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Mon Petit Editeur
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Paris, demain. Une nuit d'été dans la capitale tentaculaire assommée par la canicule. Les rues sont calmes, peut-être un peu trop. Pas un souffle d'air, le silence pour seule rumeur. Et pour cause : véhicules à l'arrêt, poussettes abandonnées, corps inanimés sur le bitume... La cité, en un instant, est devenue le théâtre d'un mal étrange et foudroyant. Pour les rescapés, le cauchemar commence.
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Quand Julien Amiot est envoyé à Saint-Jean-de-Luz pour dénouer une affaire de meurtre, personne dans la commune basque ne croit au succès du policier parisien. Et encore moins le capitaine Bixente Etchart, fort de son expérience locale, qui, pour l'instant, patauge dans ses recherches. Les deux hommes vont travailler de pair, sur fond de rivalité, de rancoeurs et de jalousie. Le policier parisien, qui connaît la ville depuis son enfance, n'a pas été envoyé par hasard : la cité des Corsaires n'a aucun secret pour lui.
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« Les infos de treize heures. Le corps sans vie de Laetitia, une jeune fille de dix-sept ans, a été retrouvé en fin de nuit sur les bords de la Dyle. Nous venons d'apprendre l'identité du professeur arrêté tôt ce matin. L'enquête doit encore déterminer... » Jeune professeur, Virgile est un ami de l'inculpé. Son existence est bouleversée par cette arrestation. Tout au long de l'enquête vont surgir dans son esprit d'innombrables questions face à une vie plus compliquée qu'il ne le pensait. Ce roman, tour à tour grave et léger, explore les réactions de l'entourage d'un meurtrier présumé.
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À Paris en novembre 1962, Alicia Grandin est tuée par trois hommes. Dieu l'accueille dans son royaume, puis la renvoie sur Terre. Tout commence. Alicia et son amie Adeline traquent les coupables pendant que l'inspecteur Pierre Jaspar mène l'enquête. Le policier est confronté à des forces invisibles, à deux femmes vengeresses et un inconnu portant une redingote. « La prostituée releva le couteau et tourna la tête vers Alicia. Elle la regarda en lui souriant, puis planta le couteau dans la poitrine de Robert, une fois, deux fois, trois fois... plusieurs autres fois, avec un acharnement et une frénésie diabolique. Ses cris et ceux d'Alicia traversèrent la longue avenue, des hurlements de louves enragées. Il y avait en eux une énergie remplie de certitudes nourries des souffrances de la femme. »
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« Mercenaire du crime et volontaire pour n'importe quel trafic louche, pourvu que cela me rapporte, voici ma carte de visite. C'est un métier qui n'exige pas de compétences particulières pense-t-on, tuer (ou éliminer) ne paraît pas difficile. En réalité cela exige une quantité de qualités, autant que pour être pilote de course ou pianiste. Je dois être patient, bon observateur, avoir la main ferme et du sang froid pendant l'« action » et surtout, je ne dois pas être embarrassé par une conscience tatillonne et volubile ou par un coeur d'enfant de Marie. Bien que je ne me souvienne pas d'avoir eu à supprimer un honnête travailleur, un bon époux ou un brave à trois poils, je le ferais si cela m'est commandé et payé car qui sait quelle crapule se cache derrière l'apparence de l'honnête homme ou de la femme sérieuse ? »
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Didier Méroni est un citoyen comme des millions d'autres, menant une petite vie tranquille en Haute Normandie, entre sa famille et son travail d'ouvrier fondeur. Jusqu'au jour où il perd et son emploi et son épouse qu'il surprend dans d'autres bras. C'est alors que commence une lente descente en enfer : divorce, éloignement de sa fille de douze ans, recherche d'un emploi et désoeuvrement total. Fragilisé psychologiquement, et afin de faire face aux difficultés financières du quotidien, il décide de « faire un coup », un seul, qui lui permettra de se reconstruire et de se mettre à l'abri. Ça peut marcher... si le hasard ne s'en mêle pas.
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Été 1938. À Houlgate, station balnéaire du Calvados, une dame du meilleur monde s'éprend d'un séduisant employé saisonnier. En septembre 1939, le jour même de la déclaration de guerre, un pêcheur retrouve le corps de la malheureuse, abandonné sur la plage au voisinage du kursaal. L'enquête démarre dans l'ambiance de la « drôle de guerre », ralentie par l'absence de nombreux hommes mobilisés. Des difficultés supplémentaires vont se présenter avec l'arrivée des troupes d'Occupation en juin 1940. La victime ayant eu antérieurement à son service une jeune Allemande, la possibilité d'une affaire d'espionnage vient en outre compliquer la donne. Enfin la petite Simca de la victime avait été volée la nuit du drame, peut-être en relation avec le meurtre. Beaucoup de pistes donc seront passées au crible avant que soit enfin faite la lumière complète...
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- Il y a un hic, pressentit immédiatement Léa. Pour garder le suspense, le commissaire partit chercher un café et revint, quelques minutes plus tard, le gobelet brûlant dans les mains. Enfin, il reprit: - Mais, nous ne sommes pas dans le cas d'un crime «
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Deux jeunes femmes, deux destins. La première, à peine sortie de l'adolescence, s'installe dans un joli cottage et voit sa vie se transformer en conte de fée rayonnant, parfois terni par quelques grains de noirceur. La seconde, une mystérieuse enquêtrice, se lance à la recherche d'une peintre talentueuse au passé trouble qui ne cesse de se dérober. Tout en suivant des trajectoires parallèles, les deux jeunes femmes se confrontent à leur part d'ombre et de lumière jusqu'à affronter l'indicible.
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Première affectation à Nice pour le juge Bastien De La Roche Vivier et premier meurtre. Grand et athlétique, ce brun aux yeux vert indéfinissable se crée vite une réputation de play-boy à la répartie toujours affûtée. Son collaborateur l'inspecteur Garriguette va lui faire découvrir les méandres d'une ville où chaque mètre carré aiguise les appétits. Et quand le juge s'approchera de la vérité, certains n'hésiteront pas à s'attaquer à son entourage le plus proche, son compagnon.
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Affectée à la P.J. de Lyon, le lieutenant Lou Grimaud est confrontée dès sa prise de fonction à une série de meurtres aussi subtils que violents. Comme si le tueur, mélomane et pervers, l'avait attendue pour la tester. La musique de Mozart, n'adoucit pas vraiment les moeurs. Jeu de piste noire sur fond d'opera seria, une sombre partition où la moindre erreur peut conduire à la mort du chasseur sur la trace du fauve, une partie d'échec entre un chef d'orchestre masqué et une inspectrice, aussi obstinée que séduisante, qui apprend vite la musique.
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Alors, depuis vingt ans, oui vingt ans déjà, tout le monde me croit concertiste. Bien sûr pour donner le change, je travaille mon piano plusieurs heures par jour. Je vois des maîtres pour me perfectionner en vue des concerts, je fais des « Master classes », des stages. Je fais tout ce qu'il faut pour que personne n'ait le moindre doute à ce sujet. Et comme je suis vraiment passionné par le piano, enragé même, je n'ai pas vraiment beaucoup de mal à convaincre ceux qui ne demandent qu'à me croire. Pour le commun des mortels, une Étude de Chopin, c'est une Étude de Chopin. Basta. J'en interprète quelques-unes à ma façon, et mon béotien ne se pose aucune question. Pour lui je suis un véritable artiste. C'est un odieux mensonge. La vérité, c'est que pour gagner ma vie j'exerce une profession parallèle. Un métier qui lui aussi demande beaucoup de doigté, surtout en public. Je vous ai prévenu. J'ai un côté obscur...
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Si vivre à Agen est à la portée de tout le monde, y finir d'aussi étranges façons à de quoi titiller le commun des mortels.... L'inspecteur Vladimir Karnaukhov sait bien que ses semblables sont multiples. Il sait sentir leurs troubles, déceler leur failles et débusquer leurs démons. Mais cette enquête va l'obliger à revoir des connaissances en sciences humaines qu'il croyait gravées dans le marbre de ses certitudes. Le jeu social auquel il va participer, le mettra en présence d'une galerie de portraits destinés davantage à le perdre qu'à le faire progresser pour découvrir cette vérité à laquelle tout le monde aspire si, bien sûr, elle n'est pas trop dérangeante. Que ces événements tragiques croisent le monde du cabaret donne aux artifices dont chacun se pare, un sens et une tournure imprévus. Ils rapprochent le bien du mal en dissipant la frontière qui les sépare, sans pour autant mettre en évidence ce qui leur va le mieux. L'inspecteur va devoir redoubler de discernement pour révéler les souffrances et faire tomber les masques. Mais sait-on jamais qui sont les autres ? Ce que nous sommes ? Ce qu'il faut laisser de soi pour mieux comprendre l'autre ?
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Un avion en détresse, un orage de fin du monde qui l'emmène au crash au coeur d'une région montagneuse et désertique au centre du Kenya. De toutes les personnes à bord, elles sont deux à survivre au chaos effroyable de l'accident : Mylêna Milan et Julien Levernois. Deux inconnus qui se retrouvent agrippés l'un à l'autre et qui, en l'absence de secours rapides, vont s'épauler et partir à l'aventure pour sauver leur vie. C'est ainsi que débute leur histoire... Une histoire dont la prolongation les conduit dans une maison perdue aux fins fonds d'une campagne française. Ils espéraient pour la circonstance, passer une soirée plaisante ; malheureusement, très vite tout a dérapé. Au petit matin, Levernois groggy a tout oublié, ou presque, des évènements du début de nuit ; Mylêna quant à elle, n'est plus dans la demeure... Tenace, acharné, inébranlable malgré les difficultés et menaces dont il est l'objet, Julien Levernois s'obstinera à démêler les fils d'une énigme oppressante ; il ira jusqu'au bout, là où il a rendez-vous avec son destin...
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Cinq femmes passent une semaine de vacances dans le golfe du Morbihan. Est-ce un hasard si un ressortissant belge trouve la mort dans le seul hôtel de Saint-Gildas-de-Rhuys, station désertée des touristes en cette semaine de Toussaint ?
Pour le commissaire Guehennec, le hasard n'a de sens que par sa nécessité et il y a forcément un lien ! -
Au début dix-neuvième siècle, dans une Savoie qui abandonnera le royaume de Sardaigne pour devenir une région française, le docteur Taverlet consacrera toute sa vie à l'énigme du « paisible » village de Vauverdanne où de jeunes femmes se révèlent atteintes d'un mal bien étrange... Mêlant mystère et chronique rurale, une enquête passionnante qui saura captiver un large public.
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Si on lui avait demandé ce qu'il venait chercher là, Bertrand Velvet aurait répondu qu'il ne le savait pas ! Pourtant il était arrivé devant la grande et majestueuse maison blanche située à Penn Valley, banlieue huppée de Philadelphie, et qui était la propriété de famille d'Anna Powinsky, héritière du consortium industriel Powinsky Corporation. Il avait rencontré Anna, jolie jeune femme, pétillante, élégante, intelligente, riche, très riche, alors que pour sa part, il sortait de sept années passées en prison... Leur idylle avait duré le temps que vivent les roses, et la belle s'était enfuie, le laissant perdu sur le bord du chemin... Il y avait de cela déjà presque deux ans... Et puis Anna revint faire un tour dans sa vie de manière rocambolesque, en pointillé, pour quelques heures, entre deux trains, deux avions. Lorsqu'il découvrit qu'elle se trouvait prise dans les rouages d'une machine destinée à la détruire, il oublia toute sa rogne, sa rancoeur, et entreprit de l'aider. Cherchant à décrypter les signaux qu'elle lui envoyait, parfois de façon bien étrange, il décida de refaire le parcours à l'envers pour retrouver l'origine d'une funeste cabale, qui n'hésitait pas à tuer pour préserver son secret... Un tourbillon vertigineux, des mondes très éloignés qui malgré les apparences ne furent jamais parallèles... et qui finiront inéluctablement par se rejoindre...
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Les poulets de Caen montrent les dents
Jean-Louis Vigla
- Mon Petit Editeur
- 29 Octobre 2015
- 9782342044270
Quand on s'est fait gentiment viré de la Poule pour un « regrettable incident de parcours », que faire ? Gardien de jour dans un bar de nuit ou videur de chiottes au supermarché ? L'ancien commissaire qui m'avait à la bonne m'a trouvé un boulot d'intérimaire de guet. J'assure des planques pour des poulets surbookés. Du moins, c'était ce que je croyais jusqu'au jour où on découvre un dentiste sur le carreau, une nympho argentine qui sonne faux, de prétendus espions d'arrière-Piscine, une poulette à galons, des assimilés jumeaux à-moitié morts et reconstitués, de faux terroristes etc. Mais pas de raton laveur. Je te dis ça comme je l'ai vu, en observateur débordé (donc objectif), embarqué dans ce mic-mac où « plus menteur que moi, tu crèves ». On parle même secret d'État, intérêts supérieurs de la Nation, alerte sur le pas de tir d'Ariane, tout ça pour une arnaque de la mauvaise herbe. Heureusement que les poulets du coin, en bon fonctionnaires, veillaient au grain et ont fini par montrer les dents. Autrement, on y passait tous pour pertes et profits !
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Faut-il être fou pour lire ce scénario ? Non. Faut-il être fou pour l'avoir écrit ? Oui. Peut-on devenir fou après l'avoir lu ? Peut-être ! Pourquoi ? À vous de le dire ! Bastien nous raconte par ce roman la descente aux enfers d'un inspecteur de la crim jusqu'ici sans problème. Mais dont la vie va être bouleversée par un psychopathe sanglant et sans âme. Non content de laisser des messages sur les lieux de ses crimes signés « Rudy », qui était le prénom du petit frère de Nathan décédé quand ils étaient enfants, il va s'en prendre à son entourage et faire de son existence une géhenne. Va alors s'installer un combat psychologique entre les deux hommes où la guerre des nerfs va être le nerf de la guerre !
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- Nom ?
- Amiot.
- Prénom ?
- Julien.
- Profession ?
- Enquêteur.
- Enquêtes de quoi ?
- Cherchez.
- Je répète : enquêtes de quoi ?
- Je cherche.
- Vous cherchez quoi ?
- Ce que je trouve. -
Du Québec au Mississippi, écrire pour fuir l'ordinaire de sa propre vie. Manfred avait tout, se retrouve avec rien. Et pourtant... « Je n'ai jamais été un homme d'action. Je n'ai jamais été un chef. Leader de rien du tout. J'admire ceux qui, dans le coeur de la bataille, gardent les idées claires, réfléchissent rapidement, prennent de bonnes décisions ; ceux que les autres suivent aveuglément jusqu'à la mort, les adulés, les médaillés de guerre et ceux dont les actions en font des héros instantanés. Je fais un mauvais combattant parce que j'ai besoin de temps, je dois penser à mes coups, les calculer, faire des essais et je dois être certain de leur efficacité. Alors j'ai le temps de mourir trois fois face à un barbare, un ennemi ; je n'aurais pas vécu vieux dans le médiéval. La guerre, c'est pour les autres. C'est pour ça que j'aime jouer aux échecs lents. »
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« Elle contempla son oeuvre. Devant ce spectacle, elle se sentit d'un coup à nouveau envahie par le sentiment du devoir accompli. Elle avait franchi le cap ! Tant d'heures de guets, à noter tous les moindres faits et gestes... Elle commença à recueillir les fruits de son travail. Elle sortit son appareil numérique pour immortaliser la scène : surtout, il ne fallait rien rater, ne pas oublier un seul angle ! Seuls les plans de face étaient intéressants, l'arrière n'avait rien à dévoiler de son pouvoir absolu... » Sa vengeance commençait à peine mais laisserait, tout au long de son parcours, des traces indélébiles : une justice implacable et sans limite sur laquelle le caméléon posait tranquillement ses pièges.
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Dix bonnes raisons de ne pas lire le roman « Juste un peu avant la neige » : 1. Avec un titre comme ça, ça donne froid aux mains rien qu'à l'idée de tenir le livre ouvert. 2. Connaissant l'auteur, qui est un syndicaliste à la noix, lire son charabia n'a rien de réjouissant ! 3. Si ça se passe en plein hiver, ça va être tout blanc : un polar blanc plutôt que noir... c'est idiot ! 4. J'ai autre chose à faire que de lire les conneries d'un type qui veut frimer parce qu'il a écrit un bouquin ! 5. L'action se déroule dans une entreprise, et franchement c'est déjà assez fatiguant comme ça la journée d'être salarié. 6. Ce que raconte ce livre n'est pas plausible et n'a rien à voir avec un vrai roman policier. 7. C'est un bouquin qui ne restera pas dans les mémoires et c'est une bonne raison pour ne pas le lire ! 8. Il y a des personnages bizarres d'après ce que certains disent, totalement décalés... un pharaon, un dinosaure... 9. Je devrais donner mon avis après si je le lis et je préfère me taire. 10. Il y a de la neige, du sang, du sexe, des vaches... rien d'original finalement.
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Saviez-vous que... - les Alsaciens - et les Alsaciennes -, traditionnellement rigoureux, peuvent devenir les pires des arnaqueurs ? - le RPR est le Rassemblement des Postulants Religieux ? - les moines et les moniales peuvent être encore pires que les Alsaciens ? En lisant cet ouvrage véridique, vous n'aurez plus aucun doute !