À propos

Des Premiers poèmes (1910-1920) aux quatre chants admirables des Quatre quatuors (1936-1942), l'oeuvre d'Eliot domine la première moitié du siècle : " poésie - comme l'a précisé Pierre Leyris - strictement nécessaire, parcimonieusement sécrétée (à raison d'un poème ou deux par an, certaines années restant muettes) par un destin jalousement économe d'expression lyrique. " Un peu plus d'une centaine de pages. Oui : ce monument qu'est La terre vaine, méditation extrême qui berce, encensant et tranchant en même temps à coups d'oscillations brutales de langue et de pensée ; Mercredi des Cendres, appel en musique du tourment ; et les Poèmes d'Ariel : " L'éveil, les lèvres ouvertes, l'espoir, les nouveaux navires. " Oui, à peine une centaine de pages. Et tout sera dit : un rare ajustement, à l'entreprise humaine, du chant de l'homme et de sa perception du réel - " concert innombrable " et " grande rumeur universelle ". " Brûlant brûlant brûlant brûlant O Seigneur Tu m'arraches O Seigneur Tu arraches Brûlant ".

Rayons : Littérature > Poésie

  • Auteur(s)

    Thomas Stearns Eliot

  • Éditeur

    Seuil

  • Distributeur

    Mds

  • Date de parution

    01/06/1976

  • Collection

    Le Don Des Langues

  • EAN

    9782020044233

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    240 Pages

  • Longueur

    20.5 cm

  • Largeur

    14 cm

  • Épaisseur

    2 cm

  • Poids

    260 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

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