessus de la salle, où brûlait un lumignon vacillant qui jetait une faible lueur, de sorte qu'il ne pouvait pas voir ma figure... Je l'ai fait déshabiller ; il rechignait ; alors, j'ai commencé à lui aboyer après comme un chien, après quoi le temps lui durait d'avoir ôté ses habits, et finalement il s'est retrouvé tout nu. De figure, il est laid. Il avait un nez horrible, une bouche tordue... mais tu n'as jamais vu des chairs plus belles : c'est blanc, doux, moelleux... Quant au reste, ne m'en parle pas... Puisque j'avais mis la main à la pâte, j'ai voulu tâter jusqu'au fond du pétrin ; après ça, j'ai voulu voir s'il était sain : s'il avait eu des pustules de mal français, tu imagines dans quels draps je me serais trouvé ? Ce que tu dis, c'est facile à dire !... Après avoir vu qu'il était sain, je l'ai traîné derrière mon dos et, dans le noir, emmené dans la chambre et mis au lit ; et, avant de m'en aller, j'ai voulu tâter de la main comment se présentait la chose, car je n'ai pas l'habitude de prendre des vessies pour des lanternes. (Acte V, scène II)
Parmi les royaumes bien organisés et gouvernés de notre temps, il y a celui de France, où l'on trouve une infinité de bonnes institutions, dont dépendent la liberté et la sécurité du roi ; au premier rang desquelles figure le parlement avec son autorité. Parce que celui qui institua ce royaume, connaissant l'ambition des puissants et leur insolence et jugeant nécessaire qu'ils aient dans la bouche un frein pour les corriger, sachant d'autre part fondée sur la peur la haine du populaire envers les grands et voulant rassurer ces derniers, ne voulut pas que ce fût là une attribution particulière du roi, pour lui épargner les éventuels griefs des grands s'il favorisait le populaire et ceux du populaire s'il favorisait les grands ; c'est pourquoi il institua un tiers juge chargé, sans qu'on en fît grief au roi, de battre les grands et favoriser les petits ; institution, celle-ci, qui ne pouvait être ni meilleure ni plus prudente, ni une plus grande source de sécurité pour le roi et le royaume. D'où l'on peut tirer un autre enseignement digne d'être noté, à savoir que les princes doivent faire en sorte que soient administrées par d'autres les choses qui sont matière à griefs, et par eux-mêmes celles qui sont matière à gratitude. Et je conclus une nouvelle fois qu'un prince doit faire cas des grands, mais ne pas se faire haïr du peuple. (Le Prince, ch. XIX)
Le Diable amoureux, par Cazotte. Le Démon marié, par Machiavel Date de l'édition originale : 1853 Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
Les oeuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d'une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d'un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espérons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entière satisfaction.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Le prince / de Nicolas Machiavel ; nouvelle traduction précédée de quelques notes sur l'auteur, par C. Ferrari http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56855302
Pour conquérir et conserver le pouvoir à tout prix, accrocher ce Bookster au dessus de votre lit ou dans votre salle de bains. Dans Le Prince, Machiavel se fonde sur la compréhension et la manipulation des sentiments humains et populaires pour exposer l'art de la conquête et de la conservation du pouvoir.
On ne retient souvent de la philosophie politique de Machiavel que cet aspect d'absence de scrupules, cette idée que « la fin justifie les moyens ». Pourtant, la véritable intention de l'auteur est que ces conseils doivent permettre de libérer et d'unifier l'Italie. Dans une certaine mesure, tous les calculs rusés suggérés par Machiavel ont aussi pour but de préserver le peuple de soulèvements qui pourraient le conduire à la famine et à la répression armée. Comme il l'a écrit deux mois avant sa mort, Machiavel chérissait la liberté de sa patrie plus que tout.
Machiavel, ou Morceaux choisis et pensées de cet écrivain sur la politique, la législation, la morale... On y a joint une traduction nouvelle et complète du Prince, par M. Léon H. [Halévy.]. Tome 2 Date de l'édition originale : 1823 Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
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Oeuvres de Machiavel. Tome 8 / traduction nouvelle par Tt Guiraudet Date de l'édition originale : 1798 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
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OEuvres de Machiavel. Nouvelle édition. Contenant les trois premiers livres de l'Histoire de Florence. Tome quatrieme Date de l'édition originale : 1793 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
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Oeuvres politiques de Machiavel / traduction revue et corrigée Date de l'édition originale : 1847 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
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Réflexions de Machiavel sur la première décade de Tite-Live Nouvelle traduction précédée d'un discours préliminaire par M. D. M. M. D. R.. Tome 2 Date de l'édition originale : 1782 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
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