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Le Cours de dessin de Bargue-Gérôme est la réimpression intégrale d'un célèbre cours de dessin de la fin du XIXe siècle. Il se compose d'un ensemble de près de 200 lithographies magistrales, qui étaient autant de sujets destinés à être copiés par des élèves dessinateurs avant que ceux-ci n'abordent le dessin d'après nature.
C'est un ouvrage qui intéressera par conséquent les artistes, les étudiants en art et les historiens de l'art, mais aussi les amateurs et collectionneurs de dessins. Le lecteur y découvrira également l'oeuvre et la vie d'un maître jusqu'à présent négligé, Charles Bargue, dont la biographie est complétée par un catalogue préliminaire de son oeuvre peint, illustré par des reproductions de tout ce qui a pu être retrouvé et même d'un grand nombre de tableaux perdus.
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Tapis berbères du Maroc ; la symbolique : origines et signification
Bruno Barbatti
- Acr
- 7 Janvier 2016
- 9782867702112
Le langage abstrait et géométrique du tapis berbère est dérivé à l'origine du corps et de la forme et fonction des organes sexuels humains. Il se base sur la dualité ; et la rencontre des deux sexes devient l'expression d'une magie de la fertilité qui, jadis, était universelle et comprenait toute la nature. Création artistique de la femme berbère, son tapis refl ète avant tout les phases de sa vie et l'expérience de sa vie sexuelle : comme vierge, comme nouvelle mariée, l'union avec l'homme, la grossesse et l'enfantement. L'ouvrage ne s'arrête pas à l'interprétation des textiles. L'analyse détaillée des documents et la comparaison avec d'autres domaines des sciences : art rupestre, statuaire, céramique, architecture, linguistique, etc. font que la symbolique en général est concernée.
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Casablanca offre à qui veut bien la regarder une extraordinaire collection de lieux, d'édifices, de rues et de jardins. Elle est le symbole même de la vitalité du Maroc et le creuset de son destin
moderne. Nouvelle venue dans le réseau des villes marocaines, elle oppose à la légitimité historique des capitales impériales le dynamisme de son économie et de sa culture. Quatre ou six
millions d'habitants, selon des estimations contradictoires, peuplent mille et une villes diverses au visage toujours différent. Chaque génération des constructions que les Casablancais ont habitées, du XVIIIe siècle à nos jours, est représentée au long de ses rues par des exemples saisissants, l'invention plastique des architectes s'y est condensée en grands immeubles d'habitation scandant la ville de leurs portiques et de leurs tours, en maisons souvent cachées derrière les arbres, et dont les splendeurs intérieures ne sont qu'entr'aperçues, ou en bâtiments publics qui rendent compte des intentions politiques des autorités successives pour maîtriser une ville turbulente et rebelle. Les pièces de la collection d'édifices de Casablanca représentent un concentré des courants architecturaux du XXe siècle, des festons décoratifs de l'Art nouveau à la géométrie de l'art déco. -
Eugène Fromentin ; monographie révisée et catalogue des dessins
James Thompson, Barbara Wright
- Acr
- Les Orientalistes
- 21 Novembre 2008
- 9782867701887
Pour compléter laCorrespondance générale du peintre- écrivain, parue en 1995, et sa biographie intellectuelle, parue en 2006, les auteurs ont préparé une édition révisée et augmentée de la version originale de cet ouvrage. Ces nouvellesimages sont accompagnées d'un texte mis à jour et du remplacement d'un certain nombre d'illustrations en noir et blanc par des illustrations en couleur. De plus, James Thompson et Barbara Wright ont joint en appendice un catalogue illustréde la quasi-totalité de la collection de dessins, demeurée plus ou moins intacte dans les archives familiales, depuis la mort d'Eugène Fromentin en 1876 jusqu'à la disparition de son arrière-petit-fils, Erik Dahl, en 1986. Ce catalogue a le mérite de faire état d'une collection unique à la veille de sa dispersion, collection dont l'authenticité est par ailleurs indubitable et qui, pour cette raison, constitue une précieuse ressource pour l'identification d'éventuels tableaux susceptibles de surgir ultérieurement sur le marché.
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Edy Legrand ; visions du Maroc
Cécile Ritzenthaler
- Acr
- Les Orientalistes
- 16 Octobre 2002
- 9782867701566
Edy Legrand fut de ces artistes qui, au fil de leur imagination puis de leurs voyages, nous transporte dans un monde de rêves et de couleurs. Tout à la fois illustrateur, lithographe, artiste animalier, décorateur, il se fit à partir de 1933 le porte-parole du Maroc où il s'était installé, non loin de son ami Majorelle. Pendant quatre ans, en regard de son oeuvre pictural, il rédige un journal, véritable reportage de la vie simple et rurale qu'il a décidé de mener en sillonnant le Maroc, de Goulimine à Fès, du Haut Atlas aux confins du désert. Chaque page, véritable document sur cette époque, nous éclaire également sur son travail. Ce sont d'abord les carnets de croquis et les feuilles de dessins qui se recouvrent inlassablement de visages berbères, de scènes d'Awach, de danseuses de Guédra parées de riches costumes, de scènes de fantasia si colorées que l'on entend le brouhaha alentour, puis il commence ses toiles sur le motif, chevalet planté dans le sable ; ensuite seulement viendront des toiles faites à son retour dans l'atelier de Marrakech ou de Rabat. Beaucoup de toiles ont trouvé amateur directement sur place, ou bien aux États-Unis où la galerie Marie Sterner lui consacre régulièrement des expositions.
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Unique en son genre, l'oeuvre d'Henri Rousseau échappe à toute classification et s'impose, dans sa magnifique solitude à la charnière des XIXe et XXe siècles, comme celle d'un de ces "passants considérables" dont parlait André Breton, ces peintres et poètes qui ont forgé la sensibilité de notre temps. Il est, avec Van Gogh, Gauguin, Monet, Cézanne, l'un des artisans de l'art moderne, un précurseur de la modernité. Mais, contrairement à ces derniers, engagés ensemble dans une bataille théorique pour se faire reconnaître, Rousseau, modeste gabelou prenant sa retraite anticipée pour se donner tout entier à la peinture, reste un solitaire. Tenu dans le plus grand mépris par les institutions et le grand public mais, curieusement, peu à peu fêté par une poignée d'écrivains et de peintres qui reconnaissent son génie propre, la force poétique de son engagement et, derrière la naïveté de la facture, l'expression d'une âme ardente, d'un rêve fou. C'est toute cette ardeur que traduit l'essai de Jean-Jacques Lévêque, qui propose d'aborder l'oeuvre de l'artiste en dépassant le concept réducteur de "peintre naïf", n'hésitant pas à le comparer aux grands pionniers de l'art moderne que sont Cézanne, Gauguin, Van Gogh, Monet, auxquels il a consacré des essais dans la même collection. Multiple et complexe, ambigu et fascinant, tel apparaît le douanier Rousseau dans ce livre.
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Les orientalistes de l'école britannique
Ackerman/Gerald M.
- Acr
- Les Orientalistes
- 17 Septembre 1996
- 9782867700491
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Couleurs de la corne d'or ; peintres voyageurs à la sublime porte
Frédéric Hitzel
- Acr
- Les Orientalistes
- 16 Octobre 2002
- 9782867701559
De tout temps, les artistes ont voyagé, mettant à profit, consciemment ou non, le conseil de Montaigne : « Le voyage me semble un exercice profitable ; l'âme y a une continuelle excitation à remarquer les choses inconnues et nouvelles ; et je ne sache point meilleure école, comme j'ai dit souvent, à façonner la vie que de lui proposer incessamment la diversité de tant d'autres vies, fantaisies et usures. » (Essais, III, 9). Si, au cours des XVIe et XVIIe siècles peu d'artistes se rendent dans les terres du Grand Turc, l'engouement pour le faste et l'étrangeté de l'Orient n'en est pas moins important. Puis, au XVIIIe siècle, s'impose la vogue des « Turqueries » avant que l'Orient ne s'affiche dans la peinture d'histoire avec la campagne d'Egypte (1798-1801). Au XIXe siècle, ce sont les peintres français et britanniques qui joueront un rôle particulièrement actif dans la découverte de la Turquie de cette époque. C'est ce voyage dans le temps et dans les lieux que propose le présent ouvrage.
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Les fibules ; deux mille ans en Afrique du Nord
Marie-rose Rabaté
- Acr
- 14 Novembre 2013
- 9782867702075
Voici un ouvrage unique, consacré à ces parures traditionnelles. Dans la première partie, un rapide regard jeté sur les fibules présentes dans cette région dès l'Antiquité apporte aux curieux d'archéologie des lumières nouvelles. La seconde partie est une plongée dans les patrimoines contemporains de trois pays voisins, la Tunisie, l'Algérie et le Maroc, axée sur l'usage commun de ces bijoux, éléments indispensables du vêtement féminin traditionnel et témoins d'un héritage artistique remarquable. De nombreux portraits de femmes parées émaillent l'ouvrage, et conservent ainsi leur vie à des objets menacés par les nouveaux modes d'habillement. Le lecteur est invité dans la troisième partie à explorer les significations qui ont de tout temps été attachées aux fibules.
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Le 1er avril 1970, Salvador Dali choisissait le musée Gustave Moreau à Paris pour annoncer au monde la création de son propre musée dans sa ville natale de Figueras. Cet événement montre l'infl uence posthume du peintre symboliste dans l'histoire du surréalisme à travers ses deux principaux acteurs, Salvador Dali et André Breton, tous deux admirateurs de Moreau, comme en expose les raisons cette étude très documentée.
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Les orientalistes des ecoles allemande et autrichienne
Haja/Wimmer
- Acr
- 16 Octobre 2000
- 9782867701405
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Jean-Léon Gérôme ; sa vie, son oeuvre
Gérald m. Ackerman
- Acr
- Pochecouleur
- 25 Septembre 2000
- 9782867701009
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Les orientalistes de l'école italienne
Caroline Juler
- Acr
- Pochecouleur
- 17 Septembre 1996
- 9782867700767
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Les orientalistes ; peintres voyageurs
Lynne Thornton
- Acr
- Les Orientalistes
- 16 Mars 2001
- 9782867701382
Avec le développement des transports, les peintres du XIXe siècle succombèrent aux mirages de l'Orient. Ils en ont rapporté des images inondées de soleil, chargées de couleurs et de richesses. Lynne Thornton, expert spécialisé, a étudié près de cent cinquante peintres, de Delacroix à Ziem, parmi lesquels figurent nombre de petits maîtres peu connus.
Les Orientalistes, peintres voyageurs constitue une référence essentielle pour les collectionneurs, en même temps qu'une merveilleuse invitation au voyage.
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Costumes berbères du Maroc : Décors traditionnels
Marie-rose Rabaté, Frieda Sorber
- Acr
- 22 Novembre 2007
- 9782867701856
Les tapis ont donné leur renom aux tisseuses berbères du Maroc. Leur exceptionnelle habileté s'est aussi exprimée dans la réalisation des costumes traditionnels, dont les formes simples sont héritées de l'Antiquité. Les innombrables drapés, voiles et capes reflètent la diversité des modes de vie et sont des signes identitaires pour les populations des montagnes et des vallées ; mais, de nos jours, leur usage se perd sous l'influence du modernisme.
Une partie de ces vêtements présente une ornementation séduisante, mêlant en une subtile alchimie le savoir-faire transmis de mère en fille et la créativité personnelle. Un monde de décors permet de découvrir des prouesses de tissage, ainsi que des broderies multiformes, ou encore des motifs tracés au henné - le Maroc est le seul pays où cet usage est connu. Ce livre bilingue français- anglais est le premier à dresser un vaste panorama de cet héritage exceptionnel, de la Méditerranée jusqu'au Sahara. Marie-Rose Rabaté, ethnologue, et Frieda Sorber, historienne d'art et technologue du tissage, se sont relayées sur une durée d'une quarantaine d'années dans des recherches de terrain sur le costume berbère.
Femmes en milieu féminin, leur expérience irremplaçable a permis d'élargir les connaissances existantes, de recueillir des exemplaires rares, de capter la situation mouvante des artisanats textiles, et même de déceler, récemment, l'apparition de falsifications. D'autre part, au Maroc et ailleurs, beaucoup de collections se sont ouvertes à leurs études, pour la définition d'un style berbère du décor.
De très nombreuses images d'objets-témoins et des vues en gros plan déroulent ici leur kaléidoscope de couleurs et de formes ; elles donnent à connaître un art trop longtemps ignoré, en voie de s'éteindre avant d'avoir conquis sa place dans la culture artistique universelle.
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Les Emirats arabes unis ; l'avenir en face
Alain Bradfer, Jean-dominique Dallet
- Acr
- Les Orientalistes
- 18 Novembre 2010
- 9782867701917
Ce fut un désert dont les dunes s'alanguissaient sur le ressac d'une mer qui fut de tout temps un enjeu du commerce mondial. Il est difficile d'imaginer que ces sept émirats aient une Histoire, au sens des canons occidentaux. Ici, le passé semble avoir été gommé de traits de pelleteuses, noyé dans le béton, rayé d'autoroutes urbaines. Ce qui ne l'empêche de ressurgir à la moindre attention, à la plus modeste des sollicitations. Fier de ce que le monde lui reconnaît, le plus insolent des Émiriens attendrit sa superbe au souvenir de ses pères. Des pères qui, il n'y a guère plus de quarante ans, étaient bédouins, commerçants, chameliers, à peu près tous pêcheurs de perles... C'est ainsi que s'écrit une histoire contemporaine. Vingt siècles de transhumances rudes, de commerce intensif, de concurrence acharnée, de déboires destructeurs et d'imagination salvatrice ont forgé des mentalités qui ont fait de ce désert l'un des endroits les plus riches et les plus convoités du monde. Ce qui paraît être un miracle contemporain n'est jamais que l'aboutissement d'une culture ancienne passée par tous les avatars qui forgent une économie moderne.
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Reconnue, célébrée et collectionnée avec passion, l'oeuvre de Narcisse Diaz de la Peña a su séduire ses contemporains les plus illustres, Delacroix, Renoir, Van Gogh, et demeure aujourd'hui incontournable pour tout collectionneur ou collection du XIXe siècle. Paysagiste et peintre de genre, de l'Orient, de nus, de fleurs et de chiens en sous-bois, Diaz laisse une oeuvre considérable et extrêmement variée, réalisant une synthèse originale entre le paysage barbizonien et le goût orientalisant et de frivolité de son époque.
Chef de file et pilier, avec Théodore Rousseau, de l'École de la Nature, son oeuvre - où la forêt est omniprésente - traduit l'enchantement joyeux de la réverbération de la lumière. Admiré par Monet et Monticelli sur lequel il exerce une énorme fascination, artificier de la lumière et de la couleur, le peintre profile à travers son oeuvre une manière encore inédite d'appréhender la lumière. Tachiste, il use de l'imprécision volontaire de la forme dans son détail en juxtaposant les couleurs, désagrégeant l'effet lumineux en séparant chaque touche. Pré-impressionniste, grand virtuose de la palette, Diaz éblouit l'oeil par toutes les séductions de la lumière et l'envoûtement d'un grand coloriste.
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Les orientalistes de l'école américaine
Ackerman/Gerald M.
- Acr
- Les Orientalistes
- 17 Septembre 1996
- 9782867700675
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Les orientalistes de l'école espagnole
Dizy Caso/Eduardo
- Acr
- Les Orientalistes
- 28 Juillet 2005
- 9782867701061
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Palais Lamrani, Marrakech ; une histoire, une passion...
Collectif
- Acr
- 17 Novembre 2016
- 9782867702129
Une Passion... Notre aventure est née d'une passion commune avec mon épouse, Isabelle, pour le Maroc, pays de mon enfance. De ces belles années passées à Casablanca, j'ai gardé l'amour pour ce pays, ses couleurs, son art, ses traditions, sa culture et son peuple, accueillant et chaleureux. Grâce à l'un de nos amis marocains, nous avons poussé la petite porte de ce Palais-Riad, un des derniers de la médina de Marrakech, situé au coeur du quartier historique de Mouassine. Nous n'imaginions pas le trésor qui s'y cachait. Nous avons immédiatement été éblouis par la magnificence de cette maison et son immense patio à la végétation luxuriante, bordé de hautes colonnes recouvertes de zelliges anciens, véritable marqueterie de terre cuite émaillée.
Nous avons eu un coup de foudre pour ce palais, quelque peu abandonné mais ô combien unique en médina.