Le conflit en Irak et en Syrie, expliqué aux lycéens l'ensemble des dimensions historiques, depuis 1914, géographiques, économiques, culturelles et cultuelles, du conflit irako-syrien. Destinés aux lycéens et au grand public, cet ouvrage a été rédigé par un collectif de professeurs de lycée sous la direction de Christophe Stener
Les civilisations, sont les coutumes, les règles cérémonielles, une manière de vivre ensemble d'un peuple. Préceptes cérémoniels, codes de lois, préceptes moraux en un temps donné...
Dans ce sixième livre, vous découvrirez les rites funéraires des Egyptiens de l'antiquité, la théogonie des Atlantes, la mythologie Gauloise, la théogonie Scandinave et mythologie Nordique mais vous approcherez aussi des Peuples en voie de disparition ou disparus : les peuples Andamans ; ailleurs, les indiens Cuna et Choco, leur religion et magie... ou encore la vie les Scythes dans l'antiquité...
Oui, ce sont d'agréables heures que vous passerez en compagnie de ce livre.
De l'insouciance d'une enfance qui baignait dans un esprit d'amitié, de camaraderie et de fraternité malgré leur différence ethnique ou sociale jusqu'au jour où, âgés à peine de douze ans, ils assistèrent au début des horribles tueries entre les deux communautés. A l'âge adulte, c'est l'affrontement des idées et des armes entre ceux-là mêmes qui étaient, quelques années plus tôt, unis comme les doigts du même main. Les atrocités de la guerre allaient crescendo, quelques-uns choisirent de défendre l'une ou l'autre cause, parfois bien plus par les armes que par le dialogue. Malgré cette guerre, un grand nombre d'entre eux ne renonceront pas pour autant à leur amitié ni à l'amour, espérant vivre ensembles,retrouver leur dignité pour les uns, continuer à vivre pour les autres, dans le pays qui les a vus naître, eux et leur aïeux, pour peu qu'ils renoncent à leur privilège du passé. Ces adeptes pacifiques, malgré les vicissitudes, ont su préserver leur convivialité amicale d'avant et pendant la guerre, de l'amour aussi, comme l'indéfectible amour de Madeleine l'Européenne et Kamel l'autochtone.. Un sage du village disait : les cloches de l'église continuent à tinter pour la messe du dimanche tandis que le muezzin de la mosquée appelle à la prière, les deux communautés prient un même Dieu, appelé différemment peut-être,mais, qui prône l'amour du prochain, lui. Ne serait-il pas mieux de continuer à vivre ensemble, équitablement, se pardonner la haine de la guerre et construire une Algérie nouvelle où vivront ses deux enfants des deux communautés.
La colonisation de l'Orient arabe par les Européens a commencé par celle de la Palestine, qui est la « tête de pont » pour la colonisation de cet Orient. Les pays européens, qui luttaient déjà contre l'Empire ottoman, ont trouvé dans la migration juive vers la Palestine un motif pour s'immiscer davantage dans les Affaires de l'Empire. Cette migration a déclenché chez les Arabes, dont les Palestiniens, la conscience que les juifs sont venus de l'extérieur, en éclaireurs, pour occuper leurs pays. La résistance arabe commença alors à prendre forme sans jamais s'éteindre. En pleine guerre (1914-1918), la Grande Bretagne et la France se partagent la Syrie, le Liban, la Jordanie et l'Iraq (Accords Sykes-Picot-1916). Et la Grande Bretagne favorise la création d'un foyer national pour les juifs en Palestine (Déclaration Balfour-1917). Le but visé est l'empêchement de l'émancipation d'un Etat arabe qui comblerait le vide créé par la disparition de l'Empire ottoman. L'ombre des «Accords Sykes-Picot» et de la «Déclaration Balfour» règne jusqu'à nos jours sur l'Orient Arabe qui n'a pas trouvé de stabilité (Syrie, Liban, Iraq, Palestine). La «Déclaration Balfour» a plongé la Palestine dans le plus long et le plus douloureux conflit du siècle, dont la responsabilité incombe à la Grande-Bretagne. Le 2 novembre 2017, pour célébrer le centenaire de la « Déclaration Balfour », Theresa May, Première ministre anglaise, a invité à un diner le Premier Ministre israélien Benyamin Nethanyahou, avec au moins 150 personnalités. A cette occasion, Theresa May a déclaré que « la Grande-Bretagne est fière de son rôle pionnier dans la création de l'Etat d'Israël ». Les Palestiniens dénoncent l'arrogance avec laquelle est célébré le centenaire.
Appelé sous les drapeaux pour son service militaire, Michel Lephilipponnat préfère partir pour l'Algérie rejoindre le 156 ème régiment d'infanterie - de Corée, dont la devise est "Marche ou crève. Il en rapportera des souvenirs sous forme de photographies qu'il vous dévoile aujourd'hui.
La question de la Palestine est un problème colonial.
A partir de la 2ème moitié du 17ème siècle, l'intérêt européen pour la Palestine est manifeste : installer les juifs en Palestine. C'est le sionisme chrétien.
Dans la 2ème moitié du 19ème siècle, les intérêts anglais et les intérêts juifs convergent :
+ L'Angleterre doit occuper la Palestine pour protéger ses intérêts. Parallèlement, elle appuie la migration des juifs vers la Palestine.
+ Les juifs, de leur côté, projettent de créer un "Etat juif en Palestine".
La convergence du sionisme chrétien avec le sionisme juif aboutit à la "Déclaration Balfour" (1917) qui proclame l'installation en Palestine d'un "Foyer national pour les juifs", et au "Mandat anglais sur la Palestine" (1922), après la chute de l'Empire ottoman.
L'Angleterre jette alors les bases du futur "Etat d'Israël" en Palestine qui verra le jour en 1948.
Et le 19 juillet 2018, le parlement de l'Etat d'Israël vote un loi fondamentale qui fait de cet Etat un "Etat-Nation du peuple juif".
Plus d'un siècle de résistance palestinienne, ainsi que des découvertes archéologiques récentes, entament la propagande juive qui "justifie par la Bible" l'occupation de la Palestine.
Tous les mythes de la Bible sont battus en brèche par d'éminents archéologues, dont des archéologues israéliens de l'université de Tel-Aviv. Voir : Annexe_3 (p.78) : Déconstruire les murs de Jéricho.
Kfarwa est un village du Liban-Sud. Son histoire est racontée depuis sa fondation au XIXè siècle à nos jours : origine du nom qui l'a fondé ? Quand et dans quelles circonstances sont arrivées les différentes familles ? Évolution de l'infrastructure : quartiers, rues, église, école arrivée de l'eau courante et de l'électricité. Émigration : circonstances et destinations. Détails sur la vie des villageois, leurs us et coutumes, leur vie social, économique et politique. Nombreux documents.
Epoustouflant ! Du camp de concentration de Lodi en Algérie où, à l'âge de huit ans, il rendait visite à son père incarcéré jusqu'à l'élection présidentielle française. Un parcours hors du commun digne des plus grand films d'aventures : du contre-terrorisme, des complots, des coups d'état, un gouvernement provisoire, des garden-parties élyséennes, un parti politique, la naissance d'un peuple, l'esquisse d'un nouveau monde.
Malgré la résistance des Ottomans à l'immigration juive en Palestine (alors province ottomane) en provenance d'Europe centrale et orientale, une première vague de juifs arrive à y entrer et résider à partir de 1880, grâce à l'aide des représentations diplomatiques européennes, en particulier britanniques.
Pendant les deux dernières décades du 19-ème siècle, des centaines de juifs, parfois des milliers, s'installent clandestinement chaque année en Palestine, arrivant par les ports de Yâfâ (Jaffa) et Beyrouth.
De 10.000 en 1882, le nombre de juifs en Palestine passe, à la fin du 19-ème siècle, à 50.000, dont la moitié à Al-Quds (Jérusalem).
Et on compte à la veille de la guerre (1914-1918), 47 colonies juives implantées dans la campagne et les quartiers de certaines villes.
La population totale en Palestine en 1914 s'élève à 722.000 personnes.