Bono - artiste, activiste et chanteur du groupe de rock irlandais U2 - publie ses Mémoires. Surrender est un texte sincère et irrévérencieux, intime et profond - l'histoire de sa vie hors du commun, des défis qu'il a dû surmonter, et des amis et de la famille qui l'ont soutenu et façonné.
« Quand j'ai commencé à écrire ce livre, j'espérais dépeindre en détail ce que j'avais seulement esquissé dans mes chansons. Les personnes, les lieux et les possibilités qui s'étaient présentés à moi. «Surrender» est un terme lourd de sens pour moi. Ayant grandi en Irlande, dans les années 1970, les poings levés (sur le plan musical), ce n'était pas un concept naturel. C'est un terme autour duquel je me contentais de tourner jusqu'à ce que je me plonge dans mes souvenirs pour ce livre. Aujourd'hui, je suis toujours aux prises avec ce commandement qui appelle à l'humilité. Au sein du groupe, dans mon mariage, dans ma foi, dans ma vie d'activiste. Surrender est l'histoire d'un pèlerin peinant à avancer... mais qui s'amuse en cours de route. » Bono.
La carrière de Bono, un des artistes les plus iconiques du monde de la musique, est largement documentée. Mais dans Surrender, Bono lui-même se livre pour la première fois sur sa vie extraordinaire et sur ceux qui l'ont partagée. De sa voix unique, Bono nous raconte son enfance et sa jeunesse à Dublin, notamment la perte brutale de sa mère à l'âge de quatorze ans, l'improbable parcours de U2 jusqu'à ce que le groupe de rock devienne l'un des plus célèbres de la planète, et enfin ses plus de vingt années d'activisme consacrées à la lutte contre le sida et l'extrême pauvreté. Dans un récit introspectif d'une grande sincérité, et avec un solide sens de l'humour, Bono lève le voile sur sa vie, ainsi que sur la famille, les amis et la foi qui l'ont toujours soutenu, bousculé et façonné.
Dans cet ouvrage, son premier depuis qu'il s'est vu décerner le prix Nobel de littérature, Bob Dylan nous donne un aperçu personnel et hors du commun de la musique populaire. À travers soixante-six textes, illustrés de cent cinquante photos, il se penche sur les titres d'autres artistes, de Stephen Foster à Elvis Costello, en passant par Hank Williams et Nina Simone. Mystérieux, touchants, profonds, souvent empreints d'un humour ravageur, ces essais sont la quintessence de sa plume inimitable.
Bohemian rhapsody, another one bites the dust, we are the champions, we will rock you, the show must go on...
La simple évocation de ces chansons fait résonner une voix : celle de freddie mercury. star extravagante et énigmatique, inoubliable interprète sur scène et compositeur, le leader de queen a marqué des générations de fans à travers le monde. et le choc provoqué par sa disparition en 1991 - il meurt du sida à 45 ans - fut à la mesure de sa légende.
Après avoir mené l'enquête plusieurs années et rencontré de nombreux proches de l'artiste, selim rauer va au-delà du mythe, révèle les failles et les secrets de freddie mercury. il raconte l'incroyable destin de farrokh bulsara, indien parsi né à zanzibar, élevé près de bombay et devenu l'un des chanteurs britanniques les plus célèbres du xxesiècle. un portrait intime et inattendu.
Né à paris, selim rauer est écrivain. il est notamment l'auteur d'un roman, la passion de pier (les perséides, 2007).
La longue vie de Degas (1834-1917), son imposante carrière (plus de cinquante années d'incessante création artistique) ne peuvent se comparer qu'à celles, au même moment, de Monet et Renoir. Mais une vie plus secrète, moins publique, plus riche d'amitiés imprévues, de rencontres inattendues. Degas est resté secret, se méfiant de ce que l'on pourrait dire ou écrire sur lui, soucieux de protéger tout ce qui était vie privée, souhaitant à la fois être illustre et inconnu . L'existence retirée, le mystère dont il s'entoure volontiers (opinions politiques, relations sexuelles ou amoureuses), mais aussi l'incontestable notoriété dont, très tôt, il jouit _ dès les années 1860, alors qu'il est encore inconnu du grand public _, la férocité de ses mots, la présence incongrue de cet artiste volontiers réactionnaire dans un milieu d'avant-garde, font l'attrait et la particularité de sa biographie.Car cette longue destinée apparaît, grâce à de nouvelles sources d'archives, de nombreux documents inédits, aussi riche et finalement aventureuse que celles, manifestement plus tumultueuses, d'un Van Gogh ou d'un Gauguin.Ancien pensionnaire de l'Académie de France à Rome, Henri Loyrette est conservateur en chef au musée d'Orsay. Auteur d'un ouvrage sur Gustave Eiffel et de nombreuses études sur l'art français du XIXe siècle, il a été notamment le commissaire de l'exposition Degas e l'Italia (Rome, Villa Médicis, 1984-1985) et le commissaire français de la rétrospective Degas (Paris, Ottawa, New York, 1988-1989).
Et oui, elle chante encore ! À 78 ans, Anne Sylvestre, vingt et un albums, multiplie les duos avec des jeunes artistes d'aujourd'hui et remplit partout les salles où elle chante, en France comme au Québec.
C'est au cabaret La Colombe, sur la rive gauche parisienne, qu'elle a débuté en 1957, à la même époque que Jean Ferrat, Guy Béart ou Pierre Perret ; on la compare alors très vite à Georges Brassens pour l'inventivité et la qualité de ses textes, où elle cultive finesse, émotion et humour. De 1961 à 1967, elle récolte différents Prix, passe à l'Olympia avec Gilbert Bécaud, à Bobino avec Jean-Claude Pascal et Félix Leclerc. Parallèlement, elle commence à composer pour les enfants et se révèle une véritable pionnière en la matière avec ses fameuses Fabulettes. Dès 1973, Anne Sylvestre est aussi l'une des premières à autoproduire ses disques et ses spectacles. Cette indépendance lui permet d'écrire des chansons en résonance très forte avec son époque, en particulier avec les grands mouvements d'émancipation des femmes.
Riche de quelque quatre-vingts interviews inédites, de proches, de collaborateurs, de journalistes ou de chanteuses et chanteurs, cette première biographie a bénéficié de la participation active d'Anne Sylvestre elle-même, qui a largement abordé avec l'auteur sa carrière et sa vie privée (y compris les périodes douloureuses de l'enfance et de l'adolescence), offrant au lecteur autant de clefs pour mieux comprendre et apprécier ses chansons.Spécialiste de la chanson française, longtemps titulaire de la rubrique « chanson » à L'Humanité et l'un des principaux journalistes de la défunte revue Chorus, Daniel Pantchenko a publié en 2010 dans cette même collection Jean Ferrat « Je ne chante pas pour passer le temps », et en 2006, Charles Aznavour ou Le Destin apprivoisé (en collaboration avec Marc Robine), deux biographies considérées comme des références.
Son unique priorité s'appelait la peinture : elle était son souffle, son sang. Quand Nicolas de Staël (1914-1955) se donna la mort, à quarante et un ans, il laissait plus de mille tableaux, autant de dessins, et l'énigme d'une vie menée au galop.
Insolent et généreux, rusé et pur, Staël savait masquer sous des cascades de rire les failles d'une enfance brisée par la révolution russe de 1917 et les rigueurs d'un exil polonais. Aristocrate apatride et orphelin, il fut recueilli en Belgique, voyagea au Maroc, tout entier habité par la fureur de peindre.
Derrière le grand artiste salué par son ami Georges Braque et par Marc Chagall ("il était innocent, il avait une force cosmique"), il faut découvrir les vertiges de ce météore mélancolique, son corps à corps avec la couleur, son combat singulier avec la matière, son refus hautain de toutes les écoles, qu'elles se réclament de l'abstraction ou de la figuration.
La renaissance arriva des Etats-Unis, quand il eut trente neuf ans. Trop tôt ou trop tard. Il s'était déjà réfugié en Provence, aveuglé de lumière, écrasé de gloire, fraternisant avec René Char et brûlant sa vie, obsédé par les hautes figures de Paolo Uccello et de Hercules Seghers. Sa morale tenait en quelques mots : "il faut travailler beaucoup, une tonne de passion et cent grammes de patience." Voici la chevauchée de ce prince foudroyé.
Journaliste au Monde, Laurent Greilsamer a consacré sa première biographie à Hubert Beuve-Méry, parue en 1990 chez Fayard. Il a notamment publié aux mêmes éditions, en collaboration avec Daniel Schneidermann, Un certain Monsieur Paul : l'affaire Touvier (1989) et Les Juges parlent (1992).
Cet essai interroge la façon dont se sont articulées historiquement les relations entre la musique et la révolution industrielle, de façon générale, et entre les musiciens et les machines, de façon particulière.
Du métronome au gramophone, en passant par les orchestres mécaniques ou par les premières diffusions téléphoniques de la musique, ce livre montre comment au xixe siècle les techniques issues de la révolution industrielle affectent tout à la fois les interprètes (incités à rationaliser leur technique tout en cultivant l'expression), les auditeurs (invités à être galvanisés par des expériences « électriques ») et les compositeurs (qui, de Rossini à Wagner, en passant par Chopin ou Berlioz, ne cessent d'admirer et de redouter tout à la fois les mutations esthétiques nées du progrès technique).
Emmanuel Reibel illustre ainsi comment les mutations technologiques du xixe siècle font évoluer la réflexion sur ce qu'est la musique, sa composition et son interprétation, tout en reconfigurant le champ des valeurs associées à l'art.
Ce faisant, il propose de penser le romantisme comme le négatif (au sens photographique du terme) de la révolution industrielle.
Emmanuel Reibel est professeur de musicologie à l'École normale supérieure de Lyon. Il enseigne l'esthétique au Conservatoire national supérieur de Musique et de Danse de Paris.
«Être danseur, c'est passer beaucoup de temps devant le miroir. Comment ne pas m'interroger à chaque spectacle sur mon rôle? Comment dois-je l'habiter, l'interpréter et le danser devant un public d'aujourd'hui? J'ai décidé de me raconter tel que je suis, pour être capable ensuite de m'adresser à ceux qu'on ne représente hélas jamais. Le chemin va être long, mais je ne me retournerai pas. Je dois accepter celui que j'étais hier et que je suis toujours, étoile ou pas. Le titre n'y change rien.» Le 28 décembre 2016, Germain Louvet est consacré danseur étoile à l'issue d'une représentation du Lac des cygnes. Investi d'une exigence d'excellence depuis son admission à l'école de danse de l'Opéra de Paris à l'âge de douze ans, il raconte sa passion, convoque les oeuvres qui le portent, celles qui lui résistent. Mais sur scène comme en coulisses, le danseur étoile essaie de bousculer l'ordre établi du milieu de la danse.
Germain Louvet fait porter sa voix en faveur de davantage de diversité, remet en cause les codes inculqués, questionne les stéréotypes des corps, et interroge sa pratique jusqu'à renverser l'idée de vocation. Ce récit est celui d'un artiste engagé, pour qui toutes les choses qui se dansent sont un cri.
« Lorsque j'étais enfant, j'apprenais la ?théorie musicale dans de petits manuels (je ne sais pas s'ils existent encore) partagés en deux : le livret vert des questions et celui rouge des réponses. La première leçon de la première année était la suivante : ?Qu'est-ce que la musique ? ; et sur le livret rouge, il était écrit : ?La musique est l'art des sons. Quel ne fut pas mon éblouissement, à l'âge de huit ans, en découvrant cette définition. Je ne sais pas si ce fut mon entrée dans la ?théorie musicale, mais je crois que ce fut mon entrée en philosophie. Il y avait dans cet énoncé tout le pouvoir magique des formules définitionnelles. Elle concentrait en quelques mots simples le mystère des choses impalpables. Je n'ai guère changé d'opinion : la musique est bien l'art des sons. »De cette définition banale, « la musique est l'art des sons », ce livre tire toutes les conséquences jusqu'aux plus éloignées. Chemin faisant, il répond aux questions que nous nous posons sur la musique et sur les arts. Pourquoi, partout où il y a de l'humanité, y a-t-il de la musique ? Pourquoi la musique nous fait-elle danser ? Et pourquoi nous émeut-elle parfois ? Qu'exprime la musique pure ? Représente-t-elle quelque chose ? Et qu'est-ce que la beauté ? Est-elle dans les choses ou en nous ? Pourquoi tous les êtres humains font-ils des images, des récits, des musiques ? Que nous disent du monde réel ces mondes imaginaires ?
Les questions les plus simples sont souvent les plus profondes. Aucun livre sur la musique ou sur les arts ne les pose avec cette tranquillité et cette originalité.Francis Wolff est philosophe, professeur à l'École normale supérieure (Paris). Il est notamment l'auteur de Socrate (PUF, 2000), Dire le monde (PUF, 2004), Philosophie de la corrida (Fayard, 2007) et Notre humanité (Fayard, 2010). Il a consacré une part importante de son enseignement à la musique.
88 extraits de musiques commentées dans le livre sont proposés à l'écoute sur le site Internet www.pourquoilamusique.fr Le livre est aussi disponible sous la forme d'un epub 3.0 enrichi de ces extraits musicaux
La familiarité que Daniel Barenboim entretient de longue date avec la musique se traduit en une réflexion profonde, dans laquelle il entraîne avec facilité le lecteur.
Acteur et observateur du fait musical, il analyse comment la perception de la musique s'inscrit à la fois dans le corps, dans l'esprit et dans la vie sociale.
De par sa position historique (musicien israélien), il s'inscrit dans une action de rapprochement avec les Palestiniens. Une amitié très profonde l'a lié à Edward Said, avec qui il a fondé le West-Eastern Divan, orchestre qui regroupe de jeunes musiciens israéliens et arabes (d'Israël ou de Syrie, Jordanie, Égypte) et qui, après un concert fondateur à Ramallah, joue dans le monde entier. Leur action en faveur de la paix a été couronnée par des nombreuses récompenses.
Cet ouvrage accorde une large place à cet orchestre, en retraçant à la fois sa genèse et ses premières réalisations, et en brossant le portrait de certains de ses membres. On mesure la dose de courage que chacun des participants a dû déployer pour braver ses propres préjugés et ceux de son entourage et accomplir cet idéal toujours fragile mais merveilleusement symbolique : s'écouter les uns les autres, vivre ensemble et faire oeuvre de beauté.
Cet orchestre donnera un concert à Paris le 25 août. La sortie du livre est programmée à cette occasion.
Sur un fil, entre deux immeubles, de l'aile d'un avion au toit d'une voiture ou d'un métro, Jean-Paul Belmondo a pris tous les risques. Des années plus tard, il en rit encore, l'oeil brillant. Ces éclats de rire tonitruants, il s'en est toujours servi pour garder ses secrets : sa vie, ses rencontres, sa famille, ses amours, ses joies immenses et ses peines les plus grandes.
Jean-Paul Belmondo a aujourd'hui décidé de tout raconter. Son enfance marquée par la guerre, sa mère courage, l'atelier de son père, et ses premières amours.
Il nous entraîne dans les pas dilettantes de son service militaire en Algérie. Il nous invite aux comptoirs de la rue Saint-Benoît, pour y faire les quatre cents coups avec ses copains de toujours, Jean-Pierre Marielle, Jean Rochefort, Michel Beaune, Pierre Vernier, Charles Gérard. Jean-Paul Belmondo se raconte ici pour la première fois, nous livrant la certitude que, oui, mille vies valent mieux qu'une.
Ce catalogue adopte un point de vue novateur sur Picasso et son oeuvre en proposant l'approche inédite d'une vingtaine de penseurs internationaux, issus de domaines aussi divers que la sociologie, l'anthropologie, l'histoire, la géopolitique, la philosophie, les études muséales, l'histoire de l'art ou le droit.
Picasso est longtemps resté otage des beaux-arts. C'est par le prisme des sciences sociales que le catalogue Picasso l'étranger aborde sa relation avec la France. Dans une polyphonie inattendue, à côté des oeuvres et des documents exposés, sont convoquées ici des voix plurielles (droit, géographie, anthropologie, sociologie, histoire) complétant les analyses des historiens d'art. En s'attaquant, souvent pour la première fois, à l'« objet Picasso », elles dévoilent - paradoxe majeur - que le peintre aujourd'hui mythique a été considéré comme un paria pendant ses quatre premières décennies en France. Stigmatisé ou ostracisé parce que étranger, engagé, artiste d'avant-garde, le jeune Picasso vécut dès 1901 sous la constante surveillance de la police : autant de dates consignées, d'empreintes digitales répétées, de photos d'identité sur lesquelles il semble un repris de justice. Mais Picasso ne subit pas, il explore, il avance et construit avec obsession son oeuvre magistrale, immédiatement célébrée dans le monde occidental mais rejetée par l'Académie des beaux-arts, attachée à préserver le « bon goût » français. À quelles stratégies l'artiste a-t-il recours pour naviguer dans un pays secoué par des vagues de xénophobie et entravé par des institutions souvent obsolètes ? Comment construit-il ses réseaux pour imposer les normes de son propre univers - inclusif, innovant, subversif ? Au-delà de son génie artistique, Picasso révèle d'impressionnants talents de stratège politique. En habitant sa position d'étranger et d'artiste global, il devient un puissant vecteur de modernisation de la France. Avec ses multiples « sphères d'appartenance », c'est comme si, en pionnier des modèles du xxie siècle, il faisait exploser les frontières traditionnelles des États-nations, en annonçant les nouvelles formes cosmopolites contemporaines.
L'odyssée de Picasso étranger en France ne fait-elle pas écho à la renaissance de nos xénophobies ordinaires ? Ne résonne-t-elle pas aujourd'hui pour toutes ces existences subalternes qui se heurtent au rejet de l'autre ? En croisant outils et notions au carrefour de plusieurs disciplines, ce catalogue installe Picasso au coeur de nos préoccupations les plus contemporaines.
Richard Strauss, dans son expression la plus authentique, évoque sa vie, la musique, le patrimoine germanique.
Richard Strauss eut une vie merveilleuse qu'il raconta durant ses dernières années dans des textes longs ou courts mais toujours pleins d'humour.
Christophe Looten les a réunis pour les offrir au lecteur francophone. On y découvre les premiers pas de l'apprenti compositeur, les premiers succès, puis la gloire venue avec les grandes oeuvres. Les derniers souvenirs, rédigés pendant la Seconde Guerre mondiale, nous permettent de mieux comprendre pourquoi Strauss n'a pas quitté l'Allemagne nazie et ce qu'il a essayé de faire durant cette période tragique.
Riches en anecdotes et en traits d'esprit, ces petits chefs-d'oeuvre nous plongent dans l'Allemagne musicale du début du siècle. On y rencontre tour à tour Cosima Wagner, Johannes Brahms, Johann Strauss, et le compositeur y évoque Richard Wagner, Hans von Bülow, Gustav Mahler et Arnold Schoenberg.
Le compositeur relate également comment il a conçu ses oeuvres et le travail mené avec ses librettistes, les chefs d'orchestre, les metteurs en scène et les interprètes, ainsi que l'accueil qu'elles ont reçu.
Cette sorte d'autobiographie, qui n'était disponible jusqu'à présent qu'en allemand, est indispensable pour bien connaître Strauss et saisir l'importance historique de ses oeuvres.
Spécialiste de la musique allemande de la seconde moitié du XIXe siècle, Christophe Looten est aussi le compositeur de deux opéras, de plusieurs messes, symphonies, concertos, et de six quatuors à cordes.
Le 29 mai 1982, Romy Schneider s'est éteinte à l'âge de 43 ans. Que s'est-il passé la nuit de sa mort au 11, rue Barbet-de-Jouy, dans le VIIe arrondissement de Paris ?
Icône du cinéma français à la photogénie incroyable, que sait-on vraiment de Romy, de ses bonheurs, mais aussi de ses chagrins et de ses blessures, notamment depuis la mort de son fils quelques mois plus tôt ?
Sarah Briand a marché dans ses pas, du chalet de son enfance à Berchtesgaden en Allemagne, près du nid d'aigle d'Adolf Hitler, jusqu'à l'appartement parisien où elle a passé ses dernières heures, pour nous livrer une série d'instantanés de ces moments intimes.
Un portrait nourri de témoignages inédits d'amis, de réalisateurs, ses partenaires de cinéma et parfois de vie, comme celui qui fut son époux, Daniel Biasini, le père de sa fille Sarah, ou encore Alain Delon, qui rend pour la première fois, à la femme qu'il a aimée, un hommage exceptionnel.
Si, au XIXe siècle, l'opéra français a continué à se définir en tant qu'expression artistique distincte des opéras italiens et allemands, au cours du XXe siècle l'internationalisation du répertoire et des créations conduit à une modification profonde de la notion d'école nationale.
En revanche, perdure un lien important entre l'État, les collectivités territoriales et le genre, comme en témoigne l'inauguration en 1989 de l'Opéra Bastille, voulu par François Mitterrand, ou le label « opéra national », décerné par le ministère de la Culture à quelques théâtres en régions.
Plus que jamais, la place de l'opéra dans la société est un défi, à la fois esthétique, culturel, économique, social et politique. Jusqu'à 1945, et malgré sa lente et inexorable désagrégation, le système mis en place précédemment maintient la vie lyrique dans une relative continuité avec le XIXe siècle.
L'opéra du XXe siècle, que l'on élargira aux deux premières décennies du XXIe, est l'opéra de toutes les aventures et de toutes les crises, qui l'ont un temps conduit aux limites de ses possibles et menacé de disparition.
Face aux révolutions de tout ordre - de la société des loisirs, de la démocratisation et de la décentralisation, du multiculturalisme et de la mondialisation, du langage musical occidental et de la mise en scène, des nouvelles technologies et des musiques populaires urbaines -, face aux avant-gardes, aux nouveaux médias et aux nouvelles formes d'art comme le cinéma, l'opéra a su se réinventer. Son aptitude à absorber sans se perdre les nouveaux outils et les nouvelles questions du monde contemporain est stupéfiante.
À l'encontre des idées reçues, ce sont encore, de Debussy à Saariaho, des centaines d'oeuvres que ce siècle de turbulences a produites.
Tragiques ou légères, formules radicales ou partitions pour enfants, grandes fresques ou opéras-minutes, opérettes ou comédies musicales, elles n'ont cessé de reconfigurer le genre et d'élargir son spectre.
Ce continent lyrique restait à explorer dans la diversité de ses aspects. Une histoire s'imposait donc pour en faire le récit et en décrire les mécanismes, pour en reconstituer les valeurs et les tendances, pour suivre ses acteurs et découvrir ses productions.
Entreprise sans précédent par ses dimensions et par sa conception, cette Histoire de l'opéra français en trois volumes réunit une équipe internationale de plus de cent cinquante auteurs - musicologues, littéraires et philosophes, historiens et spécialistes du théâtre, de la danse et des arts. Elle est placée sous la direction d'Hervé Lacombe, professeur de musicologie à l'université Rennes 2
L'orchestre, comment ça marche ? Quels sont les rouages de cette étrange communauté humaine et musicale ? On la perçoit comme une masse indifférenciée, sous le nom d'Orchestre philharmonique de Berlin ou d'Orchestre de Paris, négligeant trop souvent qu'il s'agit d'une réunion d'individualités. Qui sont ces musiciens d'orchestre, ces anonymes, ces sans-grade dont on oublie qu'ils sont de grands musiciens ? Ils représentent un paradoxe vivant : artistes et salariés, interprètes et exécutants, aristocrates et prolétaires. Est-ce par vocation ou par défaut qu'ils font ce métier ? Qui se soumet pendant ses études à l'excellence et à la compétition pour finalement fondre son talent dans un groupe ? Comment s'organise cette communauté fortement structurée et hiérarchisée (solistes et musiciens du rang, cordes et vents, c'est une vraie microsociété) ? Avec en point culminant le rapport au chef d'orchestre : pouvoir ou confiance ? Si un chef se montre parfois despotique, un orchestre peut facilement le dévorer tout cru. L'orchestre peut être le paradis ou l'enfer, ses membres peuvent se comporter comme une classe turbulente ou s'élever jusqu'à la transcendance : ce sont des êtres humains, avec leurs forces, leurs travers, leurs diversités, mais lorsqu'ils communient pour le même objectif, on se trouve devant la plus magique des inventions.
De longtemps passionné par l'orchestre, son répertoire et la communauté humaine qu'il représente, Christian Merlin éclaire les us et coutumes, les servitudes et les grandeurs de cette institution avec une empathie communicative, fondée sur une documentation internationale et une longue familiarité admirative avec les musiciens.Critique musical au Figaro depuis 2000, Christian Merlin collabore aussi aux revues L'Avant-Scène Opéra et Diapason, et participe à de nombreuses émissions sur France Musique. Il est maître de conférences à l'Université Lille 3, où il enseigne les études germaniques et la musicologie.
Les débuts de l'opéra en France, de sa fondation par Louis XIV à ses développements jusqu'à la Révolution. De la tragédie lyrique, genre spectaculaire qui s'impose au monde musical, à l'apparition de nouveaux genres : l'opéra-comique, qui se développera au XIXe siècle.
Menée par Hervé Lacombe, une équipe pluridisciplinaire passe en revue tous les aspects de l'opéra français à ses débuts, et montre comment se constitue une véritable culture lyrique.
Sollicitant les yeux, les oreilles et les émotions, manipulant les idées comme les imaginaires, l'opéra reflète et concentre son époque. Il est tout autant un phénomène culturel d'une ampleur considérable qu'un objet artistique protéiforme, le résultat d'une industrie que le fruit d'une esthétique. Dans l'histoire de ce genre totalisant, le répertoire français occupe une place à part, fortement déterminée par son lien avec l'État, depuis son institutionnalisation par Louis XIV, qui consacra la tragédie en musique, jusqu'à l'inauguration en 1989 de l'Opéra Bastille, voulu par François Mitterrand, à l'occasion des festivités du bicentenaire de la Révolution. Né au XVIIe siècle, tout à la fois en s'inspirant et en se démarquant de l'opéra italien, l'opéra français s'inscrit dans un contexte social et artistique spécifique, dont la culture de la danse est l'une des données fondamentales. La période qui s'ouvre avec le Roi-Soleil trouve son terme dans l'écroulement de l'Ancien Régime durant la Révolution. Entre-temps, le genre a infiltré toute la vie musicale, a proliféré jusque dans les colonies. Il s'est ramifié sous diverses formes, dont l'opéra-comique est l'une des plus originales. Derrière quelques noms restés célèbres, comme Lully et Rameau, Grétry et Gluck, c'est une multitude d'auteurs qu'il nous faut redécouvrir. Ce continent lyrique restait à explorer dans la diversité de ses aspects. Une histoire s'imposait donc pour en faire le récit et en décrire les mécanismes, pour en reconstituer les valeurs et les tendances, pour suivre ses acteurs et découvrir ses productions.
Entreprise sans précédent par ses dimensions et par sa conception, cette Histoire de l'opéra français en trois volumes réunit une équipe internationale de près de deux cents auteurs - musicologues, littéraires et philosophes, historiens et spécialistes du théâtre, de la danse et des arts. Elle est placée sous la direction d'Hervé Lacombe, professeur de musicologie à l'université Rennes 2.
Autobiographie du chanteur français, depuis son enfance sous les bombes, ses débuts à 14 ans aux côtés de Sidney Bechet, son entrée au cours Simon, la guerre d'Algérie, le théâtre expérimental, les années hippies, puis rock...
L'opéra, art totalisant, le genre privilégié de la rencontre entre les expressions artistiques : poésie, théâtre, musique, costumes et décors, chant et parfois danse. L'opéra français, créé sur décision royale, est également fortement marqué par ses implications politiques.
Menée par Hervé Lacombe, une équipe pluridisciplinaire passe en revue tous les aspects de l'opéra français au XIXe siècle, époque de son triomphe et de son rayonnement esthétique et social.
L'opéra français est déterminé par son caractère d'institution d'État, depuis sa création par Louis XIV, qui consacra le genre de la tragédie en musique, jusqu'à l'inauguration en 1989 de l'Opéra Bastille, voulu par François Mitterrand, à l'occasion des festivités du bicentenaire de la Révolution.
Le XIXe siècle est en France l'ère du piano, des virtuoses, des concerts symphoniques, de la presse musicale, de la mélodie et des salons, mais, plus que tout, il est le temps de l'opéra. À Paris, en province et dans les colonies, sous sa forme spectaculaire ou par ses innombrables arrangements, ce genre déjà plus que séculaire demeure l'objet d'attentions particulières des pouvoirs qui se succèdent, du Consulat aux débuts de la IIIe république. Il continue à se ramifier, avec l'opérette et l'opéra de salon, s'enrichit d'apports étrangers, de Rossini à Wagner, devient le centre de toute l'activité musicale et infiltre les diverses couches de la société. L'opéra est donc tout autant un phénomène culturel d'une ampleur considérable qu'un objet artistique, le résultat d'une industrie que le fruit d'une esthétique. Sollicitant les yeux, les oreilles et les émotions, manipulant les idées comme les imaginaires, il reflète et concentre son époque.
Outre quelques titres mondialement connus -- Carmen et Faust, Manon et Orphée aux enfers... --, ce sont des centaines d'oeuvres que ce siècle a créées. Ce continent lyrique restait à explorer dans la diversité de ses aspects. Une histoire s'imposait donc, pour en faire le récit et en décrire les mécanismes, pour en reconstituer les valeurs et les tendances, pour suivre ses acteurs et découvrir ses institutions, ses salles, ses pratiques, ses thèmes, ses productions...
Entreprise sans précédent par ses dimensions et par sa conception, cette Histoire de l'opéra français en trois volumes réunit une équipe internationale de plus de cent cinquante auteurs - musicologues, littéraires et philosophes, historiens et spécialistes du théâtre, de la danse et des arts. Elle est placée sous la direction d'Hervé Lacombe, professeur de musicologie à l'université Rennes 2.
Reynaldo Hahn (1874-1947) est longtemps demeuré attaché à la seule figure d'un musicien mondain, compositeur précoce fêté dès son enfance dans les salons parisiens. La postérité de ce spirituel et distingué Vénézuélien d'origine juive allemande, affectionné et admiré de Massenet et d'Alphonse Daudet, ne semblait pouvoir dépasser son affinité première avec la poésie de Verlaine, sa relation amoureuse avec Marcel Proust et sa fervente amitié pour Sarah Bernhardt. Incarnation immuable de la Belle Époque, il était rivé à quelques mélodies à succès et une opérette célèbre, Ciboulette, qui l'érigeait en nouvel André Messager.
Aujourd'hui pourtant, la musique de Reynaldo Hahn séduit une nouvelle génération d'interprètes et sa stature est reconsidérée, notamment en ce qui se rapporte à ses échanges intellectuels et esthétiques avec Proust. Cette biographie se propose, en revenant aux sources - dont son journal inédit - et en ne s'aliénant pas aux clichés, de retrouver l'artiste sous le personnage. Autrement dit le créateur d'une oeuvre multiple, riche de bien d'autres poèmes vocaux et ouvrages lyriques que ceux toujours entendus, où le ballet côtoie l'oratorio et le quatuor à cordes. Certaines oeuvres, comme Sagesse ou La Corsaire, sont étudiées ici pour la première fois. On découvrira également un interprète d'exception et un homme de lettres accompli, chanteur-né, chef d'orchestre et directeur musical de grande envergure, critique musical influent et alerte conférencier.
Restait à faire apparaître sous le plastron du contempteur brillant d'une modernité de commande, acteur incontournable de la vie musicale de l'entre-deux-guerres et parangon incontesté de l'esprit français le plus piquant, un être voué à l'art s'exprimant par nécessité intérieure. Fidèle à une conception non progressiste de la beauté et meurtri face à une époque d'intenses mutations qui ne lui correspondait pas, Reynaldo Hahn s'est voulu à la fois un éclectique et un classique.
Philippe Blay est musicologue, conservateur en chef à la Bibliothèque nationale de France. Il consacre ses recherches à Reynaldo Hahn et au théâtre lyrique en France sous la Troisième République.
« Le jazz ? C'est quatre mots, dit Miles Davis. Louis - Armstrong - Charlie - Parker. » Parker incarne le jazz dans sa liberté, son invention, ses beautés. Le saxophoniste alto originaire de Kansas City exerce une influence déterminante sur le jazz tel qu'on le connaît depuis ces 60 dernières années. Il innove sur tous les plans: le découpage rythmique, l'audace harmonique, l'invention mélodique. C'est un musicien en liberté, donc excessif, marginal, au parcours musical fulgurant (seulement vingt ans, de 1935 à 1955), troué d'envolées sublimes et de descentes aux enfers abyssales. Il est la figure centrale d'une révolution. L'éruption du bebop, son irruption fracassante dans les années 1940 à New York, est le grand tournant de l'histoire du jazz.
Cette biographie est non seulement le livre le plus complet sur Charlie Parker publié en France (témoignages de musiciens : Sonny Rollins, Ornette Coleman, Joe Lovano, Steve Coleman, Martial Solal, Michel Portal ; un cahier photos), c'est aussi le récit précis de cette aventure musicale qui a défrayé la chronique et fait rupture dans l'histoire de la musique noire-américaine : le bebop.
Franck Médioni est journaliste et écrivain. Il a collaboré à Jazz magazine et a été producteur de l'émission « Jazzististiques » sur France Musique. Parmi une oeuvre foisonnante dont plusieurs livres d'entretiens (Martial Solal, Joëlle Léandre, Sonny Rollins, Daniel Humair), il est l'auteur de John Coltrane, 80 musiciens de jazz témoignent (Actes Sud), Miles Davis, 80 musiciens de jazz témoignent (Actes Sud), Jimi Hendrix (Gallimard), George Gershwin (Gallimard) et John Coltrane, l'amour suprême (Le Castor astral).
L'autobiographie du réalisateur, initialement éditée en 1984, relate son parcours de Cracovie à Hollywood, en passant par Paris, Londres et Rome, son enfance dans la Pologne nazie, ses débuts dans la comédie, ses études de cinéma, l'assassinat de Sharon Tate ou encore son arrestation pour détournement de mineure.
D'une conception ouverte et neuve, abondamment illustré (plus de 500 exemples musicaux, tableaux et schémas), le Guide de la théorie de la musique est amené à occuper une place centrale dans la pratique musicale du xxie siècle.
Son premier volet expose de manière claire et concise les notions indispensables à la compréhension de la musique (notes, durées, rythmes, gammes, accords, tonalités, modulations, modes, nuances, ornements...) et offre enfin droit de cité à de nombreux thèmes moins souvent abordés comme les musiques du xxe siècle, le jazz, l'informatique musicale, la notation ancienne, l'histoire de la pensée harmonique ou l'évolution des tempéraments...
Sans omettre les traditions musicales non occidentales, le Guide des « théoriciens » présente dans un second volet pour la première fois sous une forme chronologique les très nombreux auteurs ayant contribué au développement du langage et de la pratique musicale au cours des siècles, qu'ils soient théoriciens, compositeurs, célèbres, anonymes, voire mythiques.
Enfin, un inventaire du vocabulaire essentiel et un ensemble de tableaux pratiques synthétisent les réponses aux interrogations les plus fréquentes : chronologie, terminologie, modes, chiffrages, sons harmoniques, neumes, conventions des octaves, rythmes de danse...; tandis que de nombreux index, comme l'I>index visuel reliant les symboles solfégiques courants aux notions étudiées, permettent un accès rapide aux différentes informations, encourageant la brève consultation autant que l'étude approfondie.
Irremplaçable outil de travail combinant pédagogie, encyclopédie et synthèse, ce guide s'adresse autant aux mélomanes qu'aux élèves de conservatoires, aux étudiants ou aux chercheurs.
Auteur et concepteur du Guide de la théorie de la musique, Claude Abromont est premier prix d'analyse musicale du Conservatoire national supérieur de musique de Paris où il enseigne l'analyse instrumentiste. Auteur de publications dans plusieurs revues spécialisées, il est également professeur de culture musicale au CNR de Dijon.
Auteur du volet Guide des « théoriciens », Eugène de Montalembert est titulaire du DNESM de composition du Conservatoire national supérieur de musique de Lyon. Il enseigne la culture musicale aux ENM de Bourg-La-Reine/Sceaux, Pantin et Yerres, tout en intervenant dans le cadre de nombreuses formations.
« Un livre qui fera date et qui servira pendant longtemps de référence. » (Harry Halbreich) « Une petite bible, en quelque sorte. Une bible qu'on pourrait croire. » (Jacques Drillon)
Au cours de ses quatre siècles d'existence, l'opéra a accumulé un répertoire gigantesque. De ces milliers d'oeuvres, quelques-unes, constamment jouées, sont bien connues des amateurs. Pour tous ceux qui souhaitent en savoir plus, cet ouvrage sera une source inépuisable de découvertes.
Chaque opéra cité ici est abordé sous différents angles. Un résumé du livret expose toutes les ramifications d'intrigues souvent complexes ; un commentaire analyse le sens de l'oeuvre, ses qualités musicales et sa valeur théâtrale, situant son importance dans l'ensemble du répertoire ; un historique retrace sa genèse et sa fortune dans la postérité, rappelant les grandes productions et les interprètes qui s'y sont illustrés; une discographie sommaire enfin signale les enregistrements de référence.
Ce livre constitue donc un outil unique de connaissance du genre. S'il traite dans le détail les compositeurs les plus célèbres (Monteverdi, Haendel, Rameau, Mozart, Rossini, Verdi ou Wagner...), dont il présente l'oeuvre lyrique dans sa totalité, il s'attache aussi à faire découvrir des compositeurs et des opéras plus rares, dignes de susciter la curiosité aussi bien des programmateurs que du public.
L'amateur passionné d'opéra trouvera ici des informations fines, le débutant, un guide dans un monde foisonnant de séductions. Tous deux le liront avant un spectacle ou l'écoute d'un disque pour s'y apprêter dans les meilleures conditions, et après, pour prolonger leur plaisir.