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En ce 1er mai, l'inspecteur Manuel El Gordo ne décolère pas d'avoir manqué la corrida du siècle. Pourtant, avec le recul, il aurait préféré qu'elle n'ait jamais eu lieu...
De Cordoue à Madrid en passant par Barcelone, San Sebastian et Bilbao, il va poursuivre un tueur en série très inspiré par les rites tauromachiques.
C'est dans l'univers codifié de l'art taurin contemporain que le flic anticonformiste va devoir affronter un monstre en quête d'absolu...
Après des études de linguistique, Frédéric Bertin-Denis enseigne le français en Corée du Sud, puis revient en France pour travailler dans un lycée professionnel. De nombreux voyages à travers le monde lui ont donné la curiosité des êtres humains, de leur singularité, mais aussi de leur universalité.
Depuis une dizaine d'années, il partage son temps entre la France et l'Espagne. Il s'intéresse à l'histoire et aux traditions de ce pays en pleine mutation depuis la mort de Franco, trouvant là une source inépuisable d'inspiration.
Une autre de ses passions est la littérature policière. De grands maîtres classiques du genre tels Hammet, Chandler, Himes... et des auteurs plus récents tels Connelly, Lehane, Ellroy, Jonquet, Fajardie, Daeninckx et bien d'autres, ont une place de choix dans sa bibliothèque.
Ce sont ces deux passions qui ont poussé Frédéric Bertin-Denis à se lancer dans l'écriture de son premier roman : Matador.
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Mina et sa soeur jumelle ont choisi un parcours de vie que tout oppose. Pour la première, la réussite sociale était le fondement d'une vie accomplie ; pour la seconde, les joies simples d'une vie de famille. Mais un problème de santé sérieux viendra bouleverser tout ce en quoi Mina croyait. Partie sur le Nouveau Continent où elle devient une architecte reconnue, ses pas la ramèneront vers ses racines tel un retour aux sources de son être intime. Et si tout cela avait été orchestré pour la conduire vers son destin ?
Un destin qui donnera tout son sens à sa vie et un sens spirituel à l'humanité. Avec pour toile de fond le majestueux décor des Pyrénées de la Catalogne du Nord, elle se lancera dans la quête de la vérité sur la mort mystérieuse d'une jeune fille au siècle dernier. Mina découvrira qu'il existe des passerelles dans le temps. Elle se retrouvera plongée à son corps défendant dans une enquête aussi palpitante qu'effrayante. Mais au terme de sa " Mission ", le voile qui obscurcissait son esprit sera levé. Elle trouvera le véritable amour, celui d'un homme mais aussi celui de soi et des autres. Ainsi que sa raison d'être et de croire que la vie est un formidable voyage initiatique de ce qui en est l'essence fondamentale, l'âme.
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Le client est venu. C'est déjà ça.
Thomas se décide à aller lui parler pour lui faire ses dernières recommandations. Jérémy a mis un pantalon vert à carreaux et une veste de costume bleue à rayures. À gerber. Il a même pensé à la pochette blanche pour faire élégant et compléter sa tenue et Thomas n'en revient pas : Mais... mais putain... c'est pas possible... ta pochette c'est une feuille d'essuie-mains... je meurs... pas croyable ! Garde-la, ça va émouvoir le Tribunal, fais la sortir plus pour qu'on la voit bien. Génial ! T'es une vedette. Comme revigoré, l'avocat sent l'énergie lui revenir et, sans mentir, s'il devait plaider à cet instant il péterait tout. Mais l'audience dure et son dossier tarde à être appelé. La motivation repart et la tension artérielle monte. Il sent que sa poitrine et sa tête se resserrent.
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" À la vue de Debbie, la psychologue de l'unité, au milieu des hommes en blanc de l'unité scientifique, il comprit qu'il s'agissait de quelque chose de différent.
- Qu'y a-t-il de si particulier pour qu'ils vous aient dérangée si vite ?
- Regardez par vous-même. Ils m'ont tirée de mon lit il y a une bonne demi-heure, et franchement, le spectacle est déroutant.
- C'est quoi cette mise en scène ? fit-il stupéfait.
- La signature de notre assassin semble-t-il.
- Vous y comprenez quelque chose ?
- Non. " Vénus et tous ses symboles plongés au coeur d'un délire criminel. L'inspecteur Robert Donald et son associée Debbie, la psychologue, auront bien du mal à en dénouer tous les éléments et détails.
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Au moment précis où je dis ces mots, je saisis le volant à deux mains et tire vers moi de toutes mes forces.
Je ne peux même pas dire que j'ai réfléchi à ce que je faisais à ce moment-là : c'était comme une force irrésistible qui jetait mes mains au-dessus des siennes pour envoyer sa voiture dans le ravin.
Je ne pense pas un seul instant au péril que je cours moi-même. Sauveur n'a pas le temps de réagir car nous sommes en bordure de la route et les roues partent immédiatement dans le vide. Ma portière s'ouvre sur des bouquets de romarin et de gentiane sortant des cailloux du ravin. Cela sent si bon. Je vois la tête de Sauveur aller dans tous les sens avec sa voiture qui roule dans la caillasse en faisant des nuages de poussière blanche. Cela semble durer longtemps et moi, les fesses et les bras meurtris, je respire les parfums de Provence en regardant mon père dévaler la pente au volant de sa grosse voiture.
Tout à coup, un soleil d'essence et d'huile explose dans le vallon. Les fauteuils de cuir et les chairs de Sauveur se mettent à crépiter dans le même feu. Il ne hurle pas comme il le devrait dans les flammes. Il doit être déjà mort. J'aurais pourtant voulu.
Comme un papillon sans ailes.
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Entre un amour passionnel et incompris, des affaires de drogues, des meurtres s'interposeront dans une ville des plus calme du "92". Mensonges, et complots régneront au sien d'une famille pourtant unie ! Une affaire des plus compliquée à élucider. Pourtant toutes les pièces du puzzle se trouvent devant les autorités...
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Ni un reportage, ni un polar, seulement des enquêtes criminelles réelles réalisées sur tout l'Hexagone et sur le plan international, avec les critères suivants : un esprit d'équipe ; une cohésion d'hommes, de femmes, d'experts, de magistrats, de spécialistes de la médecine ; du judiciaire, sans fard, concrétisé par le sens inné de l'intuition ; de la psychologie ; de la perspicacité ; tout ceci avec pragmatisme.
Deux commentaires : la garde à vue et l'autopsie.
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La Seine n'est pas la Tamise, le brouillard n'y est jamais aussi dense, et le fantôme de Jack l'éventreur ne s'y promène pas. Pourtant, en cette fin octobre, des meurtres par décapitation vont se succéder tout au long de ses berges. Les victimes sont des personnalités proches du monde de la police, de la justice, de la politique et de la presse. L'enquête est confiée au commandant Marchand et à son équipe. Il l'aborde avec beaucoup de prudence, car le témoin du premier homicide déclare " avoir vu s'enfuir une forme blanche, qui semblait voler au-dessus du quai, et disparaître sous l'une des voûtes du Pont-Neuf ". Cet homme, historien réputé, auteur d'ouvrages destinés au grand public, n'est-il pas victime de son imagination ? Comment un policier à l'esprit pragmatique peut-il collaborer avec les intuitions d'un écrivain ? Le passé est-il en mesure d'expliquer le présent ?
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" Helena reposa ses yeux sur la rue, il avait disparu. Elle scruta les alentours en s'attendant à le voir quelque part, mais d'un coup elle fut saisie par-derrière. Une main dans un gant de cuir froid lui fermait la bouche. Il serrait avec force et Helena sentit son coeur accélérer les battements. Peut-être qu'il ne la laisserait pas en vie, après tout. Ce qui lui sembla plus logique.
- Tu n'as rien vu, lui souffla-t-il en séparant chaque mot.
Il la lâcha, prêt à filer mais, sans réfléchir, elle ferma ses mains sur son poignet. "
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Lucette entra dans le bureau de Lalimbe pour faire le rangement qu'elle faisait depuis la veille, l'avant-veille, et ainsi de suite, depuis qu'elle était embauchée. Le travail n'était pas compliqué, il suffisait juste de remettre le bureau en ordre...
En se dirigeant vers le bureau, elle vit par terre, au coin du canapé, un pied gauche chaussé d'une chaussure à talon aiguille ; il était gainé d'un bas noir qui remontait longuement jusqu'aux deux tiers de la cuisse, puis naissaient deux fesses au galbe gracieux qui avaient mangé la fine corde du string. Elles étaient étonnement blanches...
En haut de ce corps se trouvait la tête de Gisèle reposant parmi ses cheveux blonds qui reflétaient les rayons obliques du soleil matinal pénétrant dans la pièce par la baie vitrée.
Bertier est capitaine de police à quelques mois de la retraite. Il est réveillé de bonne heure le samedi matin alors que c'est son week-end de repos pour se rendre sur les lieux d'un crime qui va lui poser beaucoup de problèmes.
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« Et alors. » murmura le jeune juif.
« Et alors je l'ai tué, et s'il est vivant aujourd'hui c'est qu'il est vraiment le Fils de ton Dieu », souffla le Romain d'une voix presque inaudible, laissant derrière lui une odeur d'oignon et un Nicodème pétrifié.
En sortant de l'estaminet, Nicodème reprit son souffle dans l'air frais de la nuit. Les trois soldats s'éloignaient dans la ruelle en gueulant. Nicodème les regarda disparaître quand soudain il ne vit briller dans un rayon de lune que deux pointes de lance portée à l'épaule par deux des légionnaires en goguette. Le dernier légionnaire, noir de poil, sorti le dernier de la taverne, avait oublié son pilum le long du mur. Nicodème tourna sur ses talons et vit la lance posée là, sur le mur, oubliée par son propriétaire. La lance qui avait tué Jésus. Il s'en empara et disparut lui aussi dans Jérusalem endormie.
C'était la mi-nuit, la dernière heure du jour de la résurrection.
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Lorsque nous avons embarqué sur ce navire de croisière, je commençais à découvrir le calme et la tranquillité que j'avais tant attendus depuis le début des examens de fin d'année. Mais j'étais loin de me douter que ces vacances allaient subitement se transformer en une incroyable histoire d'amour, de meurtre et de vengeance.
Sans le savoir, j'allais soudainement entrer au coeur même d'une aventure où le doute et les soupçons, deviendraient- hélas! - ma seule préoccupation...
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« La vengeance ne répare pas un tort, mais elle en prévient cent autres. » Proverbe arabe À quelques jours d'intervalles, en plein Paris, plusieurs hommes sont retrouvés égorgés et ligotés. Tous ont le même tatouage à l'intérieur de la cuisse. Dans la main de chacun, un bout de papier avec le nom d'un plat. Le tueur « gastronome » semble suivre un menu bien précis. Le commissaire Jeff Gallièni devra, pour les besoins de cette étrange histoire qui le mènera jusque dans le sud-est de la France, mettre la crème de son équipe sur le coup. Clémentine, Hugo et Henri participeront au festin, mais qui paiera l'addition ?
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Tous les trafics, pour illicites qu'ils soient, ont pour but l'argent rapide et facile à gagner. Erwan Palais situe l'action de L'affaire du courrier de Léon dans un pays d'Afrique subéquatoriale où un agent soviétique du KGB, grâce à une bonne couverture, s'adonne à des manigances peu louables afin d'en retirer des revenus en dollars. Malheureusement, l'objet du délit doit transiter par des courriers longs et compliqués, et le moindre grain de sable peut gripper les rouages de ce trafic.
L'affaire du courrier de Léon est basée sur un fait réel, mais selon son habitude, l'auteur superpose la fiction sur un fond d'authenticité, ce qui ajoute beaucoup à l'intrigue.
Ce nouveau roman met aux prises Léon, le Soviétique roublard et lourdaud, et la belle Zé, magnifique Peule partagée entre l'appât du gain et les sentiments qu'elle porte à Max Visa, car elle est censée le trahir jusqu'à le condamner à mort.
Comment Max Visa parviendra-t-il à écarter le piège mortel qui se referme peu à peu sur lui, tout en manouvrant pour conquérir la belle Noire aux créoles d'or ?
Erwan Palais est né en 1937 dans le midi de la France.
À sa sortie de l'école normale supérieure de l'enseignement technique, il enseigne quelques années comme professeur. Très tôt, il est chargé de missions à l'étranger et c'est en cette occasion qu'il découvre le corps, très fermé, des experts des Nations unies. L'opportunité lui est offerte d'imaginer le personnage de Max Visa pour en conter les trépidantes aventures.
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Cinq semaines après le massacre d'Oradour-sur-Glane (642 martyrs), débute, à 35 km de là, en juillet 1944, une affaire d'empoisonnements qui compte parmi les plus sordides que le XXe siècle ait connu. Et pourtant elle est passée sous silence, probablement victime de la guerre qui occupait alors les esprits.
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Une nature devenue hostile...
Même les administrateurs de Terrena n'auraient pu le prévoir. Trois ans après le premier saupoudrage de l'engrais dit " biologique ", de terribles et curieuses mutilations de bétail sont à déplorer. Est-ce dû aux engrais ? Les agriculteurs effrayés de trouver leurs bêtes sans vie, vidées de leur sang, restent frappés de stupeur. Tout indique qu'il s'agit d'un virus, jusqu'à ce que Gaëlle, la douce vétérinaire, examine le cadavre d'une chèvre. Elle y découvre des entailles au niveau des omoplates, qui lui feront penser plus tard à des traces de griffes.
La cause serait-elle due à un animal tapi dans l'ombre ? Ou n'est-ce qu'une coïncidence ?
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"L'auteur a écrit ce roman lors de ses vacances en Espagne, chez des amis. Il conçoit cette intrigue en fonction des lieux, des personnes qui vivent des événements sans les avoir recherchés. Des gens ordinaires pris tout à coup dans la tourmente. Le destin. Être au mauvais moment, au mauvais endroit.
Les Berry forment un couple comme n'importe lequel. Ils veulent tout simplement acheter une seconde résidence en Espagne. Mais ils ne s'attendent, certes pas, à avoir rendez-vous avec le destin. La merveilleuse propriété qu'ils acquièrent appartient à l'ex-ambassadeur du Châtelet. Celui-ci y vit en reclus avec son seul voisin et ami le docteur Roland Robert. La promesse de vente à peine signée, l'ambassadeur décède. Les cinq enfants « du Châtelet » arrivent pour les obsèques. Deux des frères habitent Paris, mais affirment ne pas se fréquenter. Avec leurs deux soeurs israéliennes, ils découvrent qu'ils ont un frère marocain qui serait imam. Le bien, situé dans un site enchanteur suscite immédiatement les convoitises. Deux nouveaux décès surviennent peu après. Par qui et pour quels motifs ?"
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La société américaine des années soixante-soixante-dix sert de cadre à Qui a assassiné Thomas Forsyth ?
Mais sa toile de fond n'est pas seulement la ville de New York. Rapidement, nous quittons l'Amérique pour l'Angleterre dans des turbulences émotionnelles qui s'aggravent à chaque chapitre.
Thomas Forsyth, sa famille et la gouvernante y ont vécu l'homophobie, le racisme et l'alcool. Il y a aussi un meurtre, un suicide et la présence d'un jardinier mystérieux, d'un riche chasseur, d'un garagiste et d'un hindou, et un testament de millions de livres sterling.
Le chef inspecteur de Scotland Yard Patrick Cooper a réussi à trouver l'assassin de Thomas Forsyth grâce à sa longue expérience.
L´assassin a avoué.
Pourtant, il ne peut être conduit devant la justice
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"« Elle fut si effrayée qu'elle fit un faux mouvement qui la fit basculer en arrière. Ou était-ce l'homme qui l'avait poussée? La dernière chose dont elle se souvint fut le visage de l'individu penché sur elle. N'était-ce pas qu'un vilain cauchemar? » « Un détail le frappa dès son entrée dans la pièce. L'horloge trônait juste à l'emplacement où il avait retrouvé la jeune fille sans vie quelques années auparavant » « Un violent coup sur la nuque lui fit perdre connaissance. Ce n'est que beaucoup plus tard qu'il se réveilla dans ce qu'il prit tout d'abord pour une cave, car l'obscurité était totale. Soudain, un bruit de porte qu'on ouvre et un rayon de lumière qui se dessine sur le sol » « Les travaux étaient déjà avancés lorsqu'un matin, en cassant une paroi, les ouvriers découvrirent un squelette » Dans ces nouvelles où se côtoient l'insolite et l'étrange, comme dans ses précédents romans, l'auteure introduit un peu de surnaturel et parfois une note d'humour à des situations qui ne manquent pas de piquant.
D'origine picarde, Françoise Glover a vécu plusieurs années en Angleterre où elle s'est imprégnée de l'atmosphère des romans d'Agatha Christie. Elle est actuellement enseignante en Seine-et-Marne, cadre de ses quatre romans policiers publiés avant ce recueil de nouvelles."
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"Jean Cordet était infirmier à l'hôpital Rosès jusqu'au jour où l'on retrouve son corps transpercé par un burin de maçon dans le pavillon des oiseaux, service de l'asile où sont regroupés les plus irrécupérables des aliénés mentaux. Le côté inhabituel et étrange de ce crime pousse les enquêteurs à penser la culpabilité de l'un de ces malades dont certains peuvent être très dangereux. L'inspecteur Barnulf va mener cette enquête d'autant plus complexe qu'il ne peut s'appuyer sur un quelconque témoignage des pensionnaires de ce pavillon : personnages loufoques, déstructurés, insolites ou le plus souvent étaient par les quantités de tranquillisants qu'ils absorbent quotidiennement à fortes doses. Grâce à son sens de l'observation, du recoupement et de la déduction, Barnulf parviendra à surmonter la complexité de cette énigme au dénouement hallucinant. Antoine Vialars est plus grand écrivain raté de sa génération." Pierre-Yves Roux
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Les élèves de 6° sont impatients de partir en Provence pour le traditionnel voyage D'une semaine qui va leur permettre de découvrir cette magnifique région. Tout au long de l'année, ils ont préparé les nombreuses visites et ils ont hâte de vérifier, sur le terrain, ce qu'ils ont appris dans les livres ou dans les cours de leurs professeurs. Mais voilà que, dès le premier jour, se déroulent des incidents bizarres que l'on met sur le compte de la malchance ou de la pure coïncidence. Et si c'était beaucoup plus grave que ça ? Et si les enfants étaient directement menacés ? Madame Taine, professeur de français passionnée de romans policiers et fine observatrice, va mener son enquête et elle découvrira que la haine n'a aucune limite.
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La justice, que de puissance dans un tel mot. Nous la souhaitons tous et sommes rassurés quand elle est pleinement exercée. Mais lorsque celle-ci fait défaut et que nous en sommes la victime, différents sentiments naissent en nous. C'est dans ces moments-là que nous mesurons pleinement les limites de la justice humaine, ce qui engendre en nous diverses réactions. Face à cela, certains se résignent pendant que d'autres se battent corps et âmes pour qu'elle triomphe. Puis il y a ceux qui ont définitivement perdu confiance en l'homme et en sa justice, leur seul recours reste alors à se faire justice eux-mêmes. C'est ce qu'a choisi l'ange de la mort, car tant qu'il n'aura pas mené son oeuvre à terme, il ne pourra trouver l'apaisement. Face à lui il y a cette jeune inspectrice Cyndie Land, attachée aux valeurs véhiculées par la République, confiante et sûre de la justice qu'elle défend. Pourtant l'enquête qu'elle va mener aux côtés de son collègue, Steve Mac, va l'amener à devoir pénétrer dans l'univers étrange et obscur de celui qui se fait appeler l'ange de la mort. Il lui faudra rentrer en contact avec ce meurtrier pour comprendre sa mécanique et sa façon de penser et ainsi espérer mettre fin à ses agissements. Mais voilà, face à une telle confrontation, ses convictions ne vont-elles pas être bouleversées ? Et plus important encore, pourra-t-elle sortir indemne d'une telle rencontre ? Pour découvrir les réponses à ces questions, pénétrez vous aussi, l'univers étrange de l'ange de la mort.