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Beaurepaire
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Le jour où Alfred découvre une mystérieuse mallette gris métallisé remplie de billets, son sang ne fait qu'un tour :
" Je suis riche... Putain, je suis riche ! " Chaque liasse comprend vingt billets de cinq cents, il y a trois cents liasses serrées les unes aux autres.
Pour conserver cet argent, il va lui falloir être très prudent, très méfiant...
Que veut cet homme qui descend nonchalamment à la cave ? Et si c'était le propriétaire de la mallette venu pour récupérer l'argent ?
Une seule alternative pour " régler " le problème. Et après ?
Fuir pour garder cet argent " tombé du ciel ", quitte à abandonner sa femme et sa fille, quitte à faire encore bien pire.
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Tels les yeux d'un rapace à l'affût d'une proie, les yeux de Lucie venaient de saisir l'approche du médecin. L'impatiente s'élança à sa rencontre, s'engageant dans un couloir distribué de portes aussi identiques à gauche qu'à droite.
Reconnaissant madame Temenov, le patricien baissa son masque chirurgical. Le teint blême de son visage apparut creusé des traits figés d'un masque théâtral. Dans son regard se lisait la compassion.
Il confia : " C'est fini, madame. Je suis vraiment désolé. " Lucie comprit que son mari venait de mourir...
Surmontant à peine la perte de son mari, Lucie va devoir affronter rapidement un nouveau choc quand le commandant de police lui apprendra que celui-ci a été assassiné.
Mais pourquoi ? Comment ? Et surtout... par qui ?
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Les preuves de vérité ou l'épreuve de vérité
Francoise Roussillat
- Beaurepaire
- 23 Août 2012
- 9782357671478
La nuit a été glaciale. À l'aube, les arbres dénudés, épousés par le givre, craquent sous la pression du gel comme des plaintes déchirant le silence. Le soleil d'hiver se lève lentement, déploie timidement ses rayons encore endormis et réchauffe doucement la nature. Soulagés, les arbres pleurent des larmes de fonte de glace.
Un fourgon mortuaire entre doucement dans le cimetière puis stationne devant le trou béant d'un caveau.
Intrigués, quelques curieux observent ces funérailles bizarres, célébrées sans la bénédiction de monsieur le curé. Ils se tiennent à l'écart, se groupent et papotent à voix basse. Le vent est glacial. Angelina, frigorifiée, observe cette curieuse assemblée, la gorge nouée. Elle retient ses larmes et sent monter en elle la colère de l'injustice.
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Il projetait la lumière de sa torche et balayait la nuit d'un mouvement pendulaire, sans rien distinguer qui ressemblât à une route. Puis machinalement, sans rien imaginer de pire, il dirigea le faisceau lumineux vers la voiture, et de sa main libre il déblaya le capot. Puis il braqua sa lampe sur la vitre avant et eut un brusque mouvement de recul. Le sang battait ses tempes au rythme de son coeur affolé. Il aurait voulu s'enfuir, mais ses jambes ne le portaient plus.
" Non, non ", bredouillait-il, tout en s'obligeant à braquer de nouveau la torche sur la vitre, et la torche répandait sur le cadavre un mince filet de lumière blafarde.
Le jour où Jocelin tombe par hasard sur un corps gisant dans une voiture abandonnée, il est encore loin de se douter à quel point ce meurtre providentiel va lui ouvrir la porte d'une nouvelle vie.
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Le dossier était là, devant moi. Ce premier meurtre concernait un pauvre homme d'origine espagnole qui avait été éventré puis suspendu au garde-corps du balcon de sa mezzanine, et on avait retrouvé sur le mur de son salon, au-dessus de sa télévision dernier cri, ces inscriptions: «La vie a plus d'imagination que n'en portent nos rêves», écrites avec son propre sang, citation du réalisateur Ridley Scott dans son film sur Christophe Colomb 1492, Conquest of Paradise.
Je commençais à réfléchir au sujet de cette inscription d'origine cinématographique, qui avait valu à notre psychopathe le surnom de «L'artiste», et il était clair pour moi que le tueur nous faisait son propre film, dont il était la vedette.
Cette théorie allait-elle finir par se confirmer?
Je n'allais pas tarder à le découvrir... -
Après trois années passées en région parisienne, Frank, jeune gardien de la paix, est muté à Annecy, fief de la Haute-Savoie, ville touristique et magnifique, coeur des amoureux.
Alors qu'il vient tout juste de prendre ses fonctions, il est témoin du braquage d'un bureau de tabac. Pourtant, il n'intervient pas. Il n'a même pas le réflexe d'appeler le Service pour avertir ses collègues.
Erreur de jeunesse, manque de maturité ? A-t-il eu peur ? Il ne peut l'expliquer.
Toujours est-il que Frank a honte de son comportement. Que diraient ses collègues s'ils savaient qu'il était sur place et qu'il n'a rien fait ?
Par la suite, il fera son travail du mieux possible - et plutôt bien, d'ailleurs -, mais toujours avec dans son âme cette cicatrice.
Jusqu'au jour où...
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Jeanne remettait un peu d'ordre dans le tumulte des casseroles et autre vaisselle quand Sanias, qui s'occupait des canards et des poules, entendit le téléphone. Une prémonition vint ébranler la quiétude du vieux flic qui eut l'impression d'entendre une sonnerie d'alerte prévenir d'un évènement grave, alors qu'il était si bien.
Jeanne se mit à crier dans la cour de la ferme, avec une voix de panique, que son mari rattacha immédiatement au coup de fil, porteur sûrement d'une sale nouvelle.
" Myriam vient d'appeler, Émilie n'est pas rentrée du collège. Elle est recherchée depuis sa sortie de classe à midi. " Sanias comprit tout de suite que le problème était sérieux. la petite Émilie avait toujours été ponctuelle dans ses trajets scolaires.
L'ancien commissaire allait devoir sortir de sa retraite.
Sa conviction : éviter de façon impérative la récidive.
Il appliquera sa loi qui deviendra très dure : " DURA LEX "
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Le directeur de l'école de gendarmerie estimant que la nouvelle génération de cadres a un peu trop de prétention (s'imaginant tout résoudre grâce aux nouvelles technologies) demande au fameux lieutenant Noirot de conter à ses bleus une affaire qui leur fera comprendre que dans la vie rien n'est acquis. bien au contraire.
Noirot s'exécute et se lance dans son récit...
Tout a commencé par un curieux appel téléphonique au commissariat du 36 quai des Orfèvres. L'appelant demande une rançon insignifiante afin de libérer madame Irène Dulac, une femme ordinaire et désargentée. Chose étrange, son mari se trouve à ce moment dans les locaux de la police judiciaire de Paris. La coïncidence est déjà bizarre, mais le commissaire Malgrais en charge de l'affaire n'est pas au bout de ses peines.
C'est que le ravisseur semble connaître personnellement les policiers du 36 quai des Orfèvres !
De surprise en surprise, découvrez qui, des malfaiteurs rusés ou des policiers pris en tenaille, aura le dernier mot en lisant le Rapt inédit.
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Roland Ariel-Sachs, homme politique lyonnais mais aussi tout-puissant directeur général du Fonds monétaire de secours est accusé de viol lors d'une réunion du G20 se tenant dans un grand hôtel de Hua Hin, station balnéaire huppée du golfe de Siam.
Le ministère de l'Intérieur charge le divisionnaire Garon d'une enquête discrète : Ariel-Sachs est-il le pervers que décrit la presse ou s'agit-il au contraire d'une lointaine et diabolique machination ? Alors que l'adversaire autoproclamé du président Balkücy semble se désintégrer en vol et que l'euro est attaqué, l'Élysée et la place Beauvau tentent de circonscrire l'incendie.
Par tous les moyens....
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Confortablement installée dans son cottage à Pevensey au sud de l'Angleterre, attendant le retour de son compagnon Mark, navigateur, Carole pense terminer la rédaction de son roman policier, mais l'inspiration lui manque. C'est alors qu'une petite fenêtre s'ouvre sur son écran d'ordinateur et lui indique la marche à suivre pour se connecter à un site de rencontres ; cela tombe bien, elle souhaitait se documenter sur ce sujet pour écrire la suite de son livre. Elle y fait alors la connaissance d'un certain " Motbleu ", personnage tendre, romantique et très cultivé avec qui elle commence à échanger une correspondance virtuelle.
Jusqu'au jour où tous les fichiers de l'ordinateur de Carole sont mystérieusement effacés, et quand celui-ci daigne enfin redémarrer, un surprenant message apparaît sur l'écran :
" Tu aurais pu être ma reine, j'aurais été ton roi ou ton valet selon tes désirs, mais c'est trop tard. " Comment Carole aurait-elle pu imaginer qu'à partir de cet instant sa vie allait plonger au coeur d'un mystère effrayant ?
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Une bolée de cidre chaud avec de la cannelle ; énigme à Kemper-Korentin
Suzanne Guerrot
- Beaurepaire
- 8 Février 2012
- 9782357671263
Élise interrompit sa lecture et posa sur ses genoux le roman aux pages cornées et salies qu'elle venait de trouver sur le siège du train qui la conduisait vers Bordeaux. Elle devait y faire la connaissance d'un mystérieux correspondant à la voix chaleureuse qui depuis quelques jours insistait au téléphone pour la rencontrer près de la cathédrale à 12 h. Elle se demandait avec une angoisse mêlée de griserie dans quelle folle aventure elle se lançait encore une fois, sans avoir pris la précaution d'avertir qui que ce fût de son départ précipité.
Mais qui est cet homme si élégant ?
Et qu'a-t-il de tellement important à lui proposer ?
Quel mystère cache donc ce croquis de tableau qu'Élise a reproduit sur l'un de ses vitraux ?
Suivez à nouveau Élise dans une trépidante enquête au coeur du monde de l'art, où le mystère demeure entier jusqu'au bout.
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Le commissaire divisionnaire Garon dirige la brigade des affaires générales de Lyon, brigade un peu particulière chargée des dossiers mettant en cause des personnalités en vue. Suivez-le pataugeant dans la fange peu ragoûtante des affaires dites « spéciales » et plongeant dans les marigots souvent inavouables de la politique et de la finance.
Le directeur général d'une banque lyonnaise est retrouvé abattu dans son bureau, place Bellecour, trois balles au niveau du plexus dessinant un triangle parfait. L'enquête s'annonçant immédiatement comme « sensible » est alors confiée au commissaire Garon ; initiée à Lyon, elle le conduira bien loin de nos frontières, jusqu'à Hong Kong et Macao.
Meurtre sur contrat, chantage, trafics ignobles. Rien ne sera épargné au commissaire Garon qui découvrira progressivement la face noire de personnages pourtant au-dessus de tout soupçon.
L'auteur, SAINT-LUC, connaît bien le microcosme des cabinets ministériels - pour les avoir fréquentés sous Giscard - et le monde politique dans lequel il a exercé diverses responsabilités, avant de mener une carrière au sein de charges d'agents de change et de banques.
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Wisques, près de Saint-Omer. Cette petite commune du Pas-de-Calais connue pour ses deux abbayes va être le théâtre, en cette nuit sombre et pluvieuse de novembre, d'un étrange accident de la circulation. La découverte du corps - un homme entièrement dénudé et de toute évidence victime de sévices sexuels - va entraîner le commissaire Lefort, non pas dans une enquête de routine mais dans une sombre aventure où violences, meurtres, sexe et religion vont s'entremêler de façon surprenante.
Le commissaire Lefort, épaulé par le capitaine Morel, parviendra-t-il à percer le mystère des deux abbayes ?
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La mort de Patrice Warth, ancien ministre, ex-trésorier de l'Union des conservateurs de progrès, sème la panique dans le landerneau politique : sa veuve allègue détenir des cahiers compromettants et menace de les rendre publics si toute la lumière n'est pas faite sur la disparition de son mari.
L'enquête de Garon le mènera de Lyon à Chantilly, en passant par Cannes et Genève, sur fond de guerre impitoyable des " services ", de mafieux sans état d'âme et d'hommes politiques aux abois.
L'auteur, SAINT-LUC, connaît bien le microcosme des cabinets ministériels - pour les avoir fréquentés sous Giscard - et le monde politique dans lequel il a exercé diverses responsabilités, avant de mener une carrière au sein de charges d'agents de change et de banques.
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Un projet d'incinération de déchets.
Une association de médecins en lutte contre un tel projet.
Un préfet qui finit par donner son feu vert.
Des agressions et - encore plus graves - des meurtres.
Voici une enquête bien délicate à mener pour le commissaire Lefort, au sein d'une petite ville habituellement si tranquille.
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Si le lieutenant Noirot avait pu prévoir les retombées de sa virée nocturne un peu trop arrosée, pour sûr, il serait resté tranquillement vautré devant sa télévision.
Et quand, à l'aube de ce dimanche d'automne, une sonnerie intempestive le sortit de sa torpeur éthylique, il eut les pires difficultés pour comprendre ce qui se passait. Un gendarme l'avisait qu'un promeneur de chien venait de découvrir à côté de la salle polyvalente où se déroulait le Salon du livre consacré cette année au roman policier, le corps d'une femme étranglée.
Noirot, souffrant de tous les maux qu'occasionne la gueule de bois se doutait bien que cette journée serait pour lui un vrai cauchemar. Il n'avait pas tort.
Rapidement, il suspecta que le coupable de cet assassinat sordide ne pouvait être qu'un des participants au Salon du livre. Si sa théorie était la bonne, il se trouvait donc confronté à un auteur de polars qui avait, de fait, comme passion la mort violente et prenait un malin plaisir à la décrire dans ses énigmes.
Les gendarmes devaient procéder par élimination et avec une très grande vigilance. En effet, aucun des suspects ne manquait d'imagination pour perpétrer ses crimes, et tous connaissaient les ficelles pour entraver une enquête.
L'affaire était diablement compliquée.
Malgré ses douleurs et ses maux de tête, Noirot ne pouvait accepter qu'un coupable reste en liberté.
Dans son état déplorable, aidé de Sébastien Dupré et de l'adjudant Chevallier, aurait-il suffisamment les sens en éveil pour démasquer le coupable ?
Lisez « Cauchemar au Salon du livre » et vous le saurez.
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Les chaussettes en mohair ; énigme à Serpi-le-Vieil
Suzanne Guerrot
- Beaurepaire
- 9 Novembre 2009
- 9782357670303
Quelle étrangeté que Lasturiau, notaire parisien, ait tout plaqué, y compris femme et enfants, pour venir faire le berger et élever des chèvres angoras à Serpi-le-Vieil, petit village du sud-ouest blotti au pied des montagnes !
Encore plus étrange, plus tard, la découverte du cadavre de l'ancien notaire, le visage mutilé, visiblement par de sauvages coups de griffes.
Une partie de la population a alors vite fait d'accuser Zifta, l'ourse récemment réintroduite dans cette région des Pyrénées.
Le sang d'Élise ne fait qu'un tour. C'était trop facile de tout mettre sur le dos de l'ours. Que disait la police ? Il fallait absolument qu'elle en sache davantage.
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Une complicité absolue lie Clément à Timimi. Leurs rencontres rythment un quotidien sans surprises jusqu'au jour où Fara, un inspecteur de police acharné, fait irruption dans leur vie en soupçonnant Clément d'un meurtre.
Bien décidé à se disculper, l'intrépide sexagénaire se lance dans une enquête périlleuse semée d'embûches, de rencontres et de découvertes.
Ce roman est aussi une réflexion sur le thème de l'amitié : Timimi semble bien connaître ce mot amitié. L'homme, lui, préfère souvent rivalité... Sa foi aveugle dans ses lois de compétitivité, et en un Dieu dont il ignore tout, justifie ses crimes et le massacre de la planète.
Où nous conduira l' "intelligence" de l'homme ? Vers la mort de tous ?
Qui sera le plus fort ? Comme dans cette histoire, la victoire finale ira-t-elle au Crime, ou à l'Amitié ?
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Pour André Le Gall, pêcheur de son état, la journée avait très mal commencé et ne se poursuivra guère mieux...
Eh oui ! Ce jour-là, sur sa coque de noix, il pêchera. un macchabée !
Cet événement extraordinaire dans sa vie calme et solitaire ne sera que le début d'une longue série de rencontres et d'aventures. Il trouvera un souffle de liberté et l'amitié avec Michel Ferrière et Juan Augusto Dominguez, un couple volcanique de journalistes d'investigation.
Sur le port d'Erquy, tous, à l'exemple de Michel, de Juan et de l'élégant adjudant-chef de gendarmerie Durandal, vont se sentir une âme de détective, des pêcheurs en passant par les patrons de bistrots.
André Le Gall, par sa connaissance du terrain, des moeurs locales, sa pratique de la mer et son bon sens, participera activement à cette enquête, le résultat allant même au-delà de toutes les espérances.
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Gabriel Brady est un tueur à gages amateur d'écriture. Son outil de prédilection : le couteau... sous ses différents modèles. Ses cibles naviguent dans la sphère politico-financière.
Il veut raccrocher après une dernière mission lucrative, mais ce qu'il ignore, c'est qu'un piège machiavélique lui est tendu...
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Les organisateurs de la course cycliste de Laval ont de quoi être satisfaits : cent soixante coureurs sont inscrits, venus des différents clubs de Bretagne, et parmi eux les cyclistes les plus en vue déjà repérés au niveau national. Le parcours est assez sévère, avec quelques côtes qui permettront aux plus affûtés de faire valoir leurs capacités. C'est finalement Nicolas qui remporte la victoire, renforçant encore la bonne image du club de Fougères.
Mais une heure trente après la course, alors que tous les coureurs et les organisateurs se sont regroupés, il faut bien se rendre à l'évidence : le porteur du dossard 101 a disparu. Il sera finalement retrouvé mort, assassiné...
Est-ce un règlement de comptes entre cyclistes ? Une affaire de dopage ou de finances pas claire ?
Patricia, jeune commissaire, va devoir mener l'enquête dans le milieu de la petite reine dont elle ignore tout.
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On vient de découvrir, gisant dans son sang, au pied d'un piano, le cadavre d'un vieil homme. Visiblement, son appartement a été fouillé, des papiers jonchent le sol, provenant de tiroirs qui ont été vidés de leur contenu. Il a reçu un coup de couteau dans le coeur et son corps a été lacéré de toutes parts.
Détail troublant : l'assassin lui a coupé un doigt...
Cela a-t-il un rapport avec le fait que la malheureuse victime est un ancien professeur de piano qui a enseigné pendant de nombreuses années au Conservatoire . Le coupable se trouve-t-il parmi ses anciens élèves ou collègues ?
L'enquête va être confiée au commissaire Guérac. Celui-ci - qui n'en est pas à sa première affaire difficile et qui donc " connaît bien la musique " - va devoir faire preuve de beaucoup de perspicacité pour découvrir le coupable.