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En pleine nuit, une femme attend face au Panthéon, seule, un petit sac à la main. Cette femme, c'est Anna-Marie Caravelle, l'abominable, l'Affreuse Rouquine, la marginale. Lorsque, vingt-quatre ans plus tôt, Monique Bonneuil décide de prendre en charge, en secret, à l'insu du reste du monde, l'éducation de la petite Anna-Marie, fille d'un suicidé et d'une folle à lier, elle n'imagine pas encore le monstre qu'elle abrite sous son toit et que, lentement, elle fabrique. La petite fille, poussée par ses démons, hantée par son histoire, incapable de distance, tue. Elle sacrifie, règle ses comptes. Puis, elle s'en va. De toute façon, elle n'existe pas.
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Le capitaine Mattelli et son ami le lieutenant Hayoit sont affectés à la brigade criminelle de Lyon. Leur expérience d'enquêteurs n'est plus à démontrer. Face à un peintre aux méthodes particulières, leurs compétences vont, toutefois, être mises à rude épreuve ! Une série de meurtres. Un point commun : des peintures. De rebondissements en rebondissements, entrez au coeur de cette enquête dont vous ne sortirez pas indemne !
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Qu'est-ce qu'être auteur ? Choisit-on de le devenir ? Est-on auteur depuis toujours ? Dans ce cas, peut-on choisir de ne plus l'être ? Toutes ces questions hantent le narrateur de cet angoissant récit. Contraint d'errer d'hôtel en hôtel pour gagner sa vie, il se retrouve chaque soir dans une nouvelle chambre où l'attendent ses pires démons : sa solitude, sa peur d'écrire, son dégoût pour son corps. Mais une autre menace plane sur lui : des êtres étranges, malfaisants entrent dans sa chambre. Il voudrait leur échapper mais il n'y parvient pas toujours. Qui sont-ils ? De quelle folie se sont-ils échappés ? Pourquoi l'obligent-ils toujours à écrire ? Jusqu'où irontils ? Le narrateur le sait : « On meurt d'écrire ou l'on meurt de refuser d'écrire. Quoi que l'on fasse, l'écriture finit par tuer sa proie. »
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Le 14 juillet 1919, alors que Paris fête sa victoire et célèbre la fin de quatre années de cauchemar, on découvre le cadavre d'un jeune Sammy dans un hôtel borgne du 14e arrondissement. L'enquête s'avère délicate au milieu des susceptibilités diplomatiques entre alliés. Les soupçons se portent sur un jeune noir, aide de camp de la victime, et qui a pris la fuite. Le commissaire Moulin, aidé d'un célèbre journaliste de faits divers, Émile Laplume, parviendra à dénouer cette sombre histoire qui plonge ses racines dans l'affairisme et les spéculations des profiteurs de guerre.
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Dan est en fuite. L'arnaque dans laquelle il s'est embringué a mal tourné. Il vient chercher une planque sur un îlot à quelques centaines de mètres de la côte, au sud du Finistère. Seul, il subit les jours dans un confort rude et une attente incertaine. Il se rappelle et s'interroge. Sur son existence. Sur ses échecs. Amitié et amour. Un soir, dans un bar, le passé a refait surface. Il les a retrouvés. Mau, son ex-meilleur ami, Gwenn, son ex tout court. Ils avaient disparu ensemble, le laissant humilié et blessé. Qu'en reste-il ? Qui a trahi qui ? Leur retour c'est le début de ces emmerdes. Leur issue définitive aussi peut-être.
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¿Dominique avait toujours été un très gentil garçon¿. C¿est ainsi que débute ce roman, certes. Mais dites-moi pourquoi une personne si agréable s¿est-elle mise à tuer. Et après le meurtre zéro comme en médecine il y a le patient zéro, pourquoi se lancer dans cette folle errance ? N¿eut-il pas été plus simple, en parlant de folie, de la plaider, justement ? Oui mais voilà, c¿est tellement facile, d¿expliquer l¿incongru en invoquant le déraillement de la raison. Alors que dans ce roman, personne n¿a toute sa raison et surtout personne n¿a raison. Il n¿y a qu¿à voir comment les gens s¿appellent. Et au terme de cette histoire qui se déroule sur une semaine seulement, Dominique le gentil coiffeur pour dames, celui-là même qui faisait des footings de politesse, je ne vois pas très bien comment il aurait pu s¿en sortir autrement.
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1er juin 2009, le vol AF 447 Rio-Paris disparaît au milieu de l'Atlantique. Que s'est-il passé ? Une nouvelle arme terroriste aurait-elle été utilisée à bord ? De multiples services d'espionnage sont sur les dents. L'enquête s'avère complexe. Dans les méandres du milieu aéronautique et des nouvelles technologies mises sur les marchés d'armes, l'auteur nous invite à parcourir le monde pour démasquer un ennemi particulièrement difficile à neutraliser. Un techno-thriller qui tient en haleine jusqu'à l'ultime dénouement.
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Un lobbyiste international, un tueur à gages et une jeune écrivaine ; chacun agira pour des motifs qui lui sont propres, mais lorsque les services de renseignements commenceront à s'intéresser à eux, il sera trop tard. Ambition, machiavélisme, mesquineries et médiocrité se côtoient dans ce roman comme dans la vraie vie ; et comme dans la vraie vie, la seule règle est qu'à la fin, quelqu'un doit payer la note. On les croise parfois met en scène des gens ordinaires à qui l'on a confié des tâches extraordinaires. Peu d'entre eux s'en sortent, et les autres limitent les dégâts en privilégiant leurs intérêts personnels. Ça ne vous rappelle rien ?
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Mon premier est un ancien SDF, totalement amnésique, ayant échappé miraculeusement à une mort sordide il y a quinze ans. Mon deuxième, ex-trafiquant reconverti dans les affaires, a bâti sa fortune sur les petits deals de la cité dans laquelle il a grandi. La mort accidentelle de mon troisième, meilleur ami de mon deuxième, déclenche un processus irréversible dans la vie de mon premier. Mon quatrième, simple rouage apparemment poussé par le hasard, prend un malin plaisir à affoler la machine. Mon cinquième est une femme, subtil trait d'union au coeur d'un idéal oublié. Mon tout est un combat entre émotions contradictoires et sentiments violents, dans lequel chacun cherche sa propre vérité. Est-ce ainsi que les hommes.
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Emma Smith, jeune chroniqueuse au New York Times, se lance sur les traces de Jack, un tueur en série, qui vient de kidnapper une fillette dans un musée pour enfants. Très vite, les événements prennent une tournure inattendue. Jack sème des cadavres dans tout New York et prend un malin plaisir à répondre à chaque article de la journaliste, n'hésitant pas à lui envoyer des informations ainsi que ses « trophées ». Le FBI est sur les dents et Emma va devoir collaborer avec les agents fédéraux. Leur plan : entretenir avec le tueur une macabre correspondance, afin de le piéger !
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Dans les années 80, le commissaire Gilles Deboef, à la demande d'un de ses Frères Maçons lorrains, accueille à Lille une jeune femme, Nancy, qui s'est enfuie pour une raison incongrue du couvent où ses parents l'avaient cloîtrée.
Au bout de plusieurs mois, et même s'ils ont du mal à l'admettre, ils tombent amoureux l'un de l'autre. Mais un troublant concours de circonstances amène le policier à soupçonner Nancy dans l'affaire dite des « Agressés du Lundi », quatre meurtres perpétrés selon le même procédé et dont les victimes ont les yeux crevés.
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Un convoyeur de fonds prend la fuite avec le contenu de son fourgon blindé, quelque 12 millions d'euros. Le commissaire Eli Di Natale, ex-étoile montante de la police judiciaire de retour en service après une année d'arrêt maladie, est chargé de le traquer à travers la France. Mais quand le braqueur se rend sans son butin, Di Natale comprend que l'enquête ne fait que commencer, que ces millions attisent bien des convoitises.
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Une policière vulnérable, bafouée et désabusée, lutte pour reprendre le contrôle sur sa vie personnelle. Soudain, l'espoir surgit. Il ressemble à un miracle, présente un visage d'ange, un sourire ample et un billet de loterie gagnant à la main. Tout redevient possible, élémentaire : les rêves abandonnés, les ambitions oubliées, le bonheur, l'amour. Pourtant, au coeur de cette issue idéale, invisiblement, les vengeances s'additionnent et les cadavres se multiplient dans un bain de sang. Qui de l'homme ou de la bête oeuvre dans l'ombre ?
Avec ce roman, Guichard Derac, l'auteur de L'instant du crépuscule, nous plonge une nouvelle fois au coeur de la nature humaine. Il y évoque, sans fausse pudeur, l'inhumanité et la bonté qui cohabitent violemment en chacun de nous. À la fin de ces lignes fluides, écrites dans une encre teintée de sang, une question s'impose : jusqu'où iriez-vous pour échapper à une situation insupportable ?
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Qu'est-ce qui pousse Henri, journaliste talentueux à plaquer son boulot ? Pourquoi n'arrive-t-il pas à écrire son article ?
Qui est cette femme, cette posture dont il tombe éperdument amoureux ?
Pourquoi suit-il ce chien errant, ce chat noir et blanc et ce banal pigeon des villes ?
Autant de questions qui restent sans réponse...
Jusqu'au jour où, figé dans son lit d'hôpital, les yeux écarquillés face au plafond, la vérité lui revient en pleine poire.
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Dix-huit décembre, une actrice américaine embarque en compagnie de son mari à bord du Normandie. Au soir du premier jour en haute mer, elle disparaît¿ Le commandant confie alors à un passager français, policier de renom, la charge de mener l¿enquête. De suspects en témoins, d¿indices en découvertes et de révélations en confidences, celui-ci plonge peu à peu dans les secrets du navire. Devinant au fur et à mesure que la disparition de Mrs. Kayser dissimule des affaires d¿une dimension insoupçonnée, il se retrouve alors pris au piège d¿une conspiration savamment orchestrée qui touchera à sa fin dans les rue de New York¿ Un roman inédit pour revivre en passager incrédule les atmosphères du plus fabuleux paquebot de tous les temps¿ Embarquez sur le légendaire Normandie depuis la grande gare maritime du Havre pour vous rendre au fameux « pier » 88 à New York¿ Imaginez prendre part à une traversée transatlantique et à ses ambiances incomparables en compagnie de la haute société du Vieux Continent ou du Nouveau Monde, et de la fine fleur de la marine marchande. Vibrez au rythme de l¿intrigue qui se noue et pimente votre voyage. Enquêtez en compagnie des meilleurs limiers du bord¿ Et découvrez le crépuscule de Mrs. Kayser¿
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Alors qu'un festival des musiques actuelles renommé bat son plein, un très jeune homme est découvert mort en forêt au petit matin. Il porte une large marque à l'avant du cou, et un masque noir est posé sur son visage. C'est un braconnier qui l'a découvert. Le commissaire Marc Lévènes n'a aucune piste pour démarrer l'enquête, et les habitants ne sont pas bavards. En cette mystérieuse Bretagne intérieure, les forêts sont denses, le relief est accidenté, et les passants peu nombreux la nuit. La légende de la ville d'Ys est ici très présente encore dans les mémoires, elle va compliquer les recherches.
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Ray, étudiant en cinéma, vit hors du temps. Il sort rarement de son appartement exigu, voit peu de monde. Depuis peu, il est régulièrement en proie à des crises de narcolepsies au cours desquelles il a des visions, qu'il identifie bientôt comme prémonitoires. Témoin d'un crime dont les auteurs ont orchestré jusqu'à sa présence, il va tenter d'échapper au pire. Les lèvres du tunnel est un thriller haletant, qui entraîne le lecteur dans une course-poursuite où rêve et réalité s'entrechoquent sans cesse.
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Les flux d'énergie circulaient à une allure folle dans l'anneau. Soudain, la collision eut lieu. Les atomes se désagrégèrent ; les noyaux éclatèrent en une pluie de neutrons et de protons. Le BIG-BANG se reproduisait, tel un remake de la naissance du monde. Quand le fin tentacule brûlant le frappa, Pierre sentit son cerveau se dissoudre, puis une douleur à implorer la mort fit imploser la matière grise de son crâne. Alice, Arnaud, ses mortifications successives, son Dieu... Tout se mélangeait en une dernière pensée haineuse. Le temps s'était arrêté. Arnaud sentait ses compagnons renâcler comme des chevaux mourants. L'angoisse suintait de leurs pores, et pénétrait ses narines. Son coeur défonçait sa poitrine à grands coups de poing. Soudain, la lumière de secours jaillit des plafonniers. Blêmes, les regards interdits des trois hommes se croisèrent, puis convergèrent ensemble vers Pierre... Désormais, le compte à rebours est déclenché ; une course au pouvoir s'engage entre le Vatican et le monde scientifique gravitant autour de l'accélérateur de particules franco-suisse, avec en toile de fond un enjeu qui concerne l'humanité tout entière : l'apocalypse décrite par la prophétie aura-t-elle lieu ?
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Rêver tue Édouard n'a qu'une seule passion : rêver, il ne vit que pour cela. Mais depuis quelque temps un horrible cauchemar le réveille toutes les nuits et il ne peut plus se rendormir. Il va entamer une thérapie pour réussir à en prendre le contrôle. Paul, commissaire de police à cause d'un pari qu'il a perdu, est persuadé que la vie n'est qu'un immense jeu dans lequel rien ne peut être grave et définitif. La découverte d'un cadavre à la gorge arrachée fait tout basculer. Dans ce polar décalé, les personnages ont presque tous perdu pied avec le monde extérieur.
L'auteur est né en août 1976 à Marseille. Aujourd'hui il vit dans la Drôme. Rêver tue est son premier roman.
