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Lorsque Sylvie Durand reçoit une lettre lui intimant de se rendre de toute urgence à La Rêverie, sa maison en Provence, elle comprend qu'elle n'a plus le choix. Au coeur d'un été étouffant, marqué par des incendies d'une violence inhabituelle, Sylvie retourne donc à La Rêverie avec Emma, sa fille cadette, dans ses bagages.
Alors que les souvenirs des événements qui ont brisé leur famille une décennie plus tôt menacent de remonter à la surface, Sylvie tente à tout prix de dépasser le profond sentiment d'effroi que lui inspire cet endroit. Et surtout de cacher à Emma la vérité sur ce qu'il s'est réellement passé cet été-là. Mais, du moindre recoin de la maison, surgit le spectre d'Élodie. Son aînée, venue au monde dans la tourmente de Mai 68. Sa jolie fille aux yeux vairons, que les villageois du coin comparaient volontiers à une « Manson Girl ». Élodie qui obtenait toujours ce qu'elle voulait. Élodie, disparue tragiquement à quatorze ans.
À mesure que le mercure grimpe et que les feux se rapprochent, Sylvie sent poindre une menace bien plus effrayante. Qui pourrait tout changer.
Alternant brillamment entre passé et présent, Kate Riordan tisse un page-turner captivant qui renouvelle le genre du roman d'été et interroge l'évidence supposée du lien maternel. -
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Quelques mois après l'éclatement de la deuxième Intifada, deux attentats sanglants ravagent les toilettes du quartier juif puis celles du quartier arabe de la vieille ville de Jérusalem. L'affaire est confiée au commissaire Landau, un policier réputé pour son engagement sans failles contre le terrorisme. Accouru sur les lieux des drames, un autre policier va s'y intéresser, Eli Bishara, un inspecteur arabe israélien que tout oppose à Landau. Cantonné depuis l'Intifada dans les affaires de moeurs, Bishara recherche une Israélienne disparue dans la vallée du Jourdain mais son enquête le ramène aux attentats de la vieille ville.
Des salles de jeux de Tel Aviv au marché bédouin de Beer Sheva dans le désert du Neguev, des filières de la mafia russe aux colons d'Hebron, de Ramallah à Bethléem, "Balagan" - mot russe qui veut dire "bordel" en hébreu - raconte la violence, l'intolérance et les problèmes d'identité qui secouent Israël et les territoires palestiniens. Jérusalem, ville où coexistent Dieu et le Diable, en est l'héroïne principale. -
Morvan, ancien policier, est recruté pour organiser la protection rapprochée du prince héritier d'un émirat. Une belle jeune femme l'engage bientôt en sous-main pour enquêter sur la disparition de sa petite soeur, une adolescente fascinée par Jehan, grande actrice égyptienne. Morvan retrouve son cadavre dans les eaux huileuses du Golfe. S'est-elle tuée ou l'a-t-on poussée ? Les services secrets britanniques se mêlent à l'affaire ainsi que Jehan elle-même, porteuse d'un lourd secret. Morvan découvrira très vite l'implication d'un prince saoudien ainsi que l'existence d'un mystérieuse clinique, surnommée le paradis des perdantes. Le lecteur est alors plongé au coeur même d'un terrible marché passé entre les terroristes islamistes et les monarques du Golfe visiblement prêts à tous les sacrilèges pour leur sécurité. C'est l'énigme du paradis des perdantes dont la clé ouvre les portes de l'enfer.
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La boxe n'est pas un sport. Elle est une identité faite de douleur, de lumière, de rédemption, de pauvreté, de gloire, de défaites. Elle est un genre au même titre que les films noirs ou le jazz. Elle a ses codes et ses destins cabossés, celui de Max Baer, hanté par les deux hommes qu'il a tués sur le ring, Barney Ross, orphelin comme Mike Tyson, Jimmy Braddock, docker devenu champion du monde, sans oublier quelques figures tutélaires, Jack Johnson, Floyd Mayweather ou Joe Frazier.
Ils sont tous là, dans ces Scènes de boxe, perpétuant la légende sans cesse recommencée. -
MINETTE WALTERS La muselière Bizarre spectacle que celui de Mathilda Gillespie dans sa baignoire, ce matin-là, à Cedar House. Non seulement la vieille dame est morte - apparemment en se tailladant les poignets - mais elle porte sur son visage une sorte de muselière en fer rouillé - un "bride-langue", instrument barbare dont on usait au Moyen Age pour réduire les mégères au silence. L'objet est orné d'une couronne d'orties et d'asters. La mort remonte à deux jours, et Mathilda s'est ouvert les poignets après avoir pris une overdose de somnifères Pourtant s'agit-il bien d'un suicide comme tout le monde, y compris la fille et la petite-fille de la défunte, semblent avoir envie - ou intérêt - à le croire ? Le sergent-détective Cooper et le Dr Sarah Blakeney, qui soignait Mathilda depuis un an, sont les seuls à s'entêter à vouloir démontrer le contraire. L'affaire néanmoins se complique lorsque, à la lecture du testament, on apprend avec stupéfaction que Sarah hérite de la totalité des biens de Mathilda.
Déjà en proie à un certain nombre de problèmes personnels, Sarah devient la cible de commérages abominables. Et s'il apparaît très vite que pratiquement tout le village de Fontwell détestait la vieille dame, au point de souhaiter sa mort, Sarah, première suspecte, entend découvrir pourquoi. Le journal que tenait Mathilda doit pouvoir donner la réponse. Or, voilà que ce journal a disparu Avec La muselière, Minette Walters confirme qu'elle peut, sur le terrain de l'imagination et de l'écriture, rabattre leur caquet aux plus grandes dames du crime !
Saluée dès la parution de Chambre froide comme la nouvelle reine de la littérature policière, Minette Walters a obtenu pour Cuisine sanglante le prestigieux Prix Edgar Poe décerné par la critique américaine.
Traduit de l'anglais par Philippe Bonnet.
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Le cadavre d'une jeune fille est découvert sur les bords de la rivière Baztán dans une étrange mise en scène. Très vite, les croyances basques surgissent : et si toute cette horreur était l'oeuvre du basajaun, un être mythologique ? L'inspectrice Amaia Salazar, femme de tête en charge de l'enquête, se voit contrainte de revenir sur les lieux de son enfance qu'elle a tenté de fuir toute sa vie durant.
Jonglant entre les techniques d'investigation scientifique modernes et les croyances populaires, Amaia Salazar devra mettre la main sur ce gardien invisible qui perturbe la vie paisible des habitants d'Elizondo.
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Une femme est retrouvée nue, assassinée, le visage défoncé, dans un passage de La Mecque. Cette affaire émeut profondément les habitants de ce quartier et vient réveiller de lourds secrets de famille, d´amours interdites, mais aussi de malversations financières, au sein d´une ville dont l´architecture et le patrimoine religieux excitent la convoitise des sociétés immobilières.
L´inspecteur Nasser est chargé de l´enquête, ce qui rompt pour un temps sa routine et sa solitude. Afin d´identifier la victime, il plonge dans les existences tourmentées de deux femmes portées disparues, Aicha et Azza. Institutrice répudiée par son mari, Aicha entretenait en effet une correspondance amoureuse avec un médecin allemand, dont l´inspecteur se délecte. En même temps, il parcourt le journal intime de Youssef, jeune historien amoureux de l´architecture de La Mecque tout autant que d´Azza, jeune femme déterminée à ne laisser aucun sentiment l´asservir.
Mais Nasser va croiser des fantômes plus inquiétants. La corruption règne dans cette ville tiraillée entre ses traditions ancestrales et l´élan brutal vers la modernité. La Mecque semble se confier au lecteur, en révélant les enjeux complexes dont elle fait l´objet. Et très vite, on comprend que c´est le coeur sacré de cette ville, la Kaaba, qu´il faut sauver.
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Ils sont trois. Trois enfants des rues de Buenos Aires. Trois petits voleurs, les meilleurs du quartier du Once. Pour eux, rien n'est impossible. Ils ont accepté une mission périlleuse en Uruguay. Arrivés sur place, ils déchantent : enfermés dans une propriété de 60 hectares, ils doivent cambrioler neuf villas protégées par des gardiens armés et des chiens. Pour sortir vivants de cette prison dorée, ils n'ont qu'une option : réussir.
Dans ce roman aux allures de thriller, Lucía Puenzo expose la part d'ombre de l'Argentine et le destin bouleversant de ces enfants, devenus invisibles aux yeux de la société.
Traduit de l'espagnol (Argentine) par Anne Plantagenet
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« Quand la science et la technologie avancent à pas de géant, l'éthique et la politique rampent derrière. » Depuis des mois, Baltimore ne respire plus. Un serial killer surnommé « le Cinéphile » assassine des femmes qu'il embaume, avant de les grimer en Grace Kelly. Mais tout s'emballe quand disparaît Maggie Exton, l'épouse du chef de cabinet adjoint de la Maison-Blanche.
Ils seront trois à mener l'enquête : Thomas Lynch, un flic qui compense sa mauvaise humeur par une consommation excessive de donuts ; Jack Miller, un ex du FBI trompé par sa femme et reconverti en détective privé ; Peter, un geek misanthrope à l'intelligence supérieure. Jamais ils n'auraient imaginé jusqu'où l'affaire les mènerait. Car à l'heure du Patriot Act, l'Amérique se noie. Surveillance de masse, guerre contre le terrorisme, cybertechnologies... La fin justifie les moyens et la CIA ne recule devant rien. Surtout pas devant l'innommable. -
Haeden, petite ville de l´État de New York. La nature a repris ses droits, car le chômage a sévi. C´est l´Amérique post-industrielle dans toute sa noirceur.
Un jour, la jeune serveuse Wendy disparaît. Elle est retrouvée dans un triste état. Stacy Flynn, journaliste ambitieuse, est prête à tout pour démasquer les coupables, mais aussi pour rencontrer un homme capable d´assouvir ses besoins.
Une adolescente, Alice, partage son obsession pour cette affaire. Ses parents, Gene et Claire, qui tentent de faire coïncider leur existence à Haeden avec leurs rêves de jeunesse, sont loin de comprendre ce que leur fille ressent.
Petit à petit, les récits des habitants semblent composer un tableau du drame et des événements qui l´ont précédé. Au sein duquel le lecteur entrevoit une autre tragédie. Mais l´écrivain nous réserve un dénouement à mille lieux de ce qu´on pouvait imaginer.
Avec un sens redoutable du suspense, Cara Hoffman nous livre la cartographie réelle d´un monde qu´on aurait pu prendre pour le paradis : une vie saine loin des grandes villes. Elle immortalise également les tourments de l´adolescence et le cauchemar de tout parent.
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24 décembre, 36 quai des Orfèvres. Dans la cour où la nuit tombe, seul le sapin de Noël tient droit. Le commissaire Bloom, lui, titube, comme le monde qui l'entoure. Une bouteille de gin, un bon livre et des sonates de Bach sont les seuls compagnons qu'il désire pour ce réveillon. Mais cette soirée idyllique est vite interrompue par un appel : une prostituée transsexuelle a été retrouvée morte à Belleville, maquillée et vêtue d'un somptueux costume de l'Opéra de Pékin.
Que signifie cette mise en scène ? A qui s'adresse-t-elle ? Les cadavres de divas travesties commencent à s'additionner dans les rues de Paris. Alors que ses supérieurs semblent privilégier la piste du règlement de comptes entre mafias chinoises, le commissaire Bloom en flaire une autre. Celle-ci pourrait bien le conduire où personne ne souhaite qu'il aille, jusqu'aux plus hautes sphères de l'Etat...
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Dans la rue j'entends les sirènes
Adrian McKinty
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- La Cosmopolite Noire
- 23 Octobre 2013
- 9782234073098
Sean Duffy sait que le crime parfait n'existe pas. Abandonner un torse dans une valise s'en approche de beaucoup. Mais il suffit souvent d'un indice infime pour faire basculer une enquête... Un tatouage. Sean Duffy, remis de l'attentat qu'il a essuyé dans sa dernière affaire, n'a plus qu'à suivre le fil rouge, la trace de sang - si ténue soit-elle -, qui lie toujours un corps à son meurtrier. La ténacité et l'obstination légendaires de Duffy se muent ici en obsession pour cette énigme qui le détourne des ruines de sa vie amoureuse, et le met à rude épreuve. Des rues sous haute-tension de Belfast à la lande irlandaise, Duffy ne laisse aucune piste au hasard et ne se départit jamais de son sens de l'humour, même dans les moments de plus grand doute...
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1981, Carrickfergus, Irlande du Nord. Le gréviste de la faim Bobby Sands vient de mourir et la région est sous haute tension. C'est dans ce contexte oppressant que le sergent Sean Duffy est appelé d'urgence pour résoudre une étrange enquête : un homme a été retrouvé dans un terrain vague, une main coupée. La victime est un homosexuel notoire. Un mobile suffisant ? Puis une deuxième victime est découverte, présentant les mêmes sévices. Aurait-on affaire au premier serial killer de l'histoire du pays ? Duffy sait toutefois que les apparences sont souvent trompeuses, lui qui incarne un paradoxe en Ulster : il est flic et catholique.
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Des vieilles dames protges par des hommes de l'agence Mle-Escorte sont assassines. Toutes les hypothses sont permises. Mais pourquoi les violettes de Parme trouves sur chaque cadavre sentent-elles le vtiver ?
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Un vieux château, un adorable vieux monsieur, M. de Trouillac, perdu dans ses souvenirs des années folles et de feu sa femme Simone. C'est un décor de rêve pour de jeunes cinéastes qui entendent tout filmer, passé et présent, désir et tendresse, un crime passionnel et ses énigmes. La ravissante jeune première, Evelyne Fortier, Thierry Vince, un ambitieux réalisateur, Michel Servien, l'assistant qui ne résiste pas aux charmes de Judith, dite l'espoir, Anna, l'opulente cuisinière qui adore son patron -jusqu'au meurtre ?-, gens de province et gens de cinéma, et aussi Belle, la chienne fidèle, tout ce monde remuant et en pleine action se court après.
Soudain, une marche manque, c'est le crime !
Victime, assassin, inspecteur de police, suspects, témoins, on entre alors dans un labyrinthe, celui du parc mais aussi celui de l'intrigue, qui maintient le lecteur prisonnier jusqu'à la dernière page !
Madeleine Chapsal qui a publié, cette saison chez Fayard, un roman " le foulard bleu " et de brûlants poèmes d'amour : " Paroles d'amoureuse ", est donc également capable de drôlerie, d'humour et de gaîté ?
Quel délassement ! quel suspense ! -
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Les romans n'intéressent pas les voleurs
Alain Rémond
- Stock
- Framboise
- 5 Septembre 2007
- 9782234059801
Son métier, aux éditions Hurtebise, c'est de « mettre en forme » les romans des autres. Essentiellement, en l'occurrence, les innommables salades de Bannister, le best-seller maison. Qui produit à la chaîne des romans vaguement politiques, vaguement policiers, vaguement sentimentaux et totalement nuls. C'est à lui, Jérôme, de leur donner du ton, du style, de les faire tenir debout.
Mais sa vraie passion, à Jérôme, c'est Santenac. L'auteur génial et météorique de trois livres, au début des années 1960, racontant des histoires de famille. Trois livres et puis plus rien : Santenac, soudain, a disparu, plus personne ne l'a jamais revu.
Avec Jean-Paul, son ami d'enfance devenu journaliste, Jérôme n'a qu'une idée en tête : retrouver Santenac. Et lire les livres qu'il a forcément écrits, au fin fond de sa retraite. Justement, ce matin-là, alors qu'il vient de prendre livraison du nouveau manuscrit de ce crétin de Bannister, Jérôme reçoit un coup de téléphone de Jean-Paul : il a retrouvé Santenac, il sait où il se cache. Ils vont tout de suite partir, quelque part dans un coin perdu de l'Aveyron, pour enfin réaliser leur rêve. Santenac, pour l'un et l'autre, est beaucoup plus qu'un simple écrivain. Ses livres sont une question de vie ou de mort. Surtout pour Jérôme, qui y trouve ce qu'il n'a jamais eu : une famille.
Car les livres, c'est la vie. Et lire, c'est vivre. Mais le rideau va se déchirer. Santenac n'est peut-être pas à la hauteur du rêve. À la hauteur de la passion des livres...
On n'en dira pas plus sans gâcher le plaisir. -
Le bien ou le mal, la justice ou la vengeance, la guerre ou la paix? Du Groenland à Tel Aviv, en passant par Hambourg, Copenhague, Paris, mais aussi Izmir, nous pénétrons dans les coulisses d'une histoire qui est la nôtre, dont nous soupçonnons tous l'existence mais que nous préférons ignorer.
Opération Pinocchio. Tel est le nom de l'opération ultra-secrète des services de l'Otan pour nettoyer l'alliance contre nature mais réelle et menaçante qui s'est nouée, conduite par un ancien nazi visionnaire devenu chef d'industrie, entre de grandes firmes énergétiques européennes et des faucons américains poursuivant leur guerre de civilisation.
Cette alliance a un nom et un symbole : Aurora.
Quand les intérêts stratégiques, les appétits économiques et les folies idéologiques se mêlent, alors l'histoire chemine vers son crépuscule dans un fleuve de haine et de sang.
Qui serait prêt à régler cela proprement ? Une équipe du Mossad, apparemment en sommeil, dispersée à travers l'Europe ; ces « kidons » spécialisés dans l'action ciblée ont toutes les audaces et tous les talents ; sauf peut-être celui de résister parfois à la mélancolie.
C'était sans compter sur la trahison de leur commanditaire de l'Otan et de leurs amis, y compris israéliens, qui achève de les réveiller.
Ceux qui se croyaient les chasseurs deviennent alors des proies.
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Ce livre propose un voyage aux confins de la parole, là où les mots condamnent. Pendant plusieurs mois, la journaliste Julie Brafman est allée à la rencontre d'avocats et de juges, d'accusés et de victimes, de policiers et de gendarmes avec lesquels elle a décortiqué le processus de l'aveu, et cherché à décrypter, de manière très incarnée, ce moment particulier où une affaire bascule. À travers leurs yeux et leurs souvenirs, elle explore dix histoires criminelles, plus ou moins connues, qui révèlent aussi bien le vertige de ceux qui ont confessé leur crime que celui des témoins muets qui ont « accouché » leurs confidences. Chacun de ces récits se lit comme une nouvelle.
L'ouvrage, enrichi par une dizaine d'illustrations en noir et blanc d'inspiration cinématographique, aborde ce thème de façon originale en alternant les chapitres sur les affaires et d'autres, plus analytiques mais tout aussi passionnants. L'auteur veut comprendre pourquoi la justice est obnubilée par l'aveu, cette confession spontanée ou arrachée, considérée comme « la reine des preuves ». Julie Brafman ouvre ainsi une réflexion sur la justice au carrefour de l'histoire, de la psychologie, de la religion, de la morale et du droit.