Élu à moins de 30 ans, Charles figure parmi les plus jeunes députés de l'histoire de France à rejoindre les bancs de l'Assemblée nationale, une prouesse qui a fait de lui la coqueluche des médias, toujours avides de fraîcheur dans un monde politique grisonnant et dominé par les vieux appareils. Charles tranche, sa vitalité réveille et son audace détonne : tous les projecteurs sont braqués sur ce jeune loup qui rêve aux ors de l'Élysée.
Pour l'aider dans son ascension vers le pouvoir suprême, Charles peut compter sur deux génies protecteurs qui oeuvrent en coulisse: la vivace Florence, sa maîtresse, une journaliste rusée, jamais à court de stratagèmes, qui règne sur la première chaîne télé de France ; et sur son père, Jean-Baptiste d'Orgel, un acteur célèbre aimé du public, qui connaît mieux que personne le Paris des arts et des médias.
Mais plusieurs menaces planent sur les ambitions de Charles : l'ombre de son histoire familiale qui se dessine sur fond de drame, de fureur et d'assassinats ; le spectre d'un beau-père, plein d'amertume et d'aigreur. Il y a aussi les chausses trappes de ses rivaux, la découverte d'un enregistrement pirate qui compromet gravement le président en exercice sous les traits duquel on reconnaitra aisément un ancien président de la République, les infortunes du quotidien ; mais plus dangereux encore est l'arrivée de Blanche dans sa vie, une sulfureuse écrivain à succès, qui risque de briser l'alliance tacite qu'il a conclue avec Florence...
Entre les eaux froides du calcul politique et les flammes imprévisibles de la passion, entre le rêve de gloire à portée de main et l'amour vrai à portée de coeur, Charles saura-t-il trouver le juste-milieu ?
« Longtemps j'ai hésité à arpenter avec mes mots, une nouvelle fois, cette terre de Bretagne qui m'est si chère. J'ai publié, dans le passé, deux ouvrages célébrant le pays de Chateaubriand. Me serait-il possible d'ouvrir de nouveaux horizons ? Je me suis alors souvenu du mot de Xavier Grall, ce poète merveilleux : «La Bretagne, multiple dans son unité secrète.» La Bretagne n'est pas un sujet qu'on épuise. Elle se découvre, à qui sait l'apprivoiser, et se redécouvre sans fin. Partant de Trégastel, mon fief intime et familial, où j'aime vivre, lire, aimer, j'ai choisi de me balader à ma guise, le long des côtes, au large et au coeur des terres, et je vous invite à la rencontre des paysages, des écrivains, des silhouettes que j'admire. Parcourant les contrées bretonnes et voguant sur les flots, prenant le temps de regarder, de me poser, d'écouter, je suis au plus près de mes émotions, de mes passions, de ma «Bretagne au coeur». Qu'il me soit permis, chapitre après chapitre, de vous la faire partager... »
Patrick Poivre d'Arvor Les Enfants de l'aube Le premier roman de Patrick Poivre d'Arvor est un roman d'amour. D'amour fou entre deux adolescents. A l'écart de la comédie des adultes qu'ils récusent. Ils se jettent dans la plus belle et la plus émouvante des aventures... comme des oiseaux contre une vitre dans les couleurs de l'aube.
Cette tendre et tragique histoire d'amour, chacun de nous l'a vécue, ou rêvée.
Il s'agit d'un livre qui survivra à l'actualité littéraire. Une autre version du Blé en herbe ou de Tristan et Iseult.
Julia Bordeau, Le Figaro Magazine.
Une histoire triste et romanesque sur deux adolescents qui se retrouvent dans un sanatorium pour vivre, en marge du réel et du monde des adultes, une très belle et brève histoire d'amour.
Isaure de Saint Pierre, V.S.D.
L'aventure va être sublime : violente comme certains passages de la 7e Symphonie de Beethoven, douce comme un lac scandinave.
François Cérésa, Le Nouvel Observateur.
Les hommes roulaient en DS ; les femmes portaient des mini-jupes dessinées par Mary Quant. Dans le métro, on tendait son ticket à un poinçonneur. La musique s'écoutait en 45 ou 33 tours. Plus tard, le walkman fera l'effet d'une révolution. Dans les salles de cinéma, des ouvreuses nous menaient à notre fauteuil. Les cassettes permettaient de visionner des films sur le magnétoscope VHS.
Dans ce dictionnaire intime, Patrick Poivre d'Arvor se rappelle un temps où la crise était loin, une époque heureuse qui mérite d'être célébrée.
En rassemblant ses souvenirs, il fait revivre les apéritifs d'antan, l'âge d'or des paquebots, les biscuits que son grand-père lui rapportait de ses voyages ou les Dinky Toys qu'il collectionnait enfant...
Par petites touches personnelles, il brosse le roman des Trente Glorieuses.
Première édition : l'Archipel, 2014.
« Ma mère est morte cet été. Le sol s'est dérobé sous mes pieds. J'ai perdu mes repères, tout autant que ma mère. Après la disparition de mes deux filles, la mort rôde une nouvelle fois. J'ai du chagrin, mais je ne peux pas le dire, ma mère me l'a toujours interdit. Une femme secrète, retenue, emmurée, droite, digne, qui détestait la maladie et l'hôpital. Pour elle comme pour les autres. A-t-elle aimé ses enfants ? Évidemment. Le leur a-t-elle dit ? Pas sûr. Les a-t-elle jamais embrassés ? Je ne m'en souviens pas. Tant de non-dits entre pudeur et impudeur... ».
Ce livre est l'hommage d'un homme redevenu petit garçon.
En 1774, un jeune gentilhomme auvergnat, Gilbert de La Fayette, se présente à la cour. Entre lui et la jeune Marie-Antoinette, qui n'est pas encore reine, quelques regards suffisent à exprimer une attirance et un désir réciproques.
La Fayette aura bientôt l'occasion de briller aux yeux de celle qui est entrée dans son coeur, en devenant un héros de la guerre d'indépendance américaine contre les Anglais. Devenu le fils spirituel de George Washington, il revient à Versailles auréolé de gloire - mais aussi fasciné par un idéal démocratique et républicain qui heurte de plein fouet les préjugés de l'aristocratie.
Lorsque éclate la Révolution, devenu chef de la Garde nationale, La Fayette ne cessera plus d'être déchiré entre ses idéaux et le désir de protéger celle qu'il aime - une protection qui, à plusieurs reprises, sauvera probablement la vie de la reine. Mais cet homme résolu à changer l'histoire ne devra-t-il pas le payer d'un amour impossible ? C'est dans une bourrasque historique et romanesque que nous entraîne Patrick Poivre d'Arvor, avec ce double roman de l'aventure américaine et de la passion fatale d'un coeur républicain pour la reine de France.
Antoine de Saint-Exupéry est l'une des personnalités françaises les plus fascinantes du XXe siècle. Aviateur de l'Aéropostale et de l'armée de l'air, il est surtout un auteur au succès mondial, notamment grâce au Petit Prince, conte intemporel qui a bercé des générations entières.
Patrick Poivre d'Arvor nous invite à redécouvrir la vie de cet homme qui le passionne depuis l'enfance à travers les éléments les plus marquants de son existence. De sa naissance à Lyon à son dernier vol, le 31 juillet 1944, en passant par ses proches - famille, amis, amantes -, ses passions et les objets qui lui étaient chers, comme sa gourmette qui permit d'identifier, au large de Marseille dans les années 2000, le P38-Lightning qu'il pilotait pour son ultime mission, c'est tout Saint-Ex qui se dévoile dans ce bréviaire illustré.
Au fil de photographies et des mots, l'amour que Patrick Poivre d'Arvor porte à son idole se dessine et nous plonge sur les traces du plus célèbre pilote de guerre français.
Charles s'ennuie ferme sur les bancs de l'école. Mais au fond de lui, le jeune garçon sent que sa vie est ailleurs. Il brûle d'un appétit vorace et ses rêves sont hantés par les plus hautes destinées. A douze ans, Charles perd sa mère. Elle était tout pour lui : sa confidente, son inspiratrice, son idole. Sur son lit de mort, elle lui révèle qu' il n'est pas le fils de l'homme qu'il croyait être son père. Son père biologique se nomme Jean-Baptiste d'Orgel, un acteur connu du grand public. Le monde de Charles s'écroule, il ne lui reste que son ambition...
Adolescent, Charles confronte son géniteur: Pourquoi les a-t-il abandonnés, lui et sa mère, sans jamais chercher à les revoir ? Et voici qu'une autre histoire de fils orphelin surgit, qui plonge ses racines dans les années 40 en Algérie. Guillaume, le père de Jean-Baptiste, y avait vécu une grande histoire d'amour clandestine avec une jeune algérienne, Amina, qui sera violée par trois fils de colons. Mais faire appel à un milicien factieux pour l'aider à punir les violeurs, quand on est fils du gouverneur général, ne peut que conduire à des tragédies...
En aidant son jeune loup à accéder aux plus hautes marches du pouvoir, le vieux loup va venger sa lignée maudite : attaché de cabinet, député, ministre, le jeune ambitieux monte dans l'ombre d'un certain Victor Exbrayat, qu'il finira par trahir et par « tuer » pour prendre sa place.
Des années de l'Algérie française aux palais nationaux, La Vengeance du Loup offre une grande fresque qui nous fait pénétrer dans les arcanes du monde politico-médiatique français.
Tout au long de sa carrière, Patrick Poivre d'Arvor a recueilli les souvenirs de personnalités, notamment lorsqu'il a animé La Traversée du miroir sur France 5 (2008-12). Les yeux dans les yeux, elles se sont livrées, révélant les fragments les plus intimes de leur passé.
Ségolène Royal, petite fille à couettes et au regard mélancolique. Yann Queffélec, qui a grandi entre un père distant et une mère trop vite disparue. Emma de Caunes, fan inconditionnelle du « King » Elvis Presley. Mais aussi ces gamins que furent Marie-Claude Pietragalla, Manuel Valls, Line Renaud ou encore François Hollande.
Leurs confidences font ressurgir, aux yeux du journaliste, l'enfant rêveur qu'il était lorsque, à Reims, il se rêvait « Petit Prince » de Saint-Exupéry ou poète rimbaldien.
Une soif d'aventure et de liberté qu'il conte dans ces pages, où il poursuit les conversations entretenues avec ses frères et soeurs d'âme.
Comment parler de la Bretagne, comme en restituer la richesse, les contrastes, la rudesse parfois, les beautés, tout ce qui fait l'identité de ce territoire en somme ?
De mot en mot, Patrick Poivre d'Arvor a choisi les touches impressionnistes pour dessiner le visage de la Bretagne d'hier et d'aujourd'hui. Il en détaille la nature et le paysage (Armor et Argoat, bocage, ajonc, granit), en esquisse les horizons lointains ou bouchés (mer, île, pluie), en restitue les odeurs, les saveurs et les sons (galettes, fraises, beurre, biniou et bombardes, langues gallo et bretonne, Curé de Camaret, goémon), en dévoile l'imaginaire et les croyances (Ankou, ex voto, Brocéliande). Il en raconte aussi l'histoire, ses héros (les résistants de l'île de Sein, Tabarly, Marion de Faoüet), ses luttes comme ses drames (Traite des Noirs, Amoco cadiz, lisier). 100 mots-clés, donc, et autant d'invitations au voyage.
Quatre-vingts écrivains maudits se sont hissés à bord de ce livre, tels des naufragés perdus dans une tempête. Ils ont eu faim, ils ont eu froid, ils ont eu peur, ils ont souffert, la plupart sont morts jeunes, leurs livres ont été ignorés pendant des années. Pourtant, quelques-uns figurent parmi les plus grands de la littérature : Samuel Beckett, Fedor Dostoïevski, Francis Scott Fitzgerald, Jean Genet, Franz Kafka, Jack London, Guy de Maupassant, Edgar Poe, Arthur Rimbaud, Virginia Woolf, Stefan Zweig. D'autres sont injustement méconnus - ou mal connus - malgré leur talent : Paul Celan, René Crevel, Isabelle Eberhardt, Olivier Larronde, Violette Leduc, Katherine Mansfield, Klaus Mann, Flannery O'Connor, Rutebeuf, Simone Weil...
Les manuels scolaires ne retiennent des écrivains que leur vie publique. Ils oublient les coulisses, qui permettent de percer leur mystère : les maux inavouables, les passions impossibles, les moeurs réprouvées, les addictions de toutes sortes, la misère qui rend fou.
Ces damnés du genre humain sont frappés du sceau de la dualité : leur existence fut une souffrance, leur oeuvre est d'une splendeur infinie. Ce livre révèle leur vie secrète et tourmentée, et comment la littérature a été leur absolu. Il ne pouvait leur rendre plus bel hommage.
Vous avez entre les mains l'ultime recueil d'un homme qui aura toute sa vie voué à la poésie un culte fasciné. Enfant, alors qu'il travaillait déjà en usine, il s'est mis à dévorer les grands textes des auteurs du XIXème et, à l'orée du XXème,il a osé franchir le pas : il a lui-même écrit et proposé ses poèmes aux différentes académies.Patrick Poivre d'Arvor Dans ce recueil de poésies de Jean d'Arvor, on découvre un homme d'une extrême sensibilité, grand amoureux de la nature et de la langue française.
Jean d'Arvor, est le grand-père maternel de Patrick Poivre d'Arvor. Cet homme de lettres, a initié son petit-fils à la lecture, et lui a fait découvrir et aimer la poésie.
Cette fille « perdue » (pour elle-même ? pour celui qui prend le risque d'en être follement épris ?) s'appelle Violette, comme l'héroïne de la « Traviata ». Elle est très belle, insaisissable, fourbe - mais, malgré cela, à cause de cela, elle devient l'obsession d'un homme, Alexis, sous les traits duquel on reconnaîtra sans peine l'auteur du roman qu'on est en train de lire. Précision : ce roman, qui illustre un genre très classique, depuis La femme et le pantin de Pierre Louys, jusqu'à Un amour de Dino Buzatti ou La vilaine fille de Mario Vargas Llosa) a, ici, une forme particulière, éclatée, « fragmentée », faite de lettres, de composition « polyphonique ». Par brèves séquences, on passe ainsi d'un point de vue à l'autre. Personne ne détient la vérité. Chacun est libre de s'aveugler à sa guise... Quant à l'intrigue, elle se déroule, inéluctable, jusqu'à un dénouement fatal. Au passage, il en aura vu de toutes les couleurs (mensonges, tromperies, trahisons, passions, déceptions...) pour une fille qui, comme d'habitude, « n'était pas son genre ».
Gabrielle éblouit tout Rabat de sa beauté. Lors d'une réception, elle tombe amoureuse de Charles Lindbergh et s'enfuit avec lui pour Saint-Louis du Sénégal, laissant mari et enfant effondrés. Décidé à la rejoindre, son fils Jacques, 13 ans, se glisse dans un sac de courrier de l'Aéropostale. Quand l'avion tombe en panne en plein désert, Jacques découvre la solitude, la liberté mais aussi l'amour. Un conte initiatique (passage de l'enfance à l'adolescence, découverte du monde des adultes) et un récit d'aventures qui rend hommage aux héros de PPDA et du grand public.
Les hommes roulaient en DS ; les femmes portaient des mini-jupes dessinées par Mary Quant. Dans les transports, on donnait son ticket à un poinçonneur. La musique s'écoutait sur 45 ou 33 tours. Plus tard, le walkman fera l'effet d'une révolution. Dans les salles de cinéma, des ouvreuses nous menaient à notre fauteuil. Les films, eux, étaient vus d'abord sur grand écran, puis en VHS. Dans Nostalgie des choses perdues, Patrick Poivre d'Arvor se rappelle un temps où la crise était loin, une époque heureuse qui mérite d'être célébrée. En se livrant, de façon intime, il la fait revivre?: les apéritifs d'antan, l'âge d'or des paquebots, les biscuits que son grand-père lui ramenait de ses voyages ou les Dinky Toys qu'il collectionnait enfant...
Par petites touches personnelles, il brosse le roman des Trente Glorieuses.
Patrick Poivre d'Arvor a mené une double carrière de journaliste et d'écrivain.
Les plus belles lettres d'amour.
La correspondance amoureuse est sans doute la facette la plus attachante de la littérature en général. Elle traduit toutes les couleurs de l'amour : amour passion, amour fusionnel, amour impossible ou non partagé, amour et raison, amour sage et amour fou, amour entre personnes du même sexe...
Patrick Poivre d'Arvor a retrouvé pour nous des lettres et des billets d'amour depuis Héloïse et Abélard au XIIe siècle jusqu'à l'époque moderne. Une centaine d'épistoliers et d'épistolières sont rassemblés dans ces messages à deux voix. Ils sont poètes, écrivains, artistes, femmes d'action, musiciens. Voici Napoléon et Joséphine, Victor Hugo et Juliette Drouet, Alfred de Musset et George Sand, Chateaubriand et Madame Récamier, Paul Eluard et Gala, Apollinaire et Lou, Rodin et Camille Claudel, Mozart et Constance, Scott Fitzgerald et Zelda, Robert Desnos et Youki, Jean Cocteau et Jean Marais, Verlaine et Rimbaud...
Revivons avec ce livre la passion au cours des siècles entre ces hommes et ces femmes exceptionnels.
Chris Rather est, à quarante ans, l'homme le plus regardé de France : tous les soirs, à vingt heures, il présente le journal télévisé sur la plus grande chaîne du pays. Ambitieux, charmeur, charismatique, il a tout pour plaire. et il a fichtrement réussi sa vie !
À un mois du premier tour de l'élection présidentielle de 2012, il a ainsi le privilège d'interviewer. le président de la République.
Mais le lendemain, Chris Rather a disparu : on retrouve son corps. noyé dans un étang. Que cache donc sa mort ? Quel lien avec les élections ? Et surtout. quels secrets dissimulait-il ?
Là commence une enquête, durant laquelle des vérités enfouies vont ressurgir. En effet, les apparences sont parfois trompeuses.
Brûlot contre les milieux politiques et médiatiques, ce roman aux échos étrangement familiers révèle l'envers du décor. Une course-poursuite à l'issue incertaine, mais qui exposera à coups sûrs nombre de faux-semblants.
«Merci à TF1 de m'avoir offert ces deux décennies magnifiques. C'est un métier magique et c'est un bonheur de l'avoir exercé ici. Je suis sûr qu'on se reverra très vite. Soyez aussi heureux que cela est possible. Et, comme on dit en Bretagne, À Dieu vat!» 20h35, 10 juillet 2008,conclusion du journal de 20 heures de TF1.
Pendant vingt et un ans, Patrick Poivre d'Arvor a conclu son journal télévisé par: «À demain!» Désormais, la grand-messe du 20 heures sans «PPDA» ne sera plus jamais la même.
Pourquoi TF1 s'est-elle séparée de son présentateur vedette? Comment la rupture a-t-elle été annoncée, vécue, jugée par le principal intéressé et par les téléspectateurs?
Au terme de cet été où il a remis ses pas dans les traces séculaires des pèlerins de Compostelle, celui que près de dix millions de Français regardaient chaque soir sur le petit écran raconte ici son chemin de liberté.
Des chansons de geste de Chrétien de Troyes au spleen de Baudelaire, en passant par les fables de La Fontaine, Patrick Poivre d'Arvor nous propose dans cette anthologie une sélection des plus beaux poèmes, incontournables ou oubliés, de la littérature française.
Patrick Poivre d'Arvor La Traversée du miroir « Sans femme, je ne suis rien du tout », avoue Alexis Dorgel, gynécologue parisien de renom qui se laisse happer, à l'approche de la quarantaine, par le vertige d'une vie professionnelle surfaite et trouve dans d'innombrables aventures un exutoire qui le renvoie très vite à sa propre image, celle d'un vide absolu.
Des circonstances dramatiques le poussent à « traverser le miroir » et à s'engager, aux confins du territoire cambodgien, auprès de Médecins sans frontière. Capturé par les Khmers rouges, tenu pour mort, il s'évade trois ans plus tard, et revient, méconnaissable, sous une autre identité, rôder autour de sa première vie...
Dans le style vif et précis qui valut aux précédents livres de Patrick Poivre d'Arvor un très grand succès, La Traversée du miroir est un roman aux multiples péripéties et aussi une chaleureuse et profonde analyse de l'âme humaine.
Victor Priadov-Parker, né de père inconnu et de Catherine, ouvrière dans une soierie lyonnaise, est compromis dans un procès anarchiste à la fin du XIX? siècle et condamné à la prison. En dépit de son caractère irrésolu, il n'oubliera pas cette injustice. En quête de ses origines mystérieuses et d'une vie nouvelle, il quitte Lyon pour Paris et fait ses débuts dans la presse...Dans la tourmente de la III? République, Poivre d'Arvor dresse le portrait d'un journaliste qui aimait les femmes, la littérature et ne sut jamais qui il était.Une grande fresque historique couronnée par le prix Interallié 2000.
Cette autobiographie permet de découvrir la vie et les passions du journaliste, le visage et les souvenirs de ceux qu'il a interviewés : écrivains (M. Duras, J.-M. G. Le Clézio, J.-E. Hallier), musiciens (J. Brel, G. Brassens ou M. Rostropovitch), figures d'espérance (soeur Emmanuelle, l'abbé Pierre, Jean-Paul II ou Mère Teresa) ou politiques (Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande).
« Aimer, c'est agir », disait Victor Hugo, qui pratiqua le journalisme à sa manière, entre mille engagements. En ces temps incertains, au beau milieu de choix politiques, un journaliste peut-il encore prétendre à l'objectivité ? Doit-il demeurer simple témoin ? N'a-t-il pas plutôt le devoir de s'impliquer dans certains des événements qu'il a à relater ?
Oui, répond Patrick Poivre d'Arvor, sans doute le journaliste le plus renommé de France. Il rappelle ce que furent les engagements de ses glorieux aînés dans les siècles passés et parle pour la première fois de ses propres combats : aux côtés de l'Unicef, dont il est l'ambassadeur, de Reporters sans Frontières, pour qui il a effectué de nombreuses missions, des adolescents en difficulté (il est à l'origine de la Maison de Solenn, du nom de sa fille disparue), et de bien d'autres causes...
« Une existence se résume à la somme de ses engagements », écrit-il. Une réflexion enthousiaste sur ce qui fonde nos vies : l'action et la passion.
Journaliste vedette d'une célèbre chaîne de télévision et jeune femme en désir d'enfant, Barbara Pozzi est la spécialiste des reportages chocs.
Sa nouvelle enquête : le clonage humain. Au fin fond de l'Écosse, un homme, savant génial et misanthrope, serait sur le point de passer à l'acte... Aussi brûlant qu'un document d'actualité, aussi haletant qu'un thriller, un grand roman de Patrick Poivre d'Arvor dans un univers qu'il connaît bien, où se mêlent amour et pouvoir, passions et ambitions.