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Nuits Blanches
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Janvier 2016. Dans la petite station balnéaire de Bandol, un homme a été retrouvé mort dans une chambre d'hôtel. Assassiné d'une bien étrange façon. Dans le même temps, une lettre retrouvée dans un tiroir à double fond d'un meuble ancien, relate un crime commis il y a longtemps dans cette même ville. Ne s'agit-il que d'une coïncidence ?
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Parfois, vous rêvez de changer de vie. Souvent, en fait. Mais lorsqu'une opportunité se présente, vous hésitez. Quoi de plus normal ? Prendre un risque ? C'est d'accord. Vous n'avez rien à perdre. Et vous en êtes conscient. Votre patience ne doit connaître aucune limite. Il faut savoir attendre. Attendre son heure. Et puis, tuer le temps, ce n'est pas un crime. C'est le début du bonheur.
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Le congélateur ; l'inconnue du téléphone ; in vino veritas
Brice Pelman
- Nuits Blanches
- 22 Octobre 2010
- 9782361620127
Rétrospective du polar Français rois de ses meilleurs romans en un seul volume. LE CONGÉLATEUR L'INCONNUE DU TÉLÉPHONE et IN VINO VERITAS
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Alors que Vadim tourne à Venise « Sait-on jamais », un autrichien est assassiné dans l'appartement qu'il louait dans la Sérénissime. L'enquête est menée par Busetti, policier revenu de tout qui attend l'heure de la retraite en sirotant du prosecco, secondé par un jeune et fougueux vice-brigadier des carabiniers, dévot au point d'avoir toujours un chapelet à portée de la main. Et puis un assistant de Vadim est « vampé » par la soeur de la victime qui cherche par tous les moyens à visiter le palais où s'est installée l'équipe du film. L'affaire prend alors une autre tournure et de vieux secrets remontent en surface dans les canaux où les vaporettos ont remplacé les gondoles. Personnages réels et imaginaires vont se mêler pour emporter le lecteur dans les méandres parfois nauséabondes de l'Histoire. « Eia, Eia, Eia, Alalà ! La fiamma è bella », chantaient les Arditis au lendemain de la Grande Guerre.
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Pierre Danel est remplaçant de l'Education Nationale spécialisé dans les cas difficiles.
Des gosses déstructurés, comme on dit en langage moderne. Envoyé dans un village Breton où le directeur de l'école s'est pendu, on lui octroie le logement de fonction du mort. Avec la brume et les mauvais présages, le remplaçant n'est pas à la fête. Pour se rassurer et se remettre rapidement dans le bain, il va rencontrer d'abord ses collègues puis, politesse oblige, l'ancienne femme du mort et enfin, poussé par la curiosité, le lieutenant de gendarmerie chargé de l'enquête.
Il va apprendre par les gabelous, que le mort, animateur d'un club de foot, était très apprécié dans le village.Il découvre aussi que feu monsieur le directeur, avait un appartement dont il avait dissimulé l'existence à son entourage. Il y cachait du matériel informatique contenant des images et des films pédophiles. L'ambiance est lourde dans le village, surtout lorsque Pierre Danel s'évertue à vouloir connaître les motivations du pendu.
Elle devient insupportable lorsqu'il découvre que le directeur ne s'est pas suicidé, mais a été pendu, après avoir été drogué. Pierre Danel perdra la plupart de ses illusions lorsqu'il apprendra la vérité. « Le directeur s'est pendu » est un roman grave, un prétexte pour parler de l'école d'aujourd'hui, de ses travers, de ses problèmes, des parents et surtout, des enfants, avec un humour empreint d'amertume.
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La bande de Gaza à la fin de la deuxième intifada, dans les années de chaos 2006-2007.
Maher al-Shaqqi est un jeune journaliste local qui a fait longtemps le « guide » (« fixeur » dans le jargon journalistique) pour de nombreux envoyés spéciaux étrangers. Il a ainsi monté une agence de presse qui est devenue incontournable pour ces journalistes, leur fournissant contacts et moyens techniques. La vie de Maher bascule le jour où sa jeune soeur, Marwa, se fait exploser dans une rue de Tel Aviv.
Il apprend son acte par la télévision et ne le comprend pas. Taysir, le fiancé de Marwa, ne comprend pas non plus cet acte. Commissaire de police de l'Autorité palestinienne, alors en place dans la bande de Gaza, il se jure de trouver qui a envoyé Marwa se tuer et tuer des innocents.
Lola, Karl et Ben, journalistes américains familiers de la région et amis de longue date de Maher et de Marwa, se trouvent également dans la bande de Gaza.
Eux aussi vont se trouver mêlés à l'enquête, tout en couvrant au quotidien les événements qui s'y déroulent. L'enquête sur Marwa est parasitée par une série de meurtres mystérieux marqués par des mutilations ne correspondant à aucune des « habitudes » du territoire, alors en proie à l'anarchie, notamment aux règlements de compte entre clans rivaux. Le commissaire Taysir enquête sur ces étranges meurtres, aidé par le docteur Hisham, un des rares médecins légistes de la bande de Gaza.
Celui-ci, bourgeois et hédoniste, est à la fois le miroir et le contraire de Taysir, fils de réfugié, ancien activiste politique de gauche. Leur complicité et leurs états d'âme donnent le « la » de la bande de Gaza. Les différents héros traversent, parfois sans se croiser, souvent en s'opposant, les événements qui se déroulent dans la bande de Gaza à cette époque plus que troublée. Leurs découvertes seront tragiques et particulièrement inattendues.
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La science au service d'intérêts égoïstes et malveillants n'est pas chose nouvelle. Les décennies à venir obligeront l'humanité en expansion à subir des mesures que l'on n'ose pas imaginer. Et des intérêts particuliers lui réserveront d'âpres surprises. Requiem en OGM mineur nous présente l'une d'elles de manière frappante et réaliste. Un Polar prémonitoire qui approche de très près ce qui pourrait être demain dans une bonne partie du Monde.
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Thriller. Un être à l'âme d'une cruauté indicible commence à frapper à l'orée de l'hiver. Il émerge des ténèbres et épouvante les esprits les plus retors. Il surgit du néant, redoutable, massacrant plusieurs transsexuels se prostituant à la nuit tombée dans les allées sinueuses et reculées du Bois de Boulogne. Cet être est l'âme des nuits des pires cauchemars.
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Joseph Simbal, 50 ans, commandant de la section criminelle de Grenoble, recueille David, 10 ans son petit-neveu, un gamin surdoué qui a perdu sa mère. Avec son meilleur ami et adjoint bientôt en retraite, le bon gros Roger, 60 ans, Simbal a pris des vacances pour accueillir David. Mais il ne peut faire taire son instinct de flic et la plus grande méfiance envers Quentin Manglart, 11 ans, fils du fermier voisin, soi-disant muet, qui s'impose tout de suite à David comme son nouvel ami, comme le ferait un vampire. Et la vie du jeune garçon va se transformer en cauchemar insupportable. Simbal s interroge sur le comportement de son petit-neveu alors qu'une jeune fille est assassinée dans un jardin public. Sans lien apparent entre ce crime et l'état de déprime de David, le monde qu'il découvrira le remplira d'effroi, lui, le costaud revenu de tout. Manipulations, sournoiseries machiavéliques, méchanceté à l'état pur. Et un jardinier qui sème les graines du mal. Un jardinier à la retraite, qui travaille la nuit... et tue.
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Que dissimulent les services secrets occidentaux ? Qui poussent certains financiers à brader les grandes entreprises américaines ? Pourquoi la vérité est-elle fatale à ceux qui la côtoient et les dogmes catholiques sont-ils aussi prégnants dans cette affaire ? C'est ce que cherchent à comprendre une journaliste, qui enquête sur des transferts de fond massifs, un policier, qui cherche l'auteur d'une série de crimes rituels, un officier américain, qui surveille les faits et gestes de tous les protagonistes pour éviter les fuites et une magistrate, qui tente d'échapper au pire, sans savoir qui en veut à sa vie, ni pourquoi les services secrets s'intéressent à son passé.
Toute venté n'est pas bonne à connaître ! C'est ce que va découvrir le jeune Brahim Kervéan après avoir détroussé un employé du Ministère de l'Intérieur. De planque en planque, des cites du 93 aux montagnes des Hautes-Prénées, il va devenir, malgré-lui, l'homme le plus recherché de France.
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Gwenn Rosmadec est un ancien grand reporter qui s'est installé à son compte dans le petit village de Sainte Marine en Bretagne en qualité d'écrivain public. Il met en mots les histoires des familles qui le lui demandent. Professionnel soucieux de vérifier ses sources et les dires, il tombera sur des secrets qui ne lui étaient pas destinés. D'autant plus que ce qu'il apprend va lui causer pas mal de tracas. Son épouse Soazic va l'aider à démêler une situation passablement tendue.
Tout commence lorsqu'on lui demande de reconnaître le cadavre d'un noyé noir. Or il ignore totalement de qui il s'agit. Les gendarmes en revanche, pensent qu'il n'en est rien. Ils ont leurs raisons.
Dès lors, impliqué malgré lui dans une affaire qui lui est étrangère, Gwenn finit par apprendre que la victime est le frère jumeau d'un sonneur de cornemuse du bagad de Quimper.
Il aurait mieux fait de laisser ses reflexes professionnels dans le coffre des souvenirs. Se retrouver à Mayotte, découvrir une vaste toile de passeurs de clandestins entre les Comores et l'île, ne lui laissera pas de répit. Sans compter des ennuis sans fin.
Un roman qui permet de mieux appréhender l'île de Mayotte qui connaît un important changement institutionnel en devenant le 101ème département français, ainsi que les relations entre ses diverses cultures et ethnies qui l'habitent. Sans compter le fléau qui s'abat sur elle : l'immigration clandestine.
La distance entre Lorient et Mayotte est d'environ 9250 kilomètres, mais celle qui sépare Gwenn et sa femme Soazic, qu'il va entraîner dans son histoire, est à des années lumière du cidre et de la Laridée. Et ça ne sera pas une Fezt-Noz.
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Série spéciale Tom Anquette.
Le premier épisode des enquêtes de Tom Anquette, « Lettres de l'au-delà », paru en 2009 aux éditions du Polar a rencontré un franc succès en région Rhône Alpes et PACA et Savoie. La commune de Saint Génix sur Giers (Savoie) dans la région ou se situe l'action, a décidé pour l'occasion de sa sortie d'organiser un salon spécifique dédié aux enquêtes de Tom, suivi d'un quiz autour du thème, très apprécié par les médias régionaux. Le même évènement est prévu pour le deuxième épisode : « Le secret de l'ordre » La 4e de couverture « Je ne crois pas que tu sois mort dans cet accident de la route.
Tout le monde prétend le contraire mais je sais que ce n'est pas toi qui étais au volant.
Où es-tu ? Que fais-tu ? Pourquoi te caches-tu depuis toutes ces années ?
Quel secret cache ce monastère enfoui au coeur de la Chartreuse ?
Ici, à Saint-Genix, certaines gens savent mais se taisent.
Pourquoi tous ces mystères, ces silences ?
Papa, tu me manques !Si tu n'es pas mort, fais-moi signe. »
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Maïlys Gordon, psychosociologue, la cinquantaine tranquille, revient de loin. Au cours d'un voyage en Afrique, elle a été violée. À la suite de ce drame, son amie, qui vivait avec elle à Yaoundé, avait nié ce qui s'était passé et l'avait abandonnée sans protection dans une ville dangereuse. Depuis, profondément traumatisée, Maïlys vit avec sa peur dans le dix-neuvième arrondissement de Paris. Pour se sortir de l'horreur, des souvenirs nauséeux consécutifs au viol, elle participe régulièrement à un groupe de parole qui réunit des femmes brutalisées par la vie.
Aidée de Margot, la psychologue, de Charly, la professeur de Karaté, et de l'amitié chaleureuse des nombreuses copines qui l'entourent, elle pense qu'elle va s'en sortir. Las ! Les rangs des membres de l'association « Violences faites aux femmes » se déciment. La mort rôde. Maïlys est encore trop dans la victimisation pour écouter, voir et comprendre les signes que lui lance Noémie, une nouvelle venue dans le groupe. Un jeune flic chargé d'élucider l'affaire comprend vite quel parti il peut tirer du métier de Maïlys et de l'expérience professionnelle qu'elle a acquise dans l'analyse des comportements sociaux tout au long de sa carrière. Elle accepte de l'aider par amitié pour une jeune victime qu'elle n'a pas su écouter à temps. Ensemble, ils vont tenter de dresser le portrait psychologique du tueur.
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Nous vivons une époque compliquée où tout s'emmêle, se mondialise.
On survit dans un à peu près angoissant. Rien n'est sûr et certain et il y en a qui ne s'y retrouvent plus. Un fort en thème a dit jadis que le XXIe siècle serait spirituel ou ne serait pas. Ben, il avait raison. Là dessus on est vernis, mais on est tout de même bien paumés. Et on ne sait plus à qui se fier. C'est ce que se dit Boy en rentrant dans le vestibule tagué de son HLM et voyant le bonhomme gisant dans une flaque de sang, la gorge tranchée d'une oreille à l'autre.
Sa réaction fut fulgurante. Il fonça dans les escaliers en béton du vieux bâtiment en grimpant les marches quatre par quatre, telle une gazelle fuyant le guépard, fit sa valise à la hâte et décampa aussi vite qu'un grillon sous la menace d'un jet de Baygon sous le regard incrédule de sa pauvre mère.
Boy était aussi noir que l'ébène, vivotant peinard au milieu d'autres bronzés dans cette citée dite "difficile".
Il n'était pas non plus très malin, mais au milieu d'une société à l'esprit confus, il avait compris qu'il valait mieux ne pas être là quand les flics arriveraient. On ne sait jamais; tout pouvait basculer, comme le destin d'une colombe en période de chasse. Sa vie pensait-il, était une roulette du hasard. Et parfois celle-ci ne tournait pas en sa faveur. Alors, autant se casser.
C'était idiot, mais ses jambes refusaient à entendre raison. Et là, il avait tort. Il aurait évité pas mal d'ennuis en restant tranquille dans son coin, puisqu'il n'y était pour rien.
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Il y a quelques années, les Américains aimaient bien Bouteflika, l'Algérie, son gaz et surtout, son pétrole. Mais rien ne va plus. Soudain, Al Qaïda s'attaque au personnel d'une entreprise qui est censée représenter la puissance américaine, alors qu'elle ne s'est jamais attaqué à une quelconque installation d'une compagnie pétrolière américaine, où qu'elle se trouve.
Alors, questions : Sachant que les Américains ne veulent plus de Bouteflika. Sachant que le Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC) est infiltré et instrumentalisé par la Sécurité Militaire Algérienne. Sachant que des attentats spectaculaires, graves, curieux et inexplicables ont eu lieu ces derniers temps. Sachant que le Président algérien lui-même a émis des doutes véhéments sur les véritables auteurs de ces attentats. Sachant que tous les analystes politiques, de même que les journalistes algériens, pensent qu'il s'agit en réalité d'une main américaine : Y'a-t-il une répartition des rôles entre la CIA, le DRS et Al Qaïda au Maghreb islamique ?
Qui est le chef d'orchestre ?
Qui sont les exécutants ?
« Les confettis de la haine » en imaginent les réponses
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Mais quel mystère cache donc cette statuette de Bouddha qui met sens dessous dessus le pays Bigouden ? Qui est ce bandit, ce malfaisant dacoït indien qui utilise les moyens les plus perfides pour s'en approprier ? Gwenn Rosmadec, ancien grand reporter reconverti à l'écriture de mémoires d'inconnus à Sainte Marine, en Bretagne, chargé de sa recherche, n'en finit pas d'essuyer les plâtres de cette mission bien particulière. Tout commence un soir d'automne, lorsque Lenaïg de Kerdonkuff, fille du vicomte Goulven, franchit le seuil de son penty. Lorsqu'elle lui demande de recueillir la vie de son père en Inde, une histoire d'autant moins banale, que le vicomte gérait d'une main de fer le palais du Maharajah de Mysore, Gwenn accepte le travail avec empressement. Mais la demande de Lanaïg n'est pas sans arrière pensées et l'histoire de son père lui importe peu. Elle espère surtout que Gwenn découvrira où le vicomte a caché une statuette d'un Bouddha en jade, qu'il aurait emporté avec lui au terme de sa mission. Une statuette qu'elle sait d'une valeur inestimable. Elle n'est pas la seule dans cette quête : un malfrat indien de la pire espèce est lui aussi, à sa recherche. Et il use des moyens les plus fourbes et violents pour s'en approprier. Les conséquences sont d'une telle gravité, que le consulat général d'Inde à Quimper finit par se mêler de cette sombre affaire. Mais lorsque Sarun, la fille indienne adoptive du vicomte fait de même, jouant un jeu pour le moins invraisemblable, Gwenn commence à se demander s'il a eu raison d'accepter d'écrire ces mémoires.
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Il y a quelques années, les Américains aimaient bien Bouteflika, l'Algérie, son gaz et surtout, son pétrole. Mais rien ne va plus. Soudain, Al Qaïda s'attaque au personnel d'une entreprise qui est censée représenter la puissance américaine, alors qu'elle ne s'est jamais attaqué à une quelconque installation d'une compagnie pétrolière américaine, où qu'elle se trouve.
Alors, questions : Sachant que les Américains ne veulent plus de Bouteflika. Sachant que le Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC) est infiltré et instrumentalisé par la Sécurité Militaire Algérienne. Sachant que des attentats spectaculaires, graves, curieux et inexplicables ont eu lieu ces derniers temps. Sachant que le Président algérien lui-même a émis des doutes véhéments sur les véritables auteurs de ces attentats. Sachant que tous les analystes politiques, de même que les journalistes algériens, pensent qu'il s'agit en réalité d'une main américaine : Y'a-t-il une répartition des rôles entre la CIA, le DRS et Al Qaïda au Maghreb islamique ?
Qui est le chef d'orchestre ?
Qui sont les exécutants ?
« Les confettis de la haine » en imaginent les réponses