« Organiser sa vie professionnelle et s'occuper des enfants, être là pour l'homme qu'on aime sans oublier ses amis : comme vous, je jongle, je fais de mon mieux, j'ai l'impression parfois que ce n'est pas assez. Une maison, c'est un sanctuaire, un havre de paix où l'on peut souffler après la course folle de nos vies trépidantes.
Je sais que le bruit des clés dans la porte, la lumière d'une salle de bains, le confort d'un salon, l'odeur d'une cuisine, les rires d'enfants, la gaieté d'un dîner improvisé, réconfortent face au chahut du monde. Être heureux est un art de vivre.
Voilà pourquoi j'ai décidé de partager avec vous mes secrets. Mes astuces déco, mes adresses préférées, mes recettes de cuisine simplissimes, mes trucs mode et beauté faciles pour avoir du style du soir au matin : venez avec moi, je vous accompagne ! » Référence dans le domaine de la décoration, Sarah Lavoine, qui a créé son agence en 2002, est designer et architecte d'intérieur. Son nom est devenu synonyme de goût parisien, d'esthétique contemporaine et d'artisanat d'excellence.
Depuis 50 000 ans, la création artistique est une caractéristique humaine universelle. Pourquoi, où et comment l'art est-il né ? Qu'est-il censé nous dire ? Quels messages, quelles visions du monde les représentations de l'art préhistorique véhiculent-elles ?
On compte environ 100 000 statuettes et autres objets d'art mobilier âgés d'au moins 10 000 ans, surtout concentrés sur les trois continents de l'Ancien Monde (Afrique, Asie, Europe). Mais les vestiges, pour leur plus grande part, consistent en oeuvres d'art rupestre.
A ce jour, 70 000 sites sont répertoriés sur les cinq continents, et environ 45 millions de peintures et de gravures, situées dans des grottes ou sur des roches à l'air libre, ont été mises au jour.
C'est au déchiffrement de ce formidable héritage, légué par des sociétés humaines qui ne connaissaient pas l'écriture et de ce fait, selon les canons occidentaux, n'avaient pas d'histoire, que nous invite le professeur Emmanuel Anati. En s'appuyant sur le matériau remarquable et inédit que constituent les images tirées des archives mondiales d'art rupestre -, des photos et des relevés des plus beaux sites du monde -, en privilégiant les études comparatives et en nous dévoilant les mécanismes de ce langage primordial que représentait la création artistique, il nous offre l'inventaire le plus complet jamais réalisé de ces précieux témoignages de nos origines.
Directeur du Centre camunien des études préhistoriques à Capo di Ponte, Italie, Emmanuel Anati a été professeur de préhistoire à l'université de Tel-Aviv et titulaire de la chaire de paléoethnologie à l'université de Lecce. À l'origine de nombreuses missions de recherche à travers le monde, il a notamment découvert le sanctuaire d'Har Karkom, dans le désert du Néguev, et les peintures du val Camonica, en Italie.
Galerie de portraits des plus grands interprètes de l'opéra depuis son origine, cet ouvrage met en valeur, à travers un fourmillement d'anecdotes, les chanteurs adulés, les divas parfois capricieuses, servants d'un art qui ne va pas sans extravagance.
De magnifiques photographies, un texte alerte et dense emmènent le lecteur dans le monde fascinant du Sahara oriental, aux confins de l'Égypte, de la Libye et du Soudan, au-delà des grandes barrières dunaires qui protègent l'un des berceaux de la civilisation pharaonique. L'aventure est omniprésente : par la magie des espaces, par l'évocation de leurs premiers découvreurs, par la démarche même des auteurs. Elle se double d'une réflexion savante sur cette culture des origines et ses résurgences dans la grande civilisation des bords du Nil. De larges perspectives, très neuves, s'ouvrent sur les relations de l'Afrique présaharienne avec les grands fleuves, jadis considérés comme source unique des civilisations qu'ils ont abritées. Ils ne sont, en fait, que des creusets, dans lesquels sont venues se fondre de plus anciennes sociétés. Ces racines présahariennes profondes nous rapprochent des origines de l'Homme et mettent en lumière l'imaginaire de ces ultimes prédécesseurs des pharaons.
L'ecriture des vivants série dirigée et établie par pierre bernard 1. etats-unis textes inédits en france de:
William burroughs:
Les lettres du yage, nova express, amenez-le à cut-city, fichier et bulletin automatique, censure, l'avenir du roman, les techniques littéraires de lady sutton smith, enregistrement:
Dimanche des rameaux, lettres.
Claude pélieu:
Scripts, ici vite maintenant, 1 000 mobiles, les veines incolores de votre nom mr., oneway, sens-unique.
Bob kaufman:
Sardine dorée, poèmes, variations, poèmes et textes inédits.
Bibliographies photographies
L'histoire du Sénat depuis les fastes du 17ème siècle jusqu'à aujourd'hui . Le temps des princes tout d'abord qui a vu l'érection du Palais pour Marie de Médicis et dont l'architecture trouva son inspiration à Florence, mais également les premières Précieuses ou la Duchesse de Berry, qui fut aussi le théâtre d'événements historiques comme la fameuse journée des dupes...
Le temps de la Révolution avec l'instauration du Sénat , la restauration et les agrandissements du Palais sous la houlette de Chalgrin puis Baraguey... le temps des premiers sénateurs et des Républiques enfin..., le rôle, la mission et les grandes heures de cette assemblée parfois contestée...
Ce livre évoque et décrit également l'architecture intérieure et extérieure du Palais. Par exemple la galerie des Rubens, celle des Jordaens, la magnificience des salles d'apparat, le Musée du Luxembourg, le Petit Luxembourg, l'Hôtel de la Présidence et bien sûr les jardins et ses collections de fleurs, ses ruches, ses fontaines, ses statues...
250 illustrations.
De A, comme « Abbadie, Jacques », à Z, comme « Zèle et faux zèle », 2 413 articles dus à la plume des meilleurs spécialistes couvrent avec ce dictionnaire un immense champ de connaissances sur le Grand Siècle entendu au sens large : de 1589 (avènement d'Henri IV) à 1715 (mort de Louis XIV). Certes, les questions politiques et les biographies y occupent une part, mais ce sont aussi tous les domaines de l'activité humaine qui sont traités, des sciences aux affaires religieuses, des lettres aux beaux-arts, de l'économie aux conflits guerriers, des institutions à la vie quotidienne. François Bluche, l'un de nos plus grands historiens de la France de l'Ancien Régime, auteur notamment d'un célèbre Louis XIV (1986), est le maître d'oeuvre de cette somme inégalée.
L'ouvrage de Pénélope ou Machiavel en médecine parut sous le nom d'Aletheius Demetrius en 1748-1750 à Berlin, où Julien Offray de La Mettrie avait trouvé refuge auprès de Frédéric II, suite à la condamnation de L'homme-machine. L'ouvrage présente un intérêt philosophique indéniable car il pose à la fois, et de manière tout à fait neuve, la question de la compétence des médecins, ainsi que celle du pouvoir de fait de ce corps de doctes. L'auteur y dénonce le machiavélisme de ses pairs, et leur oppose une médecine anti-machiavélique qui serait mise au service des citoyens et du public.
«Il en va de l'histoire comme des autres sciences. Le laboratoire, ce sont ici les archives, les musées, les bibliothèques. Le matériau, c'est le document, écrit ou non écrit, qu'une analyse transmue en témoignage et qu'une critique confronte à d'autres témoignages.
«Il y a le document qui parle de lui-même parce qu'il a été conçu pour raconter _ ce qui ne signifie pas qu'il soit sincère. Le récit, la chronique, le journal sont précieux, tout comme le tableau figuré, souvent parce qu'ils fourmillent de détails empruntés à l'observation, toujours parce qu'ils proposent une explication, un éclairage, une version. L'historien sait ne pas négliger de tels témoignages. Il en sait la fragilité. S'imposent le recoupement, la critique, l'assemblage. Le témoin unique ne témoigne de rien que de sa propre version : le peintre des travaux champêtres n'a jamais tenu un mancheron et l'acteur d'une bataille n'en a vu que son entourage.
«Il y a aussi le document né de l'action, dont l'auteur n'aurait jamais pensé qu'il serait un jour matière première de l'analyse historique. C'est la lettre, la décision, le compte, mais c'est aussi le plan de la ville ou l'ordonnance des champs, l'appareil de la construction ou la forme du soc. Mais ce document, comme la cornue du chimiste ou le microscope du biologiste, ne répond bien souvent à l'interrogation qu'en désavouant l'idée préconçue de l'historien et en le contraignant à de nouveaux points de vue, à de nouvelles questions. La recherche est ici comme ailleurs un interminable dialogue.
«Autant qu'au maître, à l'étudiant, à l'élève tentés de prendre leur part à l'expérience de l'historien, cette collection s'adresse à tous ceux qui souhaitent passer derrière le décor planté par l'écriture des historiens quand ceux-ci parviennent à des résultats, qui veulent poser eux-mêmes les questions que suggère l'intelligence de notre temps à la diversité du témoignage des temps passés.
«Ce que nous proposons ici, c'est évidemment un choix. Les textes inconnus ou peu connus côtoient les pièces illustres qu'on se serait étonné de ne pas trouver sous le prétexte qu'elles sont ailleurs. Des actes solennels alternent avec ceux de la pratique quotidienne. Des récits en forme ont place à côté de l'information diffuse qu'il faut extraire d'une phrase ou d'un vestige archéologique.» Jean Favier, de l'Institut Yves-Marie Bercé, directeur de l'Ecole nationale des chartes, professeur d'histoire moderne à l'université Paris-IV-Sorbonne, est l'auteur de plusieurs ouvrages relatifs à l'histoire des mentalités dans la France de l'Ancien Régime.
Michel Cassan, professeur à l'université de Limoges, est lui aussi spécialiste de la France moderne, en particulier du Limousin.
A l'un des plus grands compositeurs français, il fallait consacrer un monument. c'est chose faite avec cet ouvrage en deux tomes, où david cairns allie la flamme de l'enthousiaste et la minutie du chercheur.
Le premier volume, « la formation d'un artiste », traite des premières années : l'enfance en dauphiné, la vocation qui éclôt, les rapports familiaux difficiles, terreau d'un manque de reconnaissance où s'enracinent les frustrations futures. a paris, ensuite, le musicien, qui prend de l'envergure, rencontre bien des traverses, tant dans son affirmation artistique (l'incompréhension des milieux officiels contraint berlioz à plusieurs tentatives avant d'obtenir le prix de rome) que dans ses amours (la comédienne anglaise harriet smithson, objet d'une adulation torturante, ne répond que par des rebuffades à ses démonstrations).
Les tourments qui agitent cette âme tumultueuse se situent dans le paris de la restauration, creuset des arts et des lettres où se côtoient les principaux acteurs du mouvement romantique, avec qui berlioz noue des amitiés consolantes.
Malgré toutes les entraves, une oeuvre capitale voit le jour, emblème romantique au même titre que l'hernani de victor hugo : la symphonie fantastique, véritable coup de tonnerre qui révèle des potentialités orchestrales inconnues.
Ce premier tome se clôt sur le concert du 9 décembre 1832 au conservatoire, jour mémorable où berlioz, de retour de rome, est accueilli avec ferveur à paris et où son amour pour harriet se voit enfin couronné de succès.
Critique musical dans différents journaux anglais, david cairns a également enseigné dans des universités américaines.
Nouvelle édition revue et augmentée
Après les années de formation et les premières créations de berlioz, parcourues dans le premier tome, le second volume, « servitude et grandeur », aborde les années de maturité, celles qui verront s'épanouir la carrière du musicien, se préciser sa pensée et s'élaborer ses oeuvres les plus marquantes : harold en italie, roméo et juliette, la damnation de faust et le requiem.
La difficulté à s'imposer comme compositeur contraint berlioz à une activité à laquelle il renâcle - mais excelle : la critique musicale, où son talent littéraire (qui s'exprime aussi dans sa vaste correspondance et dans ses mémoires) fait merveille.
Insuffisamment reconnu dans son pays, il rencontre un meilleur accueil en allemagne, où on le considère comme un des compositeurs majeurs de la nouvelle école, en russie et en angleterre où on l'honore comme un des meilleurs chefs d'orchestre de son temps.
La puissance d'évocation dramatique que représente l'opéra, consécration des compositeurs de son époque, exerce sur lui une séduction que le succès ne paie pas de retour : benvenuto cellini est mal accueilli et, malgré les honneurs reçus à la fin de sa vie, berlioz aura connu l'amertume de n'avoir entendu de son vivant que des extraits des troyens, son oeuvre maîtresse.
Les chagrins affectifs et les frustrations dont berlioz a été largement abreuvé font de lui une incarnation de l'artiste romantique, héroïque dans son combat victorieux pour faire advenir le monde sonore dont il est porteur, dans lequel la postérité se reconnaîtra.
Critique musical dans différents journaux anglais, david cairns a également enseigné dans des universités américaines.
0pération de politique spectacle sans précédent, le sacre de Napoléon, le 2 décembre 1804, donna lieu à une mise en scène exceptionnelle. Aux Français recrus de privations et de déchirements, il fallait donner à rêver, aux étrangers, ennemis d'hier, il fallait signifier que la France avait recouvré son hégémonie. Près de 20 000 fonctionnaires et militaires furent conviés ; décors, costumes et musique furent spécialement conçus pour l'occasion.
A la demande de l'Empereur fut réalisé un prestigieux ouvrage qui présente par le détail les différentes étapes de la cérémonie et ses participants. Ce livre monumental compte avec Le Sacre du peintre David parmi les plus importantes commandes artistiques de Napoléon (commencé en 1804, il ne fut achevé qu'en 1815 et ne circula, secrètement, que parmi les fidèles). Les quarante planches qui servirent à imprimer les illustrations sont aujourd'hui conservées à la Chalcographie du musée du Louvre.
A travers cette édition rarissime, ici reproduite, et une très riche iconographie - des portraits officiels à l'imagerie populaire -, Jean Tulard relate (notamment à l'aide du Procès-verbal du sacre écrit par Louis-Philippe de Ségur, grand maître des cérémonies) et analyse cet événement inouï dans Iequel a pris naissance la légende napoléonienne, bien avant les victoires fracassantes de I'Empire et les textes de propagande composés à Sainte-Hélène.
À la découverte des plus anciennes et des plus belles oeuvres du Louvre, présentées comme on ne les avait jamais vues.
Lorsqu'un 1866 les vénérables membres de la Société linguistique de Paris décidèrent d'exclure de leurs débats la problématique de l'origine du langage, nul n'aurait pu prévoir que cette question allait susciter tant du passions plus d'un siècle plus tard.
Aujourd'hui les linguistes mais aussi les anthropologues, les psychologues, les archéologues, les neurologues et les généticiens croisent leurs regards et parfois leurs fers, éclairent d'un jour nouveau cette interrogation ancienne D'où vient le langage, cette faculté qui fait l'homme et nous distingue du règne animal ? Quels sont les mécanismes qui la sous-entendent et quelle est sa finalité ? Quel fut, parmi les premiers hommes, celui qui énonça le premier mot ? Par quel miracle la parole vient-elle à nos enfants oe Au-delà du la problématique du langage, c'est celle des langues d'aujourd'hui qui est abordée. Comment en est-on arrivé aux 6000 langues actuellement parlées à travers le monde ? Pourquoi près de la moitié d'entre elles sont-elles en voie d'extinction ? Quel processus complexe a donné naissance aux créoles, les langues naturelles dont l'émergence est la plus récente oe .À la lumière des dernières découvertes et des derniers travaux, cet ouvrage tente à son tour de répondre à ces différentes préoccupations. A travers les tentatives de reconstruction d'un protolangage, la quête lancinante de notre langue mère ou celle, utopique, de la langue parfaite, il poursuit une exploration débutée avec la publication des Origines de l'humanité. Celle de l'homme, de son mystère, de son essence.
Le 19 décembre 1951, une éruption de gaz secoue le petit village de lacq. le transport ferroviaire est arrêté, la route nationale déviée. le forage a libéré du gaz à trois mille quatre cent cinquante mètres en profondeur. devant le péril, la société nationale des pétroles d'aquitaine fait appel à un " tueur de puits ": miron kinley, originaire du texas. deux mois plus tard, le puits est finalement maîtrisé. " c'est de la folie, boys! vous avez la mort sous les pieds! oubliez ce champ de gaz, rebouchez vos forages... mais, pour l'amour du ciel, ne restez pas là! " recommande kinley avant de partir. il n'est pas écouté. quelques années plus tard, lacq devient l'emblème de la richesse énergétique française.
Elf aquitaine, une épopée qui commence dès après la première guerre mondiale lorsque clemenceau exprime sa crainte de voir les armées de la france dépendre de l'étranger pour leur carburant.
Elf aquitaine, une entreprise qui a su remarquablement s'adapter aux vicissitudes de l'histoire en s'internationalisant et en se diversifiant: conquête de nouveaux gisements dans le monde, constitution d'un pôle chimique de grande envergure avec atochem et un pôle pharmaceutique avec sanofi.
Elf aquitaine, une entreprise qui, grâce à son esprit d'innovation, son investissement constant dans la recherche est, depuis les années 80, le premier groupe industriel français.
Un ouvrage très documenté et magnifiquement illustré qui raconte l'une des aventures industrielles et humaines les plus extraordinaires de notre siècle.
LE CHEF-D'OEUVRE D'ÉRIK ORSENNA SUR LE NOTRE, SOMPTUEUSEMENT ILLUSTRE Membre de l'Académie française, prix Goncourt 1988, Érik Orsenna, romancier et essayiste à succès, est également président de l'École supérieure du paysage à Versailles.
Ce second volume constitue lui aussi un véritable événement Sous la direction de Yves Coppens et Pascal Picq, membres du Collège de France, les plus grands scientifiques internationaux ... éthologues (Boris Cyrulnik), paléoanthropologues (Pascal Picq, Albert Ducros), primatologues (Jacques Vauclair, Frans de Waal, J.A.R.A.M. van Hooff, James Anderson), philosophes (Elisabeth de Fontenay) - se penchent, à la lumière des études récentes menées sur nos frères d'évolution, les grands singes, sur une question jamais réellement abordée : qu'est-ce qui constitue le propre de l'homme ?
Sont ainsi remarquablement étudiés la bipédie, l'alimentation, les capacités cérébrales, le langage, les relations et l'organisation sociales, le principe de reconnaissance de soi, celui de conscience de soi et de l'autre, le rire, l'art...
Un livre qui révolutionne notre idée de l'Autre, le monde animal, et de nous-mêmes 2 500 ans durant, l'homme s'est doté de caractères et de qualités exclusifs. Aujourd'hui, cet ouvrage démontre combien il est peu aisé de tracer une frontière tangible entre l'homme et les grands singes, notamment.
Un livre écrit pour le grand public et remarquable par sa présentation Chaque idée développée est illustrée par des histoires ou des études réalisées sur le monde animal, en particulier sur les grands singes. Le lecteur se trouve ainsi confronté à des comportements, des attitudes, des formes d'intelligence étonnants dont il ne soupçonnait pas l'existence.
Sur 700 pages environ, 200 illustrations dont trois quarts de photos, 20 dessins et 20 cartes. Deux dépliants de 8 pages accompagnent ce volume, l'un consacré à la bipédie, l'autre au cerveau.
« Plus jamais je ne rentrerai en scène.
Je ne chanterai jamais plus...
Un soir de 1993, au Châtelet, mon coeur, trop lourd de tant d'émotion, a brusquement battu trop vite et trop fort, et, durant l'interminable espace de quelques secondes où personne, j'en suis sûre, ne s'est aperçu de rien, mon corps a refusé d'obéir à un cerveau qui, d'ailleurs, ne commandait plus rien.
J'ai gardé, rivée en moi, cette panique fulgurante pendant laquelle je suis restée figée, affolée, perdue.
J'ai dû interrompre le spectacle pendant quelque temps, puis définitivement...
Durant deux ans, j'ai fait le deuil d'une partie de ma vie qui venait brusquement de se terminer.
Écrire, aujourd'hui, est un moyen de continuer le dialogue. » Barbara, 27 avril 1997
« je suis venu dans l'inde par hasard. je ne m'étais jamais intéressé à ce qu'on appelle la spiritualité hindoue ni aux problèmes sociaux de ce vaste pays.
Avec raymond burnier, un jeune photographe suisse qui était un parfait compagnon de voyage, nous avons été éblouis par la beauté des paysages, des êtres, des choses.
Nous y sommes revenus à maintes reprises pour finalement nous fixer sur la rive sacrée du gange dans la plus vieille ville du monde. au fil de nos séjours, nous avons parcouru déserts et forêts, montagnes et cités, et visité des temples oubliés. » alain daniélou.