Invitant à vivre à l'heure japonaise, cet agenda présente toutes les fêtes et les jours fériés du Japon. Ces événements qui ponctuent l'année sont les reflets de la culture de l'Archipel. Les Japonais sont en effet très sensibles au passage du temps et à ses manifestations : saisons, floraisons, phénomènes météorologiques. Les mois et les jours sont écrits en français et en japonais. Chaque semaine est illustrée par une estampe ou une peinture.
Les jours fériés et les vacances scolaires, en plus du Japon et de la France, sont indiqués pour la Belgique, la Suisse et le Québec.
Pour l'édition 2024, l'Agenda japonais est entièrement illustré par des estampes de Kitagawa Utamaro (1753-1806), peintre qui porta le genre à son apogée.
L'édition 2024 est la sixième édition de l'Agenda japonais.
Un chaton court après les papillons, une chatte s'endort sur le tatami... sous l'oeil observateur du grand poète Kobayashi Issa (1763-1828). Sont ici réunis 100 haïkus d'Issa, inédits pour la plupart, dédiés à ces petits félins. Ils s'accompagnent d'oeuvres d'artistes japonais, de Hokusai à Fukase, où se mêlent xylographies, dessins à l'encre et photographies.
Les yokai, créatures surnaturelles issues du folklore, sont des figures récurrentes de l'art japonais. Esprits vengeurs ou malicieux, ils peuvent déclencher des catastrophes tout comme offrir chance et prospérité à ceux qui les croisent.
Couvrant quatre siècles de création artistique depuis la période d'Edo (1616-1867), ces estampes, peintures, rouleaux illustrés, cartes ou affiches sont conservés au Miyoshi Mononoke Museum (Japon), le seul musée au monde entièrement dédié aux yokai. Avec d'innombrables illustrations en plan rapproché, l'ouvrage propose une expérience unique, une immersion visuelle fascinante dans un monde peuplé d'entités magiques !
L'ouverture du pays aux bateaux étrangers, la fin du règne des Tokugawa et le désir du nouveau gouvernement de faire au plus vite du Japon une nation moderne, pour éviter la colonisation par les Occidentaux, bouleversèrent la vie quotidienne des Japonais à partir de la fin des années 1860. Ce sont les estampes qui rendent le mieux compte de ces transformations. Leur production dans ces années va atteindre des quantités inédites.
Afin d'être des images plus spectaculaires, elles sont très souvent des diptyques ou des triptyques. Pour répondre à la demande, elles dépeignent en détail la modernisation du pays et des moeurs. Abondamment illustré, ce livre est organisé en 6 chapitres : Yokohama, Edo-Tôkyô, le couple impérial, les bouleversements sociaux, les actualités, les divertissements.
Le musée des Beaux-Arts de Lyon conserve l'une des plus remarquables collections d'oeuvres islamiques en France. Grâce aux contributions de plus de cinquante spécialistes du domaine, Les arts de l'Islam au musée des Beaux-Arts de Lyon traite de façon exhaustive de cette collection constituée d'oeuvres exécutées entre la période médiévale et l'époque contemporaine. Très richement illustrées, les notices des céramiques, des métaux, des boiseries, des verres, des ivoires, des textiles, des reliures, des peintures de manuscrits, des armes et armures permettent d'apprécier la diversité de la production en terres d'Islam, depuis l'Occident musulman jusqu'aux frontières de la Chine.
L'Afrique ancienne a une histoire. Cette histoire est celle de civilisations de la diversité qui se façonnent et cohabitent, tantôt hégémoniques, tantôt fluides, dans des milieux exigeants et contrastés. Fruit de recherches accumulées depuis des décennies, c'est une histoire de l'Afrique à la fois neuve, foisonnante et inattendue que raconte ce livre. On pense aux puissants royaumes de Kerma, Aksum, Méroé, Ghâna, Kongo, ou encore aux empires islamiques et chrétiens médiévaux. On parcourt, tels des marchands grecs, arabes ou persans, des villes prospères, du Sahel au Nil et de l'Ethiopie à Madagascar. On visite Tombouctou, Lalibela et le Grand Zimbabwe, sans oublier la civilisation nomade des éleveurs de vaches, les chasseurs-cueilleurs, les innovations techniques ou les flambées artistiques.
Si l'histoire semble se dérober quelquefois, c'est que les témoignages écrits manquent. Là réside le défi de ce livre : faire de toute trace, matérielle ou immatérielle, un document. Ce seront des vestiges d'outils, de parures, des fragments de langues, des gènes d'animaux ou de plantes, qui permettent de remonter à l'histoire d'avant l'histoire ; ce sont les peintures rupestres du Sahara et même des paysages, qui racontent les sociétés ; ce seront des épisodes remémorés et transmis oralement.
Une somme unique, qui réunit, sous la direction de François-Xavier Fauvelle, les meilleurs spécialistes au monde, quelquefois les seuls de leur domaine, et se donne pour ambition d'illustrer autant la diversité des trajectoires historiques des civilisations anciennes de l'Afrique que celle des terrains et des ressources des historiens.
L'art du tatouage japonais est considéré comme l'un des ornements corporels les plus aboutis au monde. Avant l'adhésion populaire, sa pratique puise sa source au coeur de l'époque d'Edo (1603-1868) avec le tatouage de serment fait par amour et le marquage infamant des criminels. Le cheminement vers une ornementation extrêmement élaborée qui couvre de larges parties du corps reste méconnu du grand public.
Pendant deux siècles et demi, cette évolution s'est nourrie de la vie culturelle de l'ukiyo, ce « monde flottant » en pleine effervescence en dépit de la censure imposée par le shogunat Tokugawa. Support de contestation silencieuse, le corps devient un moyen d'exprimer force et courage pour les gens du peuple. Ce phénomène social s'intègre alors à la culture du théâtre kabuki, de l'estampe et du livre, puis passe de la lumière à une ombre relative avec la prohibition de 1872 qui efface une partie de cette mémoire.
Après la fin de l'interdiction en 1948, en particulier durant les années 1960, le cinéma s'empare de cet héritage et en associe l'image aux groupes criminels yakuza que la gravure, la photographie ou le manga perpétuent. Au Japon, cette représentation durable alimente la perception négative du tatouage et limite encore la liberté d'accès à certains lieux publics.
Ce catalogue d'exposition retrace plus de trois cents ans d'histoire de cet art de l'éphémère, qui ne dure qu'une vie, dont les codes d'hier inspirent ceux d'aujourd'hui. Elle interroge notre regard sur l'engagement que demande une telle démarche et sur l'identité sociale des personnes qui marquent leur corps.
En 1804 parai^t a` Edo, sous les signatures prestigieuses du peintre Utamaro et de l'e´crivain Jippensha Ikku, un magnifique album de gravures polychromes consacre´ au ce´le`bre quartier des plaisirs du Yoshiwara. Cet Almanach des maisons vertes illustre, en une vingtaine d'estampes aux de´licates couleurs, les us et coutumes de ce quartier re´serve´. Cette description artistique et litte´raire, teinte´e d'humour, des splendeurs de la vie des courtisanes d'Edo, connai^t un succe`s retentissant. En France, l'ouvrage est rendu ce´le`bre par Edmond de Goncourt.
Sont reproduites en fac-simile´ les estampes originales d'Utamaro. La traduction inte´grale du texte de Jippensha Ikku et un commentaire approfondi les accompagnent.
Ce nouveau volume des "Classiques en images" propose de renouer avec la tradition du poème court japonais à travers une sélection de 60 haïkus exclusivement consacrés au monde culinaire.
Ce recueil célèbre avec poésie et raffinement le rapport entretenu avec la nourriture, la boisson, les sensations que procurent le fait de préparer le repas, de boire le saké, de couper un poisson. Il montre que ces manières de boire et de manger relèvent tout autant du nécessaire que du spirituel.
Parmi les auteurs, nous retrouvons : Bashô, Kazué Asakura, Buson, Yûji, Masajo Suzuki, Kikaku, Teijo Nakamura, Takako Hashimoto, Chora...
Ces haïkus sont illustrés par des estampes d'artistes des XVIIIe et XIXe siècles comme Utagawa Kunisada, Kitagawa Utamaro, Torii Kiyonaga, Utagawa Hiroshige...
Un panorama inédit, de A à Z, de l'oeuvre de 300 artistes modernes et contemporains, nés ou installés sur le continent africain.
Ces dernières années, la scène artistique africaine, en plein essor, a attiré l'attention du monde entier avec un nombre croissant d'expositions internationales et une présence conséquente sur le marché mondial de l'art.
Voici, pour la première fois, le panorama le plus complet à ce jour de l'oeuvre de 300 artistes modernes et contemporains, nés ou installés en Afrique. Réalisé en collaboration avec un panel d'experts, ce volume s'appuie sur le succès du best-seller 400 Femmes artistes pour écrire une version plus exhaustive et diversifiée de l'histoire de l'art.
Nouvelle version reliée avec couverture en simili soie et rubans, pages intérieures en papier de riz.
Le Pont Nihonbashi, le Mont Fuji, et la nature toujours présente, les jeux de lumière et de transparence à travers les sudare, le théâtre Kabuki, les courtisanes des maisons vertes, les visages et le miroir... autant de thèmes qui sont source d'inspiration permanente pour les artistes de l'Ukiyo-e, à travers les siècles.
Suivant une trame historique de la fin du xviie siècle jusqu'à nos jours, Nelly Delay explique la permanence de ces thèmes dans l'art de l'estampe. Elle décrit le contexte historique, culturel et social dans lequel cet art a vu le jour et évolué au cours des siècles et montre combien il est profondément ancré dans la civilisation japonaise.
Elle explique les origines de l'estampe et la voie que des audacieux comme Moronobu et Kiyonobu ont suivie en réalisant les premiers bois pour des tirages exécutés en noir et blanc. Elle montre comment les artistes du xviiie siècle et leurs estampes de brocart - et parmi eux Harunobu, qui eut le premier l'idée d'utiliser toutes les possibilités de la couleur - permirent à l'Ukiyo-e d'accéder par la suite à un véritable âge d'or : Utamaro, éternellement inspiré par les femmes, Sharaku et les visages d'acteurs, Hokusai, le « fou du dessin », Hiroshige et la nature, Kuniyoshi et ses thèmes fantastiques, Toyharu, Shiba Kokan et bien d'autres...
Si le livre suit un plan chronologique qui s'impose sur pareil sujet, l'auteur établit toutefois des comparaisons entre artistes d'époques très différentes afin de faire percevoir l'art de l'estampe hors du temps, au-delà des oeuvres et des écoles. L'originalité et l'abondance de l'iconographie, la richesse des informations rassemblées au fil des chapitres et la diversité des thèmes abordés font de ce livre, très illustré et vivant, un précieux guide du Japon traditionnel. Le style adopté le rend accessible à un large public alors que l'importance des annexes - où sont présentés notamment les étapes de fabrication, les cachets de censeurs et d'éditeurs, les signatures des artistes, les formats, les techniques et les couleurs - en fait un outil scientifique appréciable par les spécialistes, les collectionneurs et les amateurs avertis.
Devant les productions artistiques du monde indien, le spectateur occidental hésite bien souvent entre fascination et incompréhension. Dérouté par une iconographie qui lui échappe et un sentiment d'exubérance, il estime qu'il ne dispose pas des codes nécessaires pour l'apprécier. L'objectif de cet ouvrage est de donner des clés de lecture afin de faciliter l'appréhension globale de cette production iconographique et architecturale.
Grâce à ses 150 illustrations en couleurs et aux nombreuses sources textuelles citées, l'ouvrage de Vincent Lefèvre permet d'entrer au coeur du génie de l'art indien, de comprendre comment celui-ci est conçu, produit et appréhendé, d'analyser ses relations avec les productions artistiques d'autres régions du monde et de décrire ses réalisations. Au fil des pages se dessine un art non de l'explicite mais de la suggestion, qui convoque à chaque instant l'imagination du spectateur.
Ce carnet thématique de Notes & Lectures présente des illustrations de 1894 tirées des deux tomes des Fables de Jean de La Fontaine coordonnés par Pierre Barboutau (1862-1916), éditeur, collectionneur et fin connaisseur du Japon où il séjourne régulièrement entre 1886 et 1913. Pour ce faire, « Pieru Barubuto » a réuni la fine fleur de l'estampe tokyoïte : Kajita Hanko (1870-1919), Kanô Tomonobu (1843-1912), Okakura Shûsui (1868-1950), Kawanabe Kyôsui (1868-1935), fille du successeur de Hokusai, et Eda Sadahiko (?). Les 28 fables animales qu'ils ont eux-mêmes choisies sont adaptées à la réalité locale (paysages, guerriers, marchands, dieux shintô) et réalisées selon la technique de l'ukiyo-e (images du monde flottant), peinture populaire et narrative qui connaît un grand succès en Occident.
40 miniatures indiennes d'une éblouissante beauté, sélectionnées pour leur harmonie esthétique autant que la puissance d'évocation des sujets, invitent à la méditation et à la contemplation picturale.
Ces oeuvres, superbement reproduites, restituent tout le raffinement et la portée mystique de l'art indien.
Ce livre rassemble quarante miniatures indiennes du XVIIe au XIXe siècle, proposant ainsi une découverte de l'art indien dans une diversité de sujets et de styles (école moghole, ateliers rajputs...).
Portraits, scènes de guerre, planches de botaniques, dessins d'architecture ou illustration de textes littéraires figurent parmi les thématiques privilégiées des miniaturistes. La dimension spirituelle imprègne l'ensemble du corpus à travers la représentation de sages, de méditants, de divinités ou encore de personnages en proie au sentiment amoureux.
La flamboyance des couleurs et des ors, la délicatesse des traits, l'expressivité des personnages offrent un voyage au coeur d'une civilisation imprégnée de spiritualité et de sagesse.
Au XVe siècle, lorsque les Espagnols découvrent les Hautes Terres du Guatemala ou la péninsule du Yucatàn, il y a déjà près de sept siècles que s'est éteinte la splendeur classique maya. Les cités, en ruines, dévorées par la forêt tropicale, ne seront redécouvertes qu'à partir du XIXe siècle. Au-delà du cliché d'un empire dont le peuple, tantôt laborieux et pacifique, tantôt cruel et sacrificateur, se serait consacré à la seule contemplation des astres, Paul Gendrop fait le point des connaissances sur cette grande civilisation mésoaméricaine.
LE LIVREL'ouvrage, qui offre une analyse comple te et approfondie de l'art de l'ico ne, est construit autour de trois axes principaux.
II rend d'abord compte des qualite s artistiques des plus belles ico nes exe cute es entre le VIe et le XVe sie cle et conserve es dans le monde entier, la prise de Constantinople en 1453 marquant un tournant a partir duquel fleurit pendant encore quatre sie cles, voire jusqu'a nos jours, l'art postbyzantin. Le deuxie me axe concerne ce que l'on a appele « la the ologie de l'ico ne ». Il e tait en effet ne cessaire de prendre en compte l'influence qu'ont exerce les textes des Pe res de l'E glise (IVe sie cle) sur l'e laboration de l'esthe tique de l'ico ne, et de relier son iconographie aux e vangiles, prie res et chants liturgiques, ainsi qu'aux commentaires des the ologiens. Pour comprendre l'extraordinaire rayonnement de l'ico ne, il est e galement indispensable de savoir en quoi elle diffe re des autres cate gories d'oeuvres d'art. S'il s'agit d'un objet sacre , l'ico ne est aussi un objet du culte. Elle exige des pre tres et des fide les un ensemble de marques de ve ne ration. En somme, l'ico ne e tait e galement un phe nome ne de socie te qui avait une fonction pre cise dans les ce re monies de la cour, les sie ges et les batailles. Mais l'image mobile byzantine signifiait avant tout la pre sence du repre sente , parce qu'elle e tait cense e recevoir les « e nergies » de celui ou celle qu'elle figurait. De cette fac on l'ico ne devenait un interme diaire entre le ciel et le monde des hommes. Enfin, le troisie me axe de l'ouvrage s'attache a e tudier l'e volution du style et de l'iconographie de l'ico ne au cours des sie cles.
Avec Yuki, petit japonais, les poèmes haïkus du célèbre poète Kobayashi Issa et les mignons animaux dessinés par Manda partez à la découverte des saisons du Japon !
Un magnifique album pour rêver, voyager et découvrir la poésie japonaise avant de s'endormir.
Ce volume présente et décrit par la voix d'experts seize masques africains issus de la collection de Leinuo Zhang, jeune collectionneur chinois passionné d'art. Bien que les oeuvres d'art dont il aime à s'entourer ne soient pas seulement extra-européennes, comme le souligne le texte de Marco Riccòmini qui trace un cadre plus large où inscrire les choix esthétiques de Zhang, c'est aux objets de la culture matérielle africaine qu'est dédié cet ouvrage élégant et attentif aux détails. Les masques, dont chacun est illustré de deux photographies au moins, font l'objet de brefs textes permettant au lecteur, qu'il soit un spécialiste ou un passionné d'art, d'approfondir sa connaissance de véritables chefs-d'oeuvre africains dont la plupart ont suivi un itinéraire d'exception qui les a conduits dans des collections internationales d'art extra-européen parmi les plus significatives.
Un état des lieux du marché de l'art africain : le plus pernicieux des marchés, et le plus symbolique des destructions que subissent les pays du Sud.
Plus 1 000 estampes, plus de 150 livres illustrés et albums, plus de 7 000 pages de son journal illustré et plus de 50 000 peintures et dessins. Et ce sont les animaux qui occupent une place de choix : il y a des chats qui dansent, des grenouilles acrobates, des renards furtifs et cruels qui vont à la noce, des gibbons, des crevettes, des dorades...Tous les animaux de la Création sont là ! Certains sont croqués sur le vif, d'autres métamorphosés en animaux fantastiques, puis en démons. Une vraie fête des animaux ! Un bestiaire qui vagabonde et processionne parfois dans un monde qui nous rappelle celui de Jérôme Bosch.
Il y a de la virtuosité chez ce peintre excentrique et insolent qui sait se faire caricaturiste chaque fois que lui prend l'envie iconoclaste de se moquer de notre monde.
Geneviève Aitken et Marianne Delafond ont établi avec précision le catalogue de l'exceptionnelle collection d'estampes japonaises réunie par Claude Monet et conservée à Giverny. Voici une nouvelle édition exhaustive et enrichie de cet ouvrage qui est un précieux témoignage du goût et de la passion de l'artiste pour le style ukiyo-e, ces "images d'un monde flottant" qui semble être la parfaite définition de l'impressionnisme et des ultimes peintures des Nymphéas...
Notre-Dame de Paris est le livre officiel du diocèse de Paris pour les 850 ans de Notre Dame. Il est le livre le plus complet et le mieux illustré parmi les livres parus sur Notre-Dame. Ses auteurs sont les plus éminents spécialistes de la cathédrale parisienne.
- Cet ouvrage est une coédition LA NUÉE BLEUE / PLACE DES VICTOIRES, dans la collection à succès La Grâce d'une Cathédrale.
Notre Dame de Paris a été et reste certainement la cathédrale la plus célèbre du monde.
De Saint-Denis, premier évêque de Paris, à l'abbé Suger qui l'a bâtie au XIIe siècle, jusqu'aux cardinaux Lustiger et Vingt-Trois, les prélats à qui elle a été confiée ont marqué l'histoire de l'Église et de la Cité.
Notre-Dame de Paris se distingue par son architecture structurée et les masses équilibrées de sa façade.
Mais la cathédrale parisienne est également connue pour son spendide choeur baroque, la délicatesse de ses sculptures et la luxuriance de ses vitraux.
Projet dirigé par le cardinal Mgr André Vingt-Trois, Notre-Dame de Paris est un livre exceptionnel d'art, d'histoire et de foi, qui présente la somme des connaissances actuelles sur Notre-Dame de Paris.
- Rédigé par 50 auteurs : historiens, historiens de l'art, théologiens, architectes...
- Un livre monumental : 4 kg, 500 pages, 600 illustrations.
Depuis plusieurs années, après une vie de biologiste, la peintre-voyageuse Stéphanie Ledoux arpente le monde pour nous donner à voir les civilisations et les ethnies les plus reculées de la planète. Équipée de son matériel à dessin, de papiers ou de carnets qu'elle trouve parfois sur les lieux de ses expéditions, elle communique avec son trait, dressant lentement, le temps dilué d'un échange fraternel, des portraits saisissants. Tissant peu à peu une cartographie de la beauté du monde, de la Colombie à la Polynésie, en passant par la Chine, le Viêt-Nam ou l'Éthiopie, Stéphanie Ledoux enchante le regard.
On se souvient du portrait de l'écrivain naturaliste Émile Zola assis parmi ses japonaiseries signé Édouard Manet et des copies méticuleuses que Van Gogh réalisa des estampes d'Hiroshige, qu'il collectionnait avec dévotion. Au XIXe siècle les pionniers du modernisme européen ne font pas mystère de leur amour pour l'art japonais. Sensuelle, libre et vibrante, l'estampe aurait été, à elle seule, à l'origine de la vague japoniste qui submergea d'abord la France, puis toute l'Europe - souvent sous la forme d'objets d'art mal compris, réduits à leur caractère «exotique», qui nourrissent alors l'art occidental.
Car l'estampe japonaise est un phénomène sans équivalent en Occident. Certaines des idées qui ont le plus vigoureusement secoué l'art moderne - dont celle, comme l'a dit Karl Marx, que «tout ce qui est solide se volatilise» - sont nées au Japon dans les premières heures du XVIIIe siècle et se sont exprimées avec une force inédite dans les oeuvres de maîtres comme Hokusai, Utamaro et Hiroshige au début du XIXe.
Ce recueil, dérivé de la monographie format XXL originale, lève le voile sur une forme d'art très appréciée mais incomprise en présentant les estampes japonaises les plus exceptionnelles dans leur contexte historique. Depuis l'essor, au XVIIe siècle, du décadent ukiyo-e, «image du monde flottant», jusqu'au déclin et à la résurgence tardive de cet art au début du XXe siècle, les reproductions rassemblées dans cette édition composent un témoignage sans égal non seulement sur un genre unique dans l'histoire de l'art, mais aussi sur l'évolution des moeurs et de la culture au Japon.
Montagnes mystiques ou cols enneigés, samouraïs en armures ou travailleuses du sexe mises en vitrine, chaque planche est abordée comme une oeuvre à part entière qui raconte les histoires et les gens qui se dessinent dans ces motifs. On découvre ainsi les quatre piliers de l'estampe - beautés, acteurs, paysages et compositions de fleurs et d'oiseaux - qui côtoient des représentations de lutteurs sumo, d'acteurs de kabuki et d'envoûtantes courtisanes, ces vedettes du «monde flottant» dont les fans inlassables favorisent la production frénétique d'estampes. On plonge aussi dans un univers plus sombre et inquiétant grâce à des estampes où des démons, spectres, mangeurs d'hommes et autres créatures imaginaires tourmentent les vivants dans des scènes saisissantes qui inspirent encore aujourd'hui le manga, le cinéma et les jeux vidéo japonais. On comprend ainsi comment ces oeuvres d'une diversité incroyable, scènes quotidiennes ou érotiques, tantôt martiales, tantôt mythologiques, ont en partage la maîtrise technique et l'oeil infaillible de leurs auteurs, ainsi que la prodigieuse ingéniosité et l'ironie avec lesquelles éditeurs et artistes se sont défendus contre la censure officielle. Fruit de trois années de travail, cette édition au format XXL rassemble des reproductions des plus belles estampes parvenues jusqu'à nous, conservées sous les voûtes des musées et dans des collections privées du monde entier - dont un grand nombre ont été photographiées à nouveau pour ce projet. Dix-sept pages dépliantes invitent à étudier les plus infimes détails, tandis que des descriptions fouillées nous guident dans cette période effervescente de l'histoire de l'art japonais.
Cette édition, qui fait partie de notre collection spéciale 40e anniversaire, rassemble les plus belles reproductions parvenues jusqu'à nous, conservées dans divers musées et collections privées de par le monde, dans un format léger, à un prix abordable et enrichi de descriptions détaillées qui nous guident à travers cette période effervescente de l'histoire de l'art japonaise.