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Prix
Pierre Schneider
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L'oeuvre d'Henri Matisse décrit une trajectoire qui l'amène du réalisme à l'abstraction, de l'obscurité à la lumière, du Nord au plein Sud, et son itinéraire est jalonné de découvertes révolutionnaires, telles l'explosion de la couleur au moment du fauvisme ou l'invention des gouaches découpées à la fin de sa vie.L'ouvrage magistral de Pierre Schneider, fruit de quatorze années de recherches, est devenu la référence obligée sur celui qu'il a contribué à désigner aux yeux du monde comme le peintre français par excellence.La présente édition offre enfin la possibilité de (re)découvrir ce texte éblouissant, accompagné de 120 reproductions.
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Pierre SCHNEIDER, historien de l'art reconnu (cf. sa monographie sur Matisse, et de très nombreux ouvrages et articles sur l'art, et les artistes de son temps : Sam Francis, Bram van Velde, Brancusi, etc.) a une quinzaine d'année lorsque sa famille en 1942, comme tant d'autres, tente de fuir le nazisme et la France pour se réfugier au États-Unis. C'est une partie de ce long périple que l'adolescent raconte dans VIVRE. Ce texte enfoui dans la mémoire, et les archives de Pierre Schneider (conservées à l'IMEC), voit le jour ici pour la première fois. Sa publication est redevable au travail de retranscription et d'établissement effectué par ses deux filles, Tamara Préaud et Pamela Roberts. Qu'elles en soient ici remerciées.
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Restitution «d'un univers englouti dans le silence », chacun de ces dialogues a donc eu lieu au musée du Louvre, « sur le même fond de signifiance ». Pour autant, il ne s'agit pas d'un livre d'entretiens stricto sensu, mais, rappelant le Dante de Mandelstam, d'une approche mêlant l'entretien lui-même à l'essai. Ainsi le témoignage côtoie-t-il l'interprétation ou le commentaire, comme le passé le présent... Façon pour l'auteur d'une monographie importante de Matisse, fruit d'un travail de longue durée, de poursuivre avec ce livre de dialogues son entretien intérieur, comme on le dirait d'une expérience intérieure, avec l'art.
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Les éléphants de guerre dans l'Antiquité ; IVe-Ier siècles avant J.-C.
Pierre Schneider
- Lemme Edit
- 25 Juin 2015
- 9782917575567
Les Grecs du IVe siècle av. J.-C. savaient que les Indiens employaient les éléphants à la guerre ; mais, lorsque Alexandre le Grand affronta le roi indien Poros, les Hellènes furent pour la première fois confrontés à ces bêtes redoutables.A partir de ce moment, les éléphants entrèrent dans l'histoire militaire de la Méditerranée antique. Ce livre en retrace les grandes étapes et aborde certains points moins connus, en particulier les expéditions de chasse aux éléphants le long de la mer Rouge, organisées par les Ptolémées, et l'exploitation de l'image de l'éléphant à des fins de propagande.
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Dialogues d'histoire ancienne, supplément n° 25/2022 : L'appel du large. Fleuves, embouchures et mers dans le monde antique
Pierre Schneider, Anne Daguet-gagey, Antonio Gonzales
- Pu De Franche Comte
- 13 Octobre 2022
- 9782848679310
Cet ouvrage est issu de deux journées d'études intitulées « L'appel du large » organisées à l'université d'Artois. Il réunit des études portant sur les espaces maritimes et fluviaux dans le monde antique, avec un intérêt particulier pour les deltas et les embouchures. Son originalité est de ne pas de ne pas se limiter à l'aire strictement méditerranéenne (puisque les Méditerranéens se sont lancés sur les routes maritimes de l'Orient) et d'élargir le regard aux périodes médiévale et moderne. Deux thématiques ont été privilégiées: d'une part les cultes rendus aux divinités fluviales et maritimes; d'autre part diverses questions liées à la navigation (dangers, réglementation, langage technique).
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Chroniques de l'Express (1960-1992) ; le droit à la beauté
Pierre Schneider
- Éditions Hazan
- Bibliothèque
- 25 Janvier 2017
- 9782754109512
Pierre Schneider (1925-2013) a écrit chaque semaine dans L'Express, des années 1950 jusqu'aux années 1990, parallèlement à son activité d'écrivain et d'historien d'art. Qu'ils soient courts ou qu'ils prennent la forme de véritables dossiers, ses articles sont à la fois de vrais morceaux de littérature et des réflexions d'histoire de l'art. Ils accompagnent aussi bien les grandes expositions internationales (en France, en Suisse, aux Etats-Unis, etc.) que les orientations de politique culturelle ou les réalisations marquantes d'architecture et d'urbanisme dans le monde occidental.Qu'il s'agisse de cinéma ou de littérature, d'urbanisme ou d'art contemporain, de Baudelaire ou des trésors et curiosités des églises parisiennes, de l'hôpital Santa Maria della Scala à Sienne ou de la coupole de Jules Hardouin-Mansart à Paris, du scandale des biens juifs spoliés en Autriche, de la chasse aux sorcières aux Etats-Unis ou de la beauté des graffitis à New York, Pierre Schneider aborde les sujets les plus divers. Ses prises de position, ses engagements et ses jugements se signalent par leur verve et leur liberté égales à celles de ses grands livres. Il se méfie, par exemple, à son ouverture en 1977, du Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou (alias Beaubourg), « dosage habile de cours du soir et de parc d'attractions », il critique le soutien d'Etat à la création, à partir de 1981, il se moque amèrement de la dévastation des paysages par la politique publique du bâtiment, il s'enflamme pour la sauvage beauté des métros taggés, où « les trois-quarts des wagons sont aussi somptueusement illustrés qu'un manuscrit du Moyen Âge ».La réunion d'un choix de ces textes, répartis sur une trentaine d'années, permet de restituer une histoire parallèle et subjective de la vie artistique pendant cette période. Hommage est ainsi rendu à un pan méconnu de l'oeuvre d'une figure aussi singulière qu'influente de l'histoire de l'art et de la critique artistique au cours de la seconde moitié du xxe siècle.L'anthologie est introduite par une préface de Rémi Labrusse. Elle est accompagnée de textes d'hommage par Jacques-Louis Binet, Yves Bonnefoy, Itzhak Goldberg, Jean-Claude Lebensztejn et Richard Shiff, ainsi que d'une bio-bibliographie rédigée par Tamara Préaud.
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Un désaccord parfait ; Hardouin-Mansart aux Invalides
Pierre Schneider
- Actes Sud
- 3 Octobre 2009
- 9782742786039
Dans cette étude architecturale, Pierre Schneider nous livre les clés de l'harmonie ambiguë du célèbre monument des Invalides.
Prenant la suite de Libéral Bruant, Hardouin-Mansart a su répondre au défi apparemment impossible à relever lancé par Louis XIV : concevoir deux églises distinctes et distantes l'une de l'autre, mais ne faisant qu'une : l'église des Soldats, simple et sobre, et l'église du Dôme, grandiose et destinée à recevoir le monarque et sa cour. C'est par une stricte symétrie et une rigoureuse axialité de l'ensemble que des mariages dont la réalité était incapable sont devenus virtuellement possibles.
Autrement dit, toute l'harmonie des Invalides réside dans un jeu d'illusions d'optique. Ainsi, vu de l'entrée de la cour du roi, le dôme semble posé sur le fronton de l'église des Soldats, alors qu'il s'en trouve en réalité à une quarantaine de mètres. Saint-Simon, qui n'aimait guère Hardouin, lui concède cependant "la grandeur de l'apparence". Il ne croyait pas si bien dire...
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Le voir et le savoir - essai sur nicolas poussin
Pierre Schneider
- Mercure de France
- 1 Septembre 1991
- 9782715219113
Publié trois cents ans après la mort de Nicolas Poussin, cet essai, né du choc provoqué par l'exposition sans précédent organisée au Louvre en 1960, reparaît alors qu'une nouvelle rétrospective célèbre le quatrième centenaire de sa naissance. De nombreux travaux savants éclairent désormais l'importance historique du fondateur de la peinture française. Mais vit-il aujourd'hui ? Le voyons-nous ? Le rôle des témoignages est de répondre aux questions de cet ordre. C'est ce qu'on a voulu faire ici.
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Petite histoire de l'infini en peinture
Pierre Schneider
- Éditions Hazan
- Beaux Livres Hazan
- 28 Novembre 2001
- 9782850257261
Face au désintérêt dont souffre aujourd'hui la peinture, l'histoire de l'art semble désemparée, désarmée. En des circonstances de ce genre, le remède consiste à revenir à l'essentiel, c'est-à-dire au commencement - et en peinture, tout commence par la confrontation d'une figure et d'un fond. En reprenant les choses à partir de ce face-à-face, l'auteur s'est engagé sur un chemin nouveau : celui qui s'ouvre lorsqu'on interroge le fond, jusqu'ici négligé par les historiens prioritairement, quand ce n'est exclusivement, concernés par le traitement des figures.
Cette approche bouleverse à la fois notre façon de regarder la peinture et la manière de classer et d'évaluer les peintres, d'ordinaire en fonction de critères stylistiques et historiques routiniers. En s'efforçant de définir concrètement la nature et le comportement du fond, l'auteur met en évidence trois modalités de l'espace pictural. Seules deux d'entre elles ont été retenues par l'histoire de l'art traditionnelle : (1) le " fond plan ", également dit " décoratif ", en raison de l'usage qui en a été fait généralement, ou " abstrait ", parce que l'art moderne se l'est approprié ; (2) le " fond perspectif ", parce que, grâce à la perspective, le peintre y construit une profondeur simulée. A ces deux-là s'ajoute une troisième catégorie d'espace, rarement perçue par les commentateurs : le " fond perdu " (ou " fond sans fond ") qui se creuse, en certains cas, dans le fond plat, lui permettant d'accueillir la dimension de l'infini.
C'est au " fond perdu " abyssal que l'auteur consacre une grande partie de son travail, parce qu'il est, de tous les espaces qui accueillent les figures, le seul qui permette aux images d'inspirer au spectateur le sentiment de l'infini. Il relève les apparitions de cet espace abyssal au fil des siècles, depuis la Rome paléochrétienne et Byzance jusqu'à Manet, Giacometti, Malevitch, Matisse, Dubuffet et Warhol (pour n'en citer que quelques uns). Se dégage ainsi une généalogie des artistes de l'infini qui s'ordonne peu à peu en une histoire plus secrète au sein de l'histoire conventionnelle, une histoire en deux temps qui s'éclaire à la lumière de deux passages du livre de la Genèse (Ancien Testament) : dans le premier, le rapport figure/fond reflète le rapport de la créature à Dieu, et va du IIIe siècle jusqu'à la fin du XIXe siècle ; le second qui voit l'artiste créer à la place de Dieu, s'épanouit et s'achève au XXe siècle. Sans cesser un instant d'être une étude de l'art, cette Petite histoire de l'infini en peinture débouche ainsi sur une réflexion sur l'histoire des civilisations et sur une méditation esthétique.
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Quant à la danse Tome 1
Bernard Andrieu, Dominique Dupuy, Pierre Schneider, Rudolf Laban
- Images En Manoeuvres
- 18 Octobre 2004
- 9782849950258
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Brancusi et la photographie ; un moment donné
Pierre Schneider
- Éditions Hazan
- 19 Septembre 2007
- 9782850259883
Ses photographies semblent avoir joué un rôle essentiel dans ses recherches plastiques. Le sculpteur Constantin Brancusi (1876-1957) a beaucoup photographié son oeuvre. Cette constatation amène l'auteur à proposer une vision renouvelée de l'oeuvre sculpté de l'artiste, mais aussi à reconnaître en lui un novateur en photographie. D'abord cantonnées dans le rôle de simples représentations de ses oeuvres, destinées à informer des amateurs lointains, les photographies prises par Brancusi assument peu à peu une fonction plus active : saisir au vol des assemblages passagers de socles et de sculptures, des rencontres éphémères entre telle et telle des figures qui peuplent ce théâtre qu'est aussi l'atelier, dont le sculpteur est le metteur en scène. L'ouvrage, dans un premier temps, s'attache à restituer cette utilisation de la photographie par l'artiste. Mais Brancusi attribue à la photographie une mission véritablement révolutionnaire à partir du moment où son désir croissant délévation le contraint à vouloir « pénétrer dans le Royaume des cieux », à chercher à créer des formes visibles, donc finies, débouchant sur l'infini, et par conséquent invisibles, immatérielles. Cet objectif, par définition interdit à la sculpture, il demande à la photographie de l'aider à l'atteindre. S'appuyant sur les propos de l'artiste, l'auteur décrit cette ascension spirituelle menée en bois, en pierre ou en métal, comme un combat entre la part terrestre et la part céleste. Ce combat se donne à voir à travers la confrontation des socles et des statues. Ce corps à corps aux fortunes changeantes entre le haut et le bas ne suffit pas, cependant, pour étancher sa soif d'absolu, d'infini. Aussi les Colonnes dites par lui sans fin portent-elles la confrontation à une plus grande hauteur en reprenant à leur compte le modèle médiéval de l'Echelle céleste de Jean Climaque, lui-même dérivé de l'Echelle de Jacob. L'infini, ou Dieu, reste néanmoins hors d'atteinte. La photographie, espère Brancusi, lui apportera le signe visible de la présence autrement invisible de l'infini. Et ce sera effectivement le cas, comme le démontre une poignée de clichés qui, selon la formule d'Ezra Pound parlant ici pour Brancusi, « touchent le ciel ». Cela est dû au fait que Brancusi a découvert que la photographie, tout comme sa proche parente, la peinture, possède le don de montrer non seulement les figures finies, mais le fond infini. En effet, si la volonté du photographe n'accède qu'aux figures, le fond de l'image appartient à l'autre opérateur de toute photographie : le hasard. Or la photographie emboîte, dès sa naissance, le pas à la peinture, laquelle, pour sa part, ne s'était pas encore libérée de l'esthétique de la Renaissance fondée sur la perspective et s'appliquait toujours à bannir le fond de l'image en le cachant sous des arrière-plans. Brancusi est le premier (seul son contemporain Bonnard pourrait lui contester ce rôle de pionnier) à libérer le fond en rendant à l'image photographique son co-auteur légitime, naturel, cet autre opérateur possible de toute photographie : le hasard, maître du fond, à un moment donné. Et c'est pourquoi ces photographies-là ne représentent pas ses sculptures, mais en font partie. Elles les achèvent. L'essai de Pierre Schneider est abondamment illustré de reproductions d'oeuvres de Brancusi, mais aussi et tout particulièrement de photographies prises par l'artiste illustrant les usages variés auxquels il destinait celles-ci dont la majorité (tirées pour la première fois à partir de plaques originales).
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Né en 1901, à Stampa, petit village du Tessin, Alberto Giacometti meurt à Coire, au pied de ses montagnes natales, en 1966. Attiré dès son enfance par la peinture, la sculpture et le dessin, il cherche sa voie à travers le cubisme tardif, croit la trouver grâce au surréalisme - dont Miré et lui seront les artistes les plus talentueux - mais découvre, à la veille de la seconde guerre mondiale le projet qui constituera dorénavant son unique souci : sauver la représentation des êtres et des choses à l'heure où l'art bascule dans l'abstraction. Toutefois, Giacometti ne songe pas à régresser vers une tradition figurative épuisée, mais à saisir ses modèles dans le contexte contemporain de l'art : celui d'un espace qui rejette la perspective et ses illusions tout comme il refuse l'aplat et ses bonheurs décoratifs et n'offre aux figures qu'un fond sans limites où elles semblent condamnées à sombrer ou à se dissoudre. L'obligation d'assumer, avec chaque sculpture, chaque dessin, chaque tableau nouveaux l'émouvante confrontation de figures finies et d'un fond infini condamne Giacometti à un destin solitaire, du moins dans son temps, et fait de lui l'héritier d'un lignée d'artistes - elle remonte à l'époque paléochrétienne - qui osèrent donner à voir dans leurs travaux ce que Pascal appelait " la disproportion de l'homme ". Pour comprendre l'originalité de l'oeuvre d'Alberto Giacometti, il faut la lire non seulement à la lumière d'un présent qu'il vécut passionnément, mais aussi à celle d'un horizon culturel où la signification accordée depuis le début de notre ère au Déluge éclaire la nature de l'espace abyssal et où la hiérarchie et la guerre des sens, sans cesse discutées, de Thomas d'Aquin aux Encyclopédistes, expliquent la difficulté que le peintre-sculpteur éprouvait à trouver entre lui et son sujet, la bonne distance.
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Économie 1re STMG (2012) - Manuel élève
Pierre Schneider, Catherine Le Coent-Guigue, Maud Koenig
- Delagrave
- 20 Avril 2012
- 9782206017471
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Ce sac de poèmes, comme un kaléidoscope, réfléchit à l'infini les couleurs de la pensée de l'auteur sur les différents thèmes abordés.Éclectique est le mot qui décrit ce recueil, tant par sa forme que par les sujets traités.Du plus classique sonnet au poème en vers libres, il remue notre âme par les différents sentiments qu'il dévoile ; parfois osés, parfois mystérieux ou cocasses, il ne peut nous laisser indifférents.
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Murmures hétéroclites dans l'ombre de l'auteur.
Ombres et chuchotements.
La poésie, c'est de l'art et il faut que l'art choque ! Alors... suivez moi.
Au fil des mots qui naissent dans mon esprit.
Gourmand des mots et de la poésie,
Sous ce titre, quoique roboratif,
L'auteur laisse vagabonder son esprit
Pour une descente au gré des récifs
Dans le fil du ruisseau de sa pensée.
Dans les limbes il va s'envoler,
Le noir est pour ce recueil
La non couleur de son accueil,
Il vous entraine au delà de son âme
Vers des contrées aux résonnances parfois infâmes. -
Le poivre, fragments d'histoire globale : circulations et consommations, de l'Antiquité à l'époque moderne
Pierre Schneider, Jean Trinquier, Collectif
- Hermann
- Histoire Et Archeologie
- 2 Août 2022
- 9791037016744
Cet ouvrage fait le pari d'isoler le poivre noir des autres épices et d'en esquisser une histoire globale menée sur la longue durée. Le poivre noir constitue un bon observatoire de dynamiques historiques de vaste portée. S'il a longtemps été absent du champ des études anciennes, la découverte du « papyrus de Muziris » a complètement changé la donne. Il est temps aujourd'hui de comparer et d'intégrer les résultats des recherches conduites sur les différentes périodes, de l'Antiquité jusqu'à l'époque de l'empire portugais et des grandes « Compagnies des Indes ». Cet ouvrage se concentre sur trois questions : la question de l'articulation, en Inde du Sud, entre les hauteurs de l'arrière-pays et les sociétés commerçantes du littoral qui cherchent à capter la production ; les structures du commerce, ainsi que ses grands circuits, l'un centré sur l'océan Indien occidental et connecté à la Méditerranée, l'autre reliant le golfe du Bengale à la Chine et à l'Asie du Sud-Est ; l'histoire sociale de la consommation du poivre, dans ses rapports avec les pratiques médicales et culinaires des sociétés importatrices.
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Citoyenneté à vivre cycle 3
Jean-bernard Schneider, Jean-Pierre Remond
- Accès Éditions
- Citoyennete A Vivre
- 29 Juin 2016
- 9782916662145
Citoyenneté à vivre est organisé en 35 séances autour des grandes questions qui traversent notre temps, notre société et l'humanité. Il reflète toutes les interrogations contenues dans les programmes de 2015 qui euxmêmes s'adaptent aux besoins du XXIe siècle commençant.
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Biologie et écologie de la vigne (2° Ed.)
Christophe Schneider, Pierre Huglin
- Tec Et Doc
- 1 Août 1998
- 9782743002602
Sous une forme originale, accessible à un large public, les auteurs relient des données biologiques et écologiques de la vigne, acquises sous les conditions climatiques les plus diversifiés, à des préoccupations majeures de la viticulture : le développement de l'appareil végétatif et celui des raisins, l'amélioration des aptitudes des variétés à travers les différents types de sélection, l'influence des facteurs du milieu naturel sur la vigne, les possibilités d'intervention dont dispose le viticulteur pour transformer judicieusement un milieu naturel donné en un milieu cultural avantageux. Cet ouvrage est avant tout destiné à ceux qui pratiquent un des métiers de la viticulture ou qui s'y préparent. Mais il s'adresse également aux lecteurs non spécialisés qui s'intéressent à la vigne.
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Citoyenneté à vivre cycle 2
Jean-bernard Schneider, Jean-Pierre Remond
- Accès Éditions
- Citoyennete A Vivre
- 22 Mai 2017
- 9782916662077
L'ouvrage Citoyenneté à vivre Cycle 2 est organisé en 21 séances autour des grandes questions qui interpellent les élèves au cycle 2.
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Le vif du sujet
Jean-pierre Schneider, Bernard Chambaz, Michel Dieuzaide
- Le Temps Qu'Il Fait
- 25 Août 2011
- 9782868535597
« Là où je suis servi, c'est par l'importance que Jean-Pierre Schneider accorde et reconnaît aux mots et même à l'étymologie des mots. Sa passion tend à confirmer mon intuition : les peintres ne peignent pas seulement avec ou sans le concept de trait ou de volume ou de lumière mais aussi avec les mots «trait», «volume», «lumière», etc., leurs toiles sont tissées de mots recouverts par le geste même de peindre, dépôts de langage dans une nappe sédimentaire plus ou moins enfouie.
Le sujet, ici, c'est le peintre, un bonhomme avec deux bras deux jambes quatre enfants une vieille BMW une tasse de café à la main une cigarette dans l'autre. Bien entendu, on ne saurait disconvenir que la manière matérielle de peindre, l'inscription /dessous/ dedans/ dessus/, la pâte, la couleur, le geste disent bien davantage le sujet que la part de pensée à l'oeuvre dans la toile. En ce sens, le seul sujet est en effet la peinture. De toute façon, le peintre comme la peinture sont à vif. La meilleure preuve : Schneider aura passé sa vie à se battre avec le sujet sinon contre lui, affirmant encore avec force, mais contre quelle instance, que la peinture n'est pas au service du sujet et que c'est le sujet qui doit se plier à la peinture. » ( Bernard Chambaz ).
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L'apprenti citoyen ; citoyenneté à vivre ; le journal de l'élève
Jean-bernard Schneider, Jean-Pierre Remond
- Accès Éditions
- Citoyennete A Vivre
- 29 Juin 2016
- 9782916662152
L'apprenti citoyen est un journal de l'élève qui le suit tout au long du cycle 3. Il complète l'ouvrage ressource Citoyenneté à vivre cycle 3.
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Regards discrets et indiscrets sur le medecin
Pierre-Bernard Schneider
- Elsevier-Masson
- 15 Août 2002
- 9782225824951
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Une chapelle à Chateau Barras
Francis Liméral, Jean-pierre Schneider, Bernard Chambaz
- Le Temps Qu'Il Fait
- 16 Octobre 2008
- 9782868535085
Cette chapelle semble dessinée par un enfant ; elle se situe le long d'un bâtiment de ferme dont la façade s'ouvre sur un coin de jardin et fait face au pignon Ouest de la maison. Madame de Barras fit construire ce petit oratoire, probablement à la fin du XVIlle siècle. Longuement laissée à l'abandon par la suite, ce n'est qu'en 2oo6 qu'elle retrouva une raison d'être. Francis Limérat, chargé des vitraux, trouva naturellement là une transposition sur le verre de ses constructions très graphiques et suspendues dans l'espace. Jean-Pierre Schneider prit, lui, l'espace mural par la couleur, la matière, le trait et ainsi, au-delà de toute croyance, questionne le sens de notre présence au monde. La non couleur et la couleur, l'abstraction pure et la figuration suggérée, l'épure et la sensualité, les contraires apparents s'allient ici pour que vivent l'échange et le partage de la gravité et de la beauté du monde.
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Un voyage de l'hrone travers des territoires divers de Schhrazade Jeanne d'Arc, de Boccace Beckett, du Nouveau-Mexique au mont Sina.