Dans Le terreau de mes mots, Matthieu Baudry Marty part à la rencontre de la Terre et propose un parcours entre les éléments et les lieux. Il invite ainsi à un voyage en Colombie, pour écouter et sentir, danser et découvrir l'expressivité de ce qui constitue le socle de l'humanité et le point de départ de la géographie : la Terre.
« J'étais tenté de m'éloigner de l'habitude humaine
D'imposer sa signature sur la nature même,
Au détour d'une rue agitée,
Ou derrière une moderne maison.
J'avais besoin d'une autre géographie,
Celle du vert, de la feuille et du vent, des
racines, du chemin et des saisons. »
Géographe de formation, Matthieu Baudry Marty est né à Niort en 1996, dans les Deux-Sèvres. Il y a résidé jusqu'à son départ à Poitiers pour étudier en hypokhâgne puis en khâgne, où il développe son goût pour la littérature, la poésie et la géographie. Il décide de faire de ces trois activités un objet d'étude lors de son master de géographie à l'université de la Sorbonne, en travaillant sur les apports de la lecture poétique de l'espace à la science géographique. Ce recueil constitue l'incarnation de ses investigations. Ayant une vision décloisonnée des genres littéraires, il écrit autant de poèmes que de romans, de scénarios ou de pièces de théâtre, qui demeurent avant tout des histoires poétiques. Il commence à s'intéresser à la Colombie suite à la rencontre de son compagnon de vie, en 2018, avec qui il partage tous ses moments passés de l'autre côté de l'Atlantique. Aujourd'hui, l'auteur continue de travailler dans le monde de la recherche scientifique, en tant que chargé de soutien à la recherche et à la publication scientifique à l'Institut des Amériques.
« Garin était en bout de table à la place la plus proche de la porte parce qu'il sentait le cochon : "C'est cor Garin qui sent le cochon" disait la patronne à l'adresse des gens de passage, comme pour disculper le reste de la maisonnée. »
Nourri de la simplicité d'une vie rurale qu'il aime profondément, Olivier Rattez, avec un remarquable talent de conteur, nous conduit de rencontre en rencontre. Milouchet, Garin, le père Vanier, Maurin et tant d'autres, nous offrent, au fil des pages, de savoureuses petites leçons de vie, simples et pétries de bon sens. Elles ont été, pour l'auteur, des références qui ont éclairé son chemin, au point de transformer radicalement les pratiques managériales d'une entreprise. C'est très humblement qu'il nous les transmet. En ces temps où une approche aveugle des hommes fait tant de dégâts, elles sont un magnifique cadeau.
Le processus de spiritualisation de notre chair commence à l'orée de nos cinquante sens. Âme charnelle et chair spirituelle nourrissent alors en nous les pensées qui tissent notre conscience.
Les messages du monde sont décryptés et la chair se fait esprit. Par cette lecture du monde, tout en s'éprouvant lui-même en train de penser, l'Homme gratifie la réalité créatrice d'une conscience.
La biosophie est la philosophie fécondée par la biologie.
Ce livre est une introspection biosophique dans la matière de notre âme et de notre esprit.
Né en 1954 dans une famille proche de la nature, Bernard Delor a suivi des études de biologie à Montpellier, avant de devenir Professeur de SVT. Il a également enseigné la biologie et le théâtre en effectuant des mises en scène avec ses élèves. La biologie, la danse et le théâtre l'ont naturellement conduit à la philosophie, et donc à la création de la biosophie.
« Nous étions des cyclistes vanlifers, des partenaires solitaires, des touristes éclectiques, des amateurs de vin sportifs, des pèlerins de caves, des retraités globe-trotters, autant de facettes difficiles à faire entrer dans les cases habituelles. »
Jeune retraité, Simon se lance dans une aventure hors norme avec sa compagne Guylaine pour tourner la page de sa vie professionnelle : un tour de France des vignobles à vélo et en van. Il décrit les cent jours passés sur les routes et dans les domaines viticoles, les visites de lieux remarquables, les rencontres, les anecdotes du parcours et les souvenirs qu'il ravive. Les « cycloenotouristes » découvrent au fil des trois-mille-cinq-cents kilomètres que leur aventure dépasse l'enjeu sportif.
Récit de voyage, guide touristique, initiation à l'oenologie, invitation à l'introspection, illustration de la gestion de projet ; l'ouvrage couvre tous ces aspects en embarquant le lecteur dans un périple haletant, riche en culture et en émotions.
Simon Bouron est né en Vendée en 1960. Cet ancien informaticien a attendu la retraite pour prendre le temps de raconter ses voyages et ses souvenirs. Sportif invétéré, il enfourche son vélo pour partir à la découverte des paysages et du patrimoine culturel. Amoureux de la nature et adepte du slow tourisme, il aime partager son émerveillement à l'aide de photos et de récits.
Avec Les cycloenotouristes - Tour de France des vignobles à vélo et en van en cent jours, l'aventure prend une dimension littéraire.
En 1917, à Odessa, dans l'Empire tsariste, une famille de « Russes blancs » fuit la révolution bolchevique et s'installe en France. Les enfants adoptent la culture de leur pays d'accueil, tout en gardant la nostalgie de leur mère patrie.
Depuis la nuit des temps, les femmes se battent pour leur famille, mais aussi pour leur indépendance. Nathalia, féministe avant l'heure, en est le parfait exemple. De Nice à Paris, elle élève ses enfants avec courage. Ces derniers quittent ensuite le nid familial pour New York, Monaco et Bruxelles. La planète est devenue leur patrie. Un jour, Nathalia connaît enfin le bonheur d'être grand-mère ; on la surnomme alors Babouchka. Devenue veuve, elle part pour un pays scandinave, la Courlande, d'où sont issus ses ancêtres. Elle compte bien y vivre le grand amour, en secret...
Puisse ce récit vous faire voyager dans le temps, auprès de Babouchka et de ses enfants aux destins exceptionnels et passionnants.
Née à Bruxelles en 1953 d'un père russe et d'une mère belge, Tatiana Touraou grandit dans le milieu artistique de la danse et des arts. Grâce à ses parents, elle a le bonheur de côtoyer les grands noms de l'art du XXe siècle. Installée en France depuis de nombreuses années, elle se consacre à ses passions : la peinture et l'écriture.
Approché puis recruté par Jacques - un de ces agents très discrets, assurant la sécurité des nations dites « civilisées » -, je me suis retrouvé dans une histoire qui n'était pas la mienne. J'ai ainsi gardé, pendant plus de trente ans, un terrible secret sans jamais le révéler. J'ai parcouru le monde pour me donner l'illusion d'échapper à ce milieu très fermé, poétiquement appelé le « Club des parfumeurs ». Aujourd'hui j'ai retrouvé ma liberté. Je l'appelle symboliquement Teenchwala, en hommage à ce merveilleux village indien inconnu des cartes géographiques, où j'ai construit un petit barrage. C'est là que j'ai trouvé la paix et j'y reviendrai, peut-être pour mon dernier voyage...
Né en 1959 à Paris, Henry Medecis passe une enfance paisible, entouré de son frère et ses deux soeurs. En 1984, il se marie puis devient père de trois filles. Titulaire d'un doctorat de pharmacie, il débute sa carrière professionnelle dans les laboratoires de recherche de l'École polytechnique. Il exerce ensuite en tant que pharmacien d'officine et consultant. Depuis plus de vingt ans, il s'investit avec son épouse dans l'organisation de missions humanitaires en Inde et en Afrique. Passionné de voyages et de rencontres, il a fait plusieurs fois le tour du monde.
Les Pluies nettoient Esprits, Consciences et Âmes de Toutes les Personnes vivant sur cette Terre si Précieuse... quel est votre Avis Chers Lecteurs... ?
Les Pluies arrosent et nettoient à leurs Manières, Natures Forestières, Sols, Voitures et abondent les Potagers desséchés par manque d'Eau Naturelle... pensez-vous que trop de Pluies est nécessaire ou Inondations de Tous les Lieux... ?
Shanice Ellington nous livre ses pensées et des vérités dans cet essai un brin philosophique et avant-gardiste. Ce livre n'a qu'un seul mot d'ordre : aider autrui.
Comme la littérature peut sauver des vies et guérir les âmes, alors pourquoi ne pas l'utiliser à bon escient ? S'aider soi-même, aider l'autre et la société, sont les principaux sujets traités par l'auteur. Force est de constater que certaines personnes se retrouvent comme enchaînées, tiraillées de tous les côtés dans certaines situations pénibles que la vie réserve parfois. Au fil des pages de Vérité partagée ou pas, l'auteur nous conte son histoire de façon indirecte et nous invite à partager ou non ses vérités, afin de nous aider à remédier à ces situations. C'est tout l'intérêt de cet ouvrage autour duquel nous apprenons qu'« avec de l'espoir et de la volonté, on peut tout rendre certain ».
Partir à l'aventure.
Des forêts de pins.
Des plages ensoleillées.
Des vagues tubulaires...
Et au milieu de cette atmosphère océane,
Stéphanie et ses deux frères,
Parcourant les routes à bord d'un van,
Criant l'urgence de vivre et d'aimer...
En 2004 à Tomsk, sa ville natale en Sibérie, la traductrice franco-russe Marina Sévérina découvrit les livres de la série La confession des Anges Gardiens dans le rayon philosophie d'une librairie. Ces livres racontaient la vie inconnue de Jésus-Christ : enfance, jeunesse, période après sa crucifixion. On y apprit que leur auteur Rénate Garif, éditeur du journal Blitz à Moscou, rencontra en 1998 une médium qui se connecta avec les âmes de défunts qui se nommèrent eux-mêmes « Les Anges Gardiens ». Ils donnèrent une sorte d'interview exclusive en répondant aux questions du journaliste russe. Cette histoire modifia sa vie : pendant vingt ans, Rénate Garif créa dix-sept best-sellers de la série nommée ci-dessus. On fit le choix de traduire ces livres pour le lecteur francophone, car ces textes révélaient les mystères de la civilisation humaine, de l'historiographie de Jésus-Christ, de Bouddha, de Jeanne d'Arc, des templiers, du Saint Graal, etc., en donnant une autre vision du monde, différente de celle régie par le cartésianisme ou le freudisme, en aidant les gens à trouver des réponses aux questions essentielles de la vie et à poursuivre le chemin terrestre en renforçant leur force morale.
Jules César n'aurait pas débarqué en Britannia Major comme on le dit, mais en Britannia Minor, une région située sur le Continent, quelque part en Armorique...
Le Pays de Galles - pays du Roi Arthur - et l'Angleterre auraient d'abord été des territoires continentaux, avant d'être « transférés » outre-Manche par l'Église.
L'auteur, en reliant sa connaissance des noms des champs et des lieux-dits de son village natal à la puissance de recoupement par mots-clés de l'outil Internet, va comprendre et démontrer que la petite presqu'île de Rostiviec située dans la Rade de Brest aurait été à elle seule la Britannia romaine des origines, déjà nommée Ynys Prydein par les Celtes et île Cassitéride par les Grecs.
Par ses témoignages, l'écrivain souhaite associer le lecteur à sa recherche.
La perte brutale d'un être cher bouleverse tout. Le deuil n'a rien d'une pathologie physique ou mentale, il est une conséquence immédiate - ou différée dans le temps - d'une brisure affective sans précédent.
Jean décède accidentellement à l'âge de 58 ans. Une correspondance épistolaire s'adressant à l'être aimé, trop tôt disparu, sculpte des silences de lumière où l'on perd pied en la confiance, où l'on se réconcilie avec ce que l'on est. Par-delà le rempart des mots, il ne faut avoir d'hospitalité que pour le mystère de la vie qui se donne.
Le parcours de Sophia Sherine Hutt est centré sur l'écriture, l'art, le dialogue entre les peuples et les cultures, la libre pensée ainsi que la connaissance et l'éthique de soi. La dimension intérieure et spirituelle propre à chaque être reste pour elle une priorité. Elle nous livre ici un texte composé de lettres, de réflexions, de recueillements et de proses, écrins de l'âme et du coeur.
Un homme perd son épouse atteinte d'un cancer fulgurant après cinquante années de vie commune. Il aime la mer et décide de partir vers la destination la plus éloignée de tout continent, celle de Gerbault, de Gauguin et de Brel : « Les Îles Marquises ».
Il revient de ce périple n'ayant, croit-il, rien appris ni rien oublié. Il découvre alors dans le tiroir d'un scriban un journal ignoré, tenu par sa compagne pendant une vingtaine d'années avec de longues interruptions, des moments de doute, de solitude, mais aussi de purs bonheurs. Nul secret avoué ou inavouable, nulle trahison. L'Amour, la vie qui va, le silence.
Il décide d'écrire, en contrepoint de ce mémoire, ce qu'a été pour lui ce long parcours sans chercher à plaider sa cause : ce qu'il croyait avoir été et ce qu'il fut. Ce qu'ils croyaient avoir été et ce qu'ils furent.
L'amour avec un grand « A » existe-t-il ? Entre la quête d'un amour idéal et ses diverses désillusions, l'auteur livre, dans ce premier recueil poétique, sa vision de ce noble sentiment qu'est l'amour. Avec sensibilité, au travers de son âme romantique et tourmentée, il offre ses mots et ses maux pour relater les belles histoires vécues ou platoniques, parfois empreintes de nostalgie, ainsi que les déceptions sentimentales, ses rêves ou son envie de trouver l'âme soeur.
Découvrez des histoires d'amour, que le vent emporte vers un passé et qui ouvre la porte à un nouvel amour...
C'est dans la cité des Gaules, à Lyon, que tout a commencé un 3 avril 1968. Quelques semaines plus tard dans les rues, des canuts résonnaient à nouveau les clameurs des oiseaux de mai... Est-ce déjà ce printemps qui tintait aux oreilles du jeune Roman et lui donnait avant l'heure ce désir de poésie ?
C'est au lycée que ce jeune homme issu d'une famille modeste rencontra Verlaine, Rimbaud, Baudelaire, Ronsard, Du Bellay, Apollinaire, Éluard, Jules Verne, Zola puis Coelho... Cette clameur d'à travers les âges - tout comme celle d'un certain mois de mai - à nouveau s'est fait un plaisir sans borne en titillant les oreilles déjà ouvertes de Roman Novel ainsi que sa plume bavarde, jusqu'à ce que vienne sa propre clameur.
À travers les âges, l'Homme a-t-il évolué intérieurement ?
L'imagination s'allie à l'Histoire pour nous offrir un témoignage romancé et touchant. Embarquez pour un voyage à travers l'espace et le temps, pour observer la mouvance d'un être saisissant. On se demande alors si le progrès l'a aidé à devenir plus confiant, s'il parvient à vaincre son angoisse, à nourrir son enchantement...
Confronté à la complexité de la vie, il tente de maîtriser sa fragilité. Pour apaiser ses tourments, il cherche constamment à avancer. Dans sa quête du succès, pourra-t-il s'affranchir sans perdre son humanité ?
Sensible aux lettres et aux beaux-arts, Leila Iskandar s'est inspirée de sa formation assez variée et de son expérience professionnelle dans le milieu des affaires pour réaliser cet ouvrage. Son parcours l'a confrontée à la guerre, à la maladie et à la mort, lui apprenant beaucoup sur les comportements humains, leur complexité, leurs richesses et leurs imperfections. De ces épreuves, elle est sortie plus confiante et plus combative face aux difficultés.
À ses yeux, l'écriture se révèle un mode d'expression privilégié pour recouvrer la paix intérieure et réenchanter le monde. Quant aux arts, ils l'apaisent, et chaque peinture achevée la propulse vers une nouvelle dimension...
Ce récit autobiographique est celui d'un scientifique arrivé à ses trois quarts de siècle, dont l'activité se poursuit grâce à son statut de professeur émérite des universités. Il met en exergue l'intérêt de son parcours très éclectique dans son ascendance sociétale, allant de son enfance agricole active à un académisme assumé dans les sciences biologiques et médicales. Son vécu et ses expériences personnelles, souvent atypiques, ont renforcé cette ascendance et l'ont conforté dans l'idée que le travail est une valeur émancipatrice voire épanouissante, ce qu'il défend dans une sorte d'action militante.
Après des études techniques, Hector de Ternant a travaillé dans la métallurgie avant de préparer un baccalauréat de sciences expérimentales pendant son service militaire en Allemagne. Après des études universitaires en biochimie, un emploi hospitalier dans un laboratoire pastorien l'a orienté vers la biologie humaine. Cette formation complémentaire l'a dirigé vers une carrière de chercheur à l'Inserm, puis à l'université pour enseigner la biochimie, tout en poursuivant ses études en biologie clinique et, en dirigeant une unité de recherche Inserm. Il a présidé plusieurs sociétés savantes internationales dans le domaine des lipides. Il a publié plus de quatre cents articles dans cette spécialité et reçu plusieurs prix scientifiques internationaux.
« Le monde du cyclisme a toujours attisé mes passions et les courses de vélo, que ce soit de petites courses amateurs comme de grands Tours, me font rêver depuis mon plus jeune âge. Mais le Tour de Romandie cycliste a toujours eu ma préférence parmi les grands rendez-vous de l'année. [...]
À l'automne deux mille sept, en parcourant Le Nouvelliste, quotidien local valaisan, mon attention s'arrêta sur une annonce : la Fédération Motorisée Valaisanne, par Frédéric Luy, responsable des escortes, cherchait des motards pour le Tour de Romandie deux mille huit ! [...]
Dès ce moment-là, la passion que je vouais au sport cycliste prenait une autre tournure et une dimension que je n'aurais jamais espérée. À défaut d'être coureur cycliste, je serai acteur de l'une des plus grandes courses du monde. J'y participerai et serai l'un des maillons de la chaîne. J'étais déjà fier de cet honneur. Mon rêve se réalisait. »
Christian Bétrisey est né en 1961 en Valais. Après un diplôme d'école de commerce à Sierre, des stages de langue en Allemagne et en Angleterre et un premier emploi à la Société de Banque Suisse à Zürich et en Valais, il rejoint, dès 1984, ses parents pour gérer l'hôtel-restaurant familial à Crans-Montana. Il rachète cet établissement en 1990 et y travaille avec son épouse Eliane - avec qui il aura deux filles, Marine et Anne - jusqu'en 2005. Cette année-là, il entame un virage professionnel pour entrer dans les assurances. Aujourd'hui, il est conseiller auprès de l'Helvetia Assurances à l'agence principale de Sierre.
Après avoir chanté la femme et l'amour - comme l'écrit Jacques Gohier alors Secrétaire général de la Fédération Nationale des Associations des Écrivains de France -, Daniel Ferrand nous surprend avec cet ouvrage original.
Entre réflexion et évasion de l'esprit, ce recueil saura vous faire sourire !
Né en 1936, Daniel Ferrand est poète et peintre. Ce Manceau à la fibre sensible et profondément humaine est un amoureux des mots.
Parodies proverbiales - Amusement littéraire est son quatrième ouvrage.
Il veut se couper de la réalité, il réussit mais se retrouve soudainement couplé avec. Cherchant désespérément un moyen de comprendre qu'elle ne l'était pas, si la réalité est surréaliste, il décide de ne rien chercher à chercher.
Elle ne comprend alors plus le sens de ce qui est écrit.
Pendant la colonisation, des enfants nés de l'union de Français et d'Africaines sont abandonnés, çà et là, dans les villages. Ce récit retrace l'histoire de l'une d'entre eux : une petite métisse retrouvée au fin fond d'un village d'Afrique.
Une histoire époustouflante, pleine d'imagination, qui vous fera voyager.
Marie-Louise Beuseize Bardin est née en Côte d'Ivoire. Après la cinquième, elle enchaîne quelques années de galère avant qu'une perche ne lui soit tendue ; elle part pour l'Europe. Là, c'est la désillusion : elle connaît des années de cauchemar avant d'être régularisée. Durant cette période difficile, elle trouve l'inspiration et commence à écrire, pour montrer qu'il n'est jamais trop tard.
Débarquant de bateaux dans lesquels ils avaient maintenu la discipline au sein d'équipages désorientés, les invisibles furent chargés du gardiennage des premières installations et notamment des entrepôts, avant de se heurter aux coriaces populations indonésiennes. Le processus de dépossession fut lent mais de plus en plus lourd. De 1830 à 1914, les autorités néerlandaises ouvrirent les rangs de l'armée coloniale aux volontaires européens motivés par une prime alléchante. Arthur Rimbaud fut l'un d'eux, mais finit par déserter en prenant conscience de sa méprise. Ces volontaires apportèrent la paix et la stabilité à l'une des plus belles colonies du monde mais quittèrent la scène en 1950, sans que leur mérite ait été reconnu.
L'auteur s'appuie sur des récits et mémoires laissés par ces aventuriers pour retracer quelques-uns des exploits de ces pacificateurs invisibles.
Diplômé de Langues O', Jean Rocher est spécialisé dans l'indonésien. Affecté en Indonésie, il en profite pour parfaire sa connaissance du pays et de son histoire, fort méconnue en France. Il étudie une expédition voulue par Napoléon : l'empereur voulait faire de Java - devenue possession française après la conquête des Pays-Bas - un grenier à canne à sucre ; mais cette opération fut un échec. Néanmoins, l'aventure intéressa un éditeur indonésien et Jean Rocher devint le seul auteur français à être publié en indonésien.
L'absence de parents assortie d'un déclassement social abyssal conduit-elle inexorablement au lumpenprolétariat et ses déviances ou, au contraire, est-elle une opportunité pour briser le conformisme de classe ?
Comme dans son précédent récit, l'auteur met en lumière les ressources cachées des enfants, dans le contexte du début des années 70.
Sytrophe Trocel est issu d'une famille bourgeoise anticonformiste. Natif du Sud-Ouest et diplômé en droit, il cultive un jardin selon Voltaire - plus que selon Le Nôtre - en parallèle d'une vie professionnelle riche et passionnante.
« Ce conte, écrit dans les quelques heures restées libres dans un emploi du temps saturé par les frénésies et exigences du présent, n'a d'autre ambition que de faire du bien à ceux qui le liront » nous avertit l'auteur. Le récit de ses souvenirs et l'évocation des grands personnages de sa vie sont agrémentés de situations cocasses rendues possibles par une actualité chaotique, inquiétante et souvent grotesque. Dans ce monde parallèle où se côtoient humour, farce, dérisions et émotions, l'auteur délivre un message d'espoir et de joie dans un monde chamboulé par un certain virus.
« Les cohortes défilaient sur fonds d'images, de lieux et de paysages, couloirs, hôpitaux, lits de plaisir ou de maladie, ateliers, bureaux, rues, places, maisons, vagues de mer d'orage, neiges en flocons piquants, saillies de roches ocre enluminées par le couchant, arbres semblant flotter sur l'eau froide du torrent. C'était beau. »
Jean-Christophe Gallician, ingénieur de 58 ans, écrit dans un style dense où se combinent dérision, ironie et émotion. Ses textes sont nourris de l'actualité, de ses propres souvenirs ou de faits historiques, et s'inscrivent dans une certaine lignée littéraire française où farce et fantaisie composent avec gravité et profondeur des sentiments.
Des recherches généalogiques engagées soixante ans après sa mort, redonnent une famille et un destin à Louis Joseph, qui restait pour ses descendants une énigme, un enfant abandonné à l'assistance publique. De « sans famille », Louis Joseph se révèle être le cinquième enfant d'une fratrie de six, tous issus de pères différents.
De son lieu de naissance insolite à son changement de nom à 20 ans, ce récit croisé des destins de Marie et de son fils, Louis Joseph, nous replonge dans la dure vie quotidienne des paysans morvandiaux et des ouvriers du Creusot, dans la deuxième moitié du XIXe siècle. On y découvre également les soixante premières années du XXe, au gré des bouleversements qui ont jalonné l'Histoire durant cette période.
Jean-François Jondeau a toujours été passionné par l'Histoire. Les récits de son grand-père maternel, vétéran de la Grande Guerre, ont marqué son enfance et sont sans doute à l'origine de son engagement pour le travail et la transmission de la mémoire auprès des jeunes et des scolaires. Il a publié un recueil de témoignages d'anciens combattants de sa commune, engagés dans les différents conflits auxquels a participé la France.
La découverte récente de l'origine de la famille de son arrière-grand-père paternel, Louis Joseph, que tous ses descendants croyaient enfant abandonné à l'assistance publique, a constitué comme un déclic.